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CN D - Centre national de la danse 2022 - Réalisateur-rice : Centre national de la danse, Réalisation

Chorégraphe(s) : Morau, Marcos (Spain)

Présentée dans la/les collection(s) : CN D - Spectacles et performances

Producteur vidéo : Centre national de la danse

Vidéo intégrale disponible au CND de Pantin

en fr

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CN D - Centre national de la danse 2022 - Réalisateur-rice : Centre national de la danse, Réalisation

Chorégraphe(s) : Morau, Marcos (Spain)

Présentée dans la/les collection(s) : CN D - Spectacles et performances

Producteur vidéo : Centre national de la danse

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Danser Encore
Pendant deux jours, le Ballet de l’Opéra de Lyon essaime des solos dans les espaces du CN D, pour un parcours chorégraphique noué autour de la rencontre entre un interprète du ballet et un chorégraphe. Reflétant la diversité des écritures contemporaines, Danser Encore nous fait plonger dans la fabrique vivante de la danse. Lancé en 2020 par Julie Guibert, directrice du Ballet de l’Opéra de Lyon, le cycle Danser Encore repose sur le désir de mettre en avant la singularité des danseurs et danseuses du Ballet, et de soutenir la création chorégraphique dans le contexte de la pandémie en misant sur le dialogue fertile entre interprètes et créateurs. À partir de l’écriture de solos sur mesure, Danser Encoreexpose un travail à quatre mains, tout en donnant à voir la variété de la création chorégraphique contemporaine. Après la conception de seize solos originaux, le Ballet de l'Opéra de Lyon continue à creuser les ramifications de ce format, afin de créer des objets chorégraphiques utilisant toutes les ressources du corps, de l’image et du mouvement. Déployés dans les espaces du Centre national de la danse pendant deux jours, une dizaine de solos occupent les studios et l’atrium – révélant la fragilité, la légèreté, la densité, le relief de chaque interprète et l’élan de son désir de danse.

Love
Cette nouvelle œuvre de Marcos Morau/La Veronal pour l'Opéra national de Lyon joue avec les limites de la perception, l’esprit se perdant dans les frontières de l'imagination. Dans Le Théâtre et son double, Antonin Artaud écrit « L'esprit croit ce qu'il voit et fait ce qu'il croit : c’est le secret de la fascination ».
Le corps du danseur, ici attaché à une boîte en carton d'une manière presque hypnotique et mystérieuse, explore les limites de la pesanteur, de l'inconnu et du jeu, nous montrant jusqu’à quel point il peut être grisant de se perdre dans une simulation ou un mensonge que nous avons créés nous-mêmes.
Le rapport entre l’objet et le corps, entre l’inanimé et le vivant, entre ce que nous ne voyons pas et ce que nous voyons, entre la tension et la force, produit une rencontre complexe qui pousse l'interprète à la lisière de toute logique.

Source : programmes du CND et de l'Opéra de Lyon

Morau, Marcos

Marcos Morau a etudié la chorégraphie à l’Institut del Teatre de Barcelone, le Conservatorio Superior de Danza de Valencia et à Movement Research de New York, où il a obtenu la plus haute note pour son projet de fin d’études ainsi qu’un prix de l’Institut del Teatre. Il a été assistant au Nederlands Dans Theater II, et pour la Compagnie IT Dansa, dirigée par Catherine Allard. Il a étudié également la photographie et le théâtre et obtenu une Maitrise en théorie de théâtre.

En 2005, il crée La Veronal, une compagnie regroupant des artistes des champs de la danse, du cinéma, de la photographie et de la littérature. Ils recherchent en permanence de nouveaux moyens d’expressions, des références culturelles dans le cinéma, la littérature, la musique et la photographie, inventant un langage narratif fort, tourné vers la formation d’espaces artistiques mondiaux. La Veronal a créé une série d’œuvres qui prennent pour point de départ un pays ou une ville, établissant un lien entre danse et géographie. Ces œuvres ne se veulent pas des documentaires décrivant des pays directement, mais utilisent plutôt certains éléments de ceux-ci pour développer un point de vue. 

En 2013, Marcos Morau reçoit le National Dance Award du Ministre de la culture espagnol, ainsi que le prix Sebastià Gasch, accordé par la Fondation des Arts et du Design. Il a également été récompensé par la Compétition Internationale de Chorégraphie d’Hanovre, la Compétition de Chorégraphie de Copenhague, la Compétition de Chorégraphie de Madrid, Masdanza/ le Festival International de Danse des Iles Canaries. Il a reçu le prix du meilleur spectacle à Fira Tarrega pour Los Pájaros Muertos et le Prix « Butaca », décerné par le public pour la meilleure prestation de danse 2013, pour Siena.

Marcos Morau et son équipe travaillent également avec d’autres compagnies internationales. Au cours des saisons à venir, ils créeront des œuvres pour la Compagnie Nationale de Danse d’Espagne dirigée par José Martínez, le Ballet Scapino Rotterdam, Skånes Dansteater et Norrdans en Suède, le Ballet Teatres de la Generalitat Valenciana et le Théâtre Royal Danois, entre autres. La Veronal a joué dans de nombreux festivals et théâtres partout dans le monde, dont le Théâtre National de Chaillot à Paris, la Biennale de Venise, DanceSalad Festival à Houston, Temporada Alta, le Roma Europa Festival, SIDance Festival à Seoul, au Stockholm Dansens Hus et au Sadler’s Wells Theatre à Londres.

