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Paroles de danseurs

CNDC - Angers 2003 - Réalisateur-rice : Riolon, Luc

Chorégraphe(s) : Paroles de danseurs (France) Dupuy, Dominique (France) Adret, Françoise (France) Obadia, Régis (France) Lagraa, Abou (France)

Présentée dans la/les collection(s) : CNDC - Angers

Producteur vidéo : CNDC Angers ; France 3 Ouest ; 24 images ; TV10 Angers

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Paroles de danseurs

CNDC - Angers 2003 - Réalisateur-rice : Riolon, Luc

Chorégraphe(s) : Paroles de danseurs (France) Dupuy, Dominique (France) Adret, Françoise (France) Obadia, Régis (France) Lagraa, Abou (France)

Présentée dans la/les collection(s) : CNDC - Angers

Producteur vidéo : CNDC Angers ; France 3 Ouest ; 24 images ; TV10 Angers

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Paroles de danseurs

Documentaire de 52 sur le Centre National de Danse Contemporaine  d’Angers. Ce film est une synthèse de portraits croisés, mosaïque de  montages parallèles d’images de la vie des élèves de cette école unique  au monde, qui offre une formation extraordinaire aux étudiants, et qui  va bien au delà de la danse pure. Beaucoup de grands noms de la danse et  de la chorégraphie contemporaine en sont issus.


Source : Vimeo

Paroles de danseurs

Film réalisé par Luc Riolon et Rachel Seddoh sur l'école supérieure du CNDC (2003)

Dupuy, Dominique

Dominique Dupuy entre aux Ballets des arts de Jean Weidt à l'âge de 16 ans, où il interprète d'emblée des rôles de soliste comme celui du fils dans « La Cellule » de Jean Weidt qui reçut le premier prix du concours des Archives internationales de la danse à Copenhague en 1947, Après les années de danse en couple avec Françoise Dupuy sous le nom de « Françoise et Dominique », ils fondent ensemble les Ballets modernes de Paris où Dominique Dupuy interprète quelques rôles légendaires : le Faune, le Mandarin merveilleux, le Piéton de l'air, l'Homme et son désir…

Dominique Dupuy a créé six solos, dont le premier est né à l'instigation d'Amélie Grand et fut conçu pour la première semaine de la Danse d'Avignon, prémisse des Hivernales : « Le Cercle dans tous ses états » (1979), « Trajectoires » (1980), « En vol » (1983), « Ballum circus » (1987), « L'homme debout, il… » (1995), « Opus 67-97 » (1997). Il s'est exprimé à plusieurs reprises sur l'expérience du solo, soit dans les colloques, soit dans les publications. Le projet de passation de ses solos est né à la demande de Luc Petton pour lequel Dominique Dupuy a recréé la séquence du cube d'« En vol » pour le projet « Passeur de danse ». Puis il a reconstruit cinq autres séquences pour « Passeur de solitudes I », présenté en mai 2000 au Regard du cygne ainsi qu'aux Hivernales d'Avignon.

De 1995 à 2007, il dirige le Mas de la danse avec Françoise Dupuy, premier centre d'études et de recherches en danse contemporaine en France. Il se consacre depuis au classement de ses archives personnelles.

Adret, Françoise

Personnalité discrète et déterminée, Françoise Adret est une figure de la danse contemporaine. Elle a d'ailleurs travaillé avec quelques-uns des plus grands danseurs français de notre époque, débutants ou confirmés. En 1951, elle fonde le ballet de l'Opéra d'Amsterdam, puis, quelques années plus tard (en 1960), celui de la ville de Nice qu'elle dirige également. Dès lors, reconnue par la profession pour ses capacités techniques et sa singularité, Françoise Adret enchaîne les postes à responsabilité. Elle est nommée maître de ballet au Ballet théâtre contemporain (BTC) en 1968, puis directrice du Lyon Opéra ballet entre 1985 et 1992. En 1999, elle succède à Pierre Lacotte à la direction artistique du Centre chorégraphique national du ballet de Lorraine, et se voit confier la tâche d'oeuvre à la diffusion de la danse contemporaine. Elle assure par ailleurs la fonction d'inspectrice de la danse au ministère de la Culture de 1978 à 1985. Françoise Adret est à l'origine de plusieurs pièces comme Apollon musagète (1951), Le Rossignol (1972) ou encore Symphonie des psaumes (1992). Danseuse passionnée et chorégraphe de talent, Françoise Adret mêle inspirations classiques et contemporaines dans l'optique de renouveler encore et toujours l'objet de sa passion, la danse.

Source : Le Figaro

Obadia, Régis

Régis Obadia est né en 1958 à Oran (Algérie), il étudie la danse de 1976 à 1979 à l'institut des Arts et du mouvement (Françoise et Dominique Dupuy) et s'initie au théâtre avec Jacques Lecoq. En 1980, il crée avec Joëlle Bouvier la compagnie l'Esquisse. Leurs premières pièces les propulsent au premier plan de la scène nationale et internationale.

Directeurs du centre national de danse contemporaine du Havre de 1986 à 1992, ils sont nommés directeurs artistique du centre national de danse contemporaine d'Angers en 1993, rebaptisé  CNDC l'Esquisse qu'ils dirigent jusqu'en 2003. 

En 1998, Régis Obadia s'engage dans une démarche individuelle de création.
Figure importante de la danse contemporaine depuis le début des années 80, Régis Obadia, a tatoué les mémoires des spectateurs par des pièces à la sensualité fiévreuse et au geste puissant. Avec la création de sa propre compagnie depuis 2003, il impose sa patte singulière et son ouverture d'esprit en œuvrant aussi bien du côté de la danse pure que du théâtre. Collaborant régulièrement à des projets avec la Russie, en tandem avec Lisa Wiergasova, il a obtenu différents prix prestigieux dont "Le Masque d'Or" en 2004 pour sa chorégraphie "Le Sacre du Printemps" et L"a Mouette "en 2004 pour sa mise en scène de "L'Idiot" au festival Tchaïka de Moscou. Après "Le Sacre du Printemps" (2003) sur la musique de Stravinski, il a signé "Réversibilité" (2005), inspiré des Fleurs du mal de Baudelaire et Trois (2006), sur la musique de La jeune fille et la mort de Schubert, présenté au Théâtre Sylvia Montfort à Paris. Parallèlement, il a réalisé un documentaire Dominique Mercy "Danse Pina Bausch" (2003), hommage à l'interprète iconique de la chorégraphe allemande.


Source : site de la compagnie Régis Obadia


En savoir plus : regisobadia.com

Lagraa, Abou

Né à Annonay, c’est à l’âge de 16 ans qu’Abou Lagraa prend son premier cours de danse. Une porte ouverte par le jazz… C’est le coup de foudre immédiat, la danse devient sa forme d’expression première, du jazz au classique puis à la danse contemporaine, puisqu’il sort du Conservatoