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Sonatine

Maison de la danse 1986 - Réalisateur-rice : Picq, Charles

Chorégraphe(s) : Balanchine, George (Russian Federation) Guizerix, Jean (France) Piollet, Wilfride (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , Saisons 1980 > 1989

Producteur vidéo : Maison de la Danse de Lyon

Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon

en fr

Sonatine

Maison de la danse 1986 - Réalisateur-rice : Picq, Charles

Chorégraphe(s) : Balanchine, George (Russian Federation) Guizerix, Jean (France) Piollet, Wilfride (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , Saisons 1980 > 1989

Producteur vidéo : Maison de la Danse de Lyon

Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon

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Sonatine

Deux danseurs étoiles à l'apogée de leur carrière. Un parcours artistique exemplaire parmi les plus intelligents de l'histoire de l'Opéra de Paris : de Perrot à Andy de Groat en passant par Bournonville, Petitpa, Balanchine et Cunningham. Wifride Piollet et Jean Guizerix passionnés par la danse d'aujourd'hui sans ignorance du passé ni fermeture au futur, mènent une triple carrière : interprètes des grands ballets du répertoire, danseurs de prédilection des créateurs contemporains, chorégraphes. Accompagnés par leur complice et ami Georges Pludermacher, pianiste internationalement reconnu, ils inaugurent à Lyon un programme retraçant l'histoire même de la chorégraphie et rendent hommage à ceux qu'ils aiment. 


Source : Programme de la Maison de la Danse de Lyon - 1986-87

Balanchine, George

(1904-1983)

Danseur et chorégraphe américain d'origine russe.

Né à Saint-Pétersbourg, fils d'un compositeur géorgien, Balanchine entre par hasard à l'École de danse du Mariinski dont il sort diplômé en 1921. En 1924, profitant d'une tournée des Danseurs de l'État soviétique en Allemagne, il quitte son pays et est engagé comme danseur dans la troupe des Ballets Russes de Diaghilev. Promu maître de ballet en 1925, il y affirme sa vocation de chorégraphe et débute son étroite collaboration avec Igor Stravinski. À la mort de Diaghilev, en 1929, il travaille sporadiquement à Londres (pour le music-hall), Copenhague et Paris. Il collabore avec les Ballets russes de Monte-Carlo (1931-1932), puis, grâce au mécène britannique Edward James, il forme les Ballets 1933, avec lesquels il donne quelques représentations à Paris et à Londres. Acceptant la proposition de L. Kirstein de développer une école classique aux États-Unis, il se fixe à New York en août 1933 et devient citoyen américain en 1939. Après avoir fondé la School of American Ballet (1934), il dirige l'American Ballet. Il est invité à faire des créations pour l'Original Ballet russe (1941), l'American Ballet Caravan (1941), le Ballet russe de Monte-Carlo et l'Opéra de Paris. De 1935 à 1951, il chorégraphie aussi pour les scènes de Broadway (« On Your Toes », 1936 ; « Babes in Arms », 1937 ; « Cabin in the Sky », 1940 ; « Where's Charley ? », 1948) et pour quelques films à Hollywood avec V. Zorina. Mais c'est surtout à la tête du Ballet Society puis, à partir de 1948, du NYCB qu'il mène sa féconde et prestigieuse carrière.

Sa danse

Balanchine accorde la priorité à l'élément dansé. Très tôt, il s'écarte délibérément de la narration dramatique et, s'il signe quelques ballets à thème (« Apollon Musagète », 1927 ; « le Fils prodigue », 1929 ; « la Somnambule », 1946 ; « Orpheus », 1948, « Casse-Noisette », 1954), c'est en éliminant toute pantomime, cherchant à relater l'histoire avec clarté et par le seul truchement de la danse. Il règle aussi des " ballets d'ambiance ", sans intrigue proprement dite, tout en conservant les situations ou les personnages que la partition suggère (« Cotillon », 1932 ; « Serenade », 1934 ; « la Valse », 1951 ; « Liebeslieder Walzer », 1960 ; « Tzigane »,1975).
La musique et son interprétation sont la clef de voûte de son travail. Pour lui, " le ballet est avant tout une affaire de tempo et d'espace : l'espace délimité par la scène, le temps fourni par la musique ". Ses réalisations les plus spécifiques sont des ballets sans thème dont la construction et la forme découlent de la source musicale. Sans l'illustrer, il donne à voir une partition, composée ou non pour la danse, en s'appuyant sur la structure rythmique, la mélodie et le développement harmonique de la pièce choisie : " Voyez la musique et écoutez la danse ", recommande-t-il. Préférant souvent des œuvres de facture classique, il recourt aussi à un registre plus moderne  et parfois populaire ou jazz. Cependant, ses compositeurs favoris sont Tchaïkovski et surtout Stravinski, avec lequel il crée plus de trente ballets.

Privilégiant le dépouillement scénographique afin que le regard puisse se concentrer sur la chorégraphie, il opte le plus souvent pour un plateau nu et des costumes qui dégagent la silhouette, imposant parfois simples tuniques et maillots académiques.

Considérant Petipa comme son père spirituel, il s'inscrit dans la tradition classique et se réfère aux pas d'école pour les outrepasser. Il développe un style caractérisé par un en-dehors poussé à l'extrême, des mouvements dynamiques, précis et vigoureux, des positions hanchées, des combinaisons de pas complexes, voire acrobatiques, une rapidité d'exécution en accord avec les tempi des pièces musicales qui l'inspirent. Il prône une beauté formelle tendant vers l'épurement, une virtuosité technique transcendée par la maîtrise des interprètes et accorde la prééminence à la danseuse. Nombreuses sont ses " muses ", ballerines aux longues jambes fuselées et aux formes discrètes, qu'il fait souvent débuter très jeunes.

Salué comme l'un des plus grands chorégraphes du XXe siècle, il contribue à l'" américanisation " du ballet, jouant également un rôle important dans l'évolution de la comédie musicale, où il introduit la danse classique et, paradoxalement, les principes du ballet narratif.

Source : Dictionnaire de la danse Larousse en ligne

En savoir plus : balanchine.com

Guizerix, Jean

Né à Paris le 27 octobre 1945, Jean Guizerix commence la danse tardivement à l'âge de dix-sept ans. Il continue à pratiquer de façon  amateur la danse et poursuit en parallèle des études supérieures à la  Sorbonne.Devant faire un choix entre étude et danse, il choisi cette  dernière par passion et se présente au conservatoire où il est refusé.  Il se présente alors à une audition à l'Opéra de Paris en 1964.Deux ans  plus tard il est quadrille, puis coryphée l'année suivante. Nommé sujet  en1968, il se voit déjà confié des rôles de solistes notamment dans Turangalila (R.Petit) en 1969 et Arcades (A.Labis). En 1971, il est  nommé premier danseur et un an plus tard, est consacré danseur étoile.  En-dehors de son travail de danseur à l'Opéra, Jean Guizerix est également chorégraphe.Il créé son premier solo "O Tod", en 1969 pour sa femme Wilfride Piollet.

En 1986, il crée avec son épouse,une compagnie de danse avec un large  répertoire incluant des chorégraphes de divers influences.Il quitte  l'Opéra en 1990, et pour l'occasion a carte blanche pour l'organisation  de cette soirée.

De 1990 à 1998, il est professeur au CNSMDP puis il devient maitre de  ballet à l'Opéra de paris de 1998 à 2000. Il est ensuite nommé  conseiller pour la danse auprès du Ministère de l'éducation nationale  jusqu'en 2002. En 2003, il est pour quelques mois directeur artistique  intérimaire des Ballets du Nord.

Depuis 1997, il est professeur Centre National des Arts du Cirque. Il  donne actuellement des cours avec sa femme Wilfride pour leur  association "Clef de sol".

Il est également l'auteur de plusieurs ouvrages, il a notamment écrit  "Parallèle" en 1986, "le Moulin de Jerry", édition Sens et Tonka publié  en 2003 et "Livret de Giselle" par Théophile Gautier aux éditions L'une  et l'autre en 2012.


Source : theatre-contemporain.net

Piollet, Wilfride

Wilfride Piollet, « petit rat » à l'école de danse de l'Opéra de Paris, se voit confier par Maurice Béjart son premier rôle de soliste dans « Noces » en 1965. Elle est nommée danseuse étoile en 1969.
 À l'Opéra et dans le monde entier, elle interprète les grands rôles du répertoire classique et néo-classique. Elle forme, avec Jean Guizerix, un couple pour la danse et pour la vie qui s'ouvre aux créations contemporaines de Merce Cunningham, Lucinda Childs, Douglas Dunn, Andy de Groat, Félix Blaska, Dominique Bagouët, Daniel Larrieu...

Elle se distingue également dans les œuvres néoclassiques de George Balanchine, Serge Lifar, Roland Petit et Jerome Robbins et aborde la Belle Danse sous la direction de Francine Lancelot. Depuis 1977, elle présente ses propres recherches parmi lesquelles « Le Prince de Bois », « Huit danses hongroises », « Renard », « Lettera Amorosa », « Dam'Oisel », « Momerie », « Ballet Figuré », « Penthésilée », « La Conjuration »... En 2003, année où elle se retire de la scène, elle aborde le répertoire d'Isadora Duncan avec Madeleine Lytton. À l'occasion de la thèse de Nadège Tardieu sur sa méthode « Les Barres flexibles », elle commence un travail sur l'image du geste dansé (Les trois temps du corps) puis avec Francette Levieux (« Giselle ») et auprès de Frédérique Liébaut (Le corps-partition et Avignon 2006).

 Elle reconstruit certains grands ballets du répertoire (« Coppélia »...) et continue la création chorégraphique sous de petites formes (« Le petit Atelier », « Romance »...). En 2005, elle signe la chorégraphie avec Jean Guizerix de « L'Amour médecin » et « Le Sicilien » pour la Comédie-Française et en 2006, « Anonymes », pour l'École nationale des Arts du cirque (ENAC) de Rosny-sous-Bois (Seine Saint-Denis).

De 1989 à juin 2008, elle enseigne au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP). Elle publie en 1999, deux ouvrages autour de son enseignement : « Rendez-vous sur tes barres flexibles » et « Barres flexibles » (éditions L'Oiseau de Feu).
 En 2007, sur le site lesbarresflexibles.net, elle met en ligne la série « Les gestes de Lilou », destinée à l'usage des professeurs de danse, des instituteurs, des parents ou des éducateurs souhaitant apporter à leurs élèves ou leurs enfants, certaines notions fondamentales de danse.

 Elle a participé en février 2009 à un parcours dansé dans tous les lieux de la Chartreuse de Villeneuve lez Avignon, « La folie d'Igitur » autour de Stéphane Mallarmé, sous la direction d'Andy de Groat et y a interprété notamment un tango avec Jean Guizerix, revisité par Andy de Groat et Martin Barré.

Elle est décédée le 20 janvier 2015.

En savoir plus

Ressource électronique de la médiathèque du Centre national de la danse
http://mediatheque.cnd.fr/spip.php?page=mediatheque-numerique-ressource&id=PHO00003961
Dernière mise à jour : novembre 2015

Picq, Charles

Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise  d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le  groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.

Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse  contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges". 

Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :

   • Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
  •  Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
  •  Il initie les "présentations de saisons" en image.
  •  Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.

   •  Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web,  il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
 

Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
  Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
 

Source : Maison de la Danse de Lyon

Sonatine

Chorégraphie : George Balanchine

Interprétation : Jean Guizerix, Wilfried Piollet

Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Maison de la Danse de Lyon - Charles Picq, 1986

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