Source : Ballet de Lorraine 

En savoir plus : http://www.laveronal.com/

Centre national de la danse, Réalisation

Depuis 2001, le Centre national de la danse (CND) réalise des captations de ses programmations de spectacle et de pédagogie et crée des ressources à partir de ces représentations filmées (interviews, conférences dansées, rencontres avec des artistes, démonstrations, grandes leçons, colloques spécialisés, montages thématiques, etc.). 

Le Ballet de l'Opéra de Lyon

Dès son arrivée en 1969 à la tète de l’ "Opéra Nouveau de Lyon", Louis Erlo donne à la danse une place de choix. Pour la première fois, en dehors de Paris, une maison d’Opéra accorde à sa compagnie de ballet des soirées entières consacrées à la danse.

Dès lors, celle-ci n’a cessé de s’ouvrir à tous les affluents, qu’ils soient fleuves ou rivières, voisins ou lointains, harmonieux ou tumultueux. Mais dans tous les cas, talentueux. Cette vivifiante ouverture au monde, le Ballet de l’Opéra de Lyon l’a vécue d’emblée, avec ses premiers directeurs, l’Italien Vittorio Biagi, puis le yougoslave Milko Speremblek et le né-zélandais Gray Veredon, tous dans la mouvance néo-classique et béjartienne de l’époque. 

Mais c’est Françoise Adret qui, à partir de 1985, va donner à la compagnie une tournure résolument plurielle. La "mère Adret" à comme l’appellent affectueusement ses danseurs a un œil, du bagout et un solide carnet d’adresses. Surtout, cette Française qui a beaucoup voyagé a pour mission de donner à cette troupe une dimension nationale et internationale. Elle constitue un répertoire sur un double spectre : les grands chorégraphes internationaux encore peu demandés, (et non des moindres, entre Jiří Kylián, Mats Ek, Nacho Duato ou William Forsythe) et la chance donnée à la "jeune danse française" (Mathilde Monnier, Maryse Delente, Angelin Preljocaj)… Dans toute troupe, il y a des temps de grâce, Mais à Lyon, un moment d’éclat allait changer le cours des choses. En 1985, personne n’imaginait qu’une poupée magique (la Cendrillon de Maguy Marin) ferait faire le tour du monde à la compagnie, avec pas moins de trois tournées aux États-Unis la seule année 1987… Trois ans plus tard, Lyon récidivait en créant la fameuse relecture de Roméo et Juliette par Angelin Prejlocaj. Nouveau défi (c’est, pour le chorégraphe, sa première commande d’importance), et nouvelle pièce mémorable. Les dés étaient jetés…

Lorsqu’en 1991, le Grec Yorkos Loukos alors maître de ballet-directeur succède à Françoise Adret, le pli est pris et se démultiplie jusqu’à aujourd’hui, avec une palette "choré-graphique" d’une grande ouverture d’esprit. Maguy Marin devenue chorégraphe résidente fait encore des étincelles lorsqu’en 1993, elle inaugure le nouvel Opéra de Lyon avec une version déjantée de Coppélia en goguette dans la banlieue lyonnaise. Détours vers l’histoire de la danse, regards sur la danse au présent, visions de ce qu’elle sera demain, pluralité des styles, des âges des chorégraphes, de leurs origines, de leur formation : la force du Ballet de l’Opéra de Lyon, c’est justement de n’avoir pas de spécificité, mais un répertoire extrêmement diversifié revendique Yorgos Loukos. Autant dire que cela attire le public (qui aime la nouveauté) et les jeunes danseurs d’aujourd’hui, adeptes et aguerris aux changements de style. Même les professeurs ne sont pas à demeure, qui changent tous les mois, pour s’interdire toute routine.

Aujourd’hui, la compagnie possède un répertoire de 117 œuvres dont plus de la moitié sont des créations. Lister les chorégraphes venus travailler à Lyon, c’est rappeler l’importance des pionniers de la nouvelle danse française (Mathilde Monnier, Jean-Claude Gallotta) et de leurs jeunes cousins (de Jérôme Bel à Christian Rizzo, Alain Buffard ou Rachid Ouramdane). C’est rejoindre les ténors de la modern dance américaine (Trisha Brown, Merce Cunningham, Lucinda Childs), de l’énergie post-classique (William Forsythe, Benjamin Millepied) et de la "next wave" (comme Otto Ramstad). C’est explorer la musicalité belge (de Keersmaeker) la théâtralité suédoise (Mats Ek), le lyrisme tchèque (Jiří Kylián), la puissance israélienne (Ohad Naharin, Emanuel Gat). C’est habituer son regard aux petits nouveaux (Tania Carvalho, Alessandro Sciarroni, Marina Mascarell..). C’est être… aux confluences d’une danse plus que jamais ouverte sur le monde.


Source : Site de l'Opéra de Lyon


En savoir plus : opera-lyon.com 

Love

Chorégraphie : Marcos Morau

Interprétation : Paul Vezin

Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Enregistré au CND le 14 octobre 2022 dans le cadre de "Danser Encore", un parcours chorégraphique composé de solos et proposé par le Ballet de l'Opéra de Lyon

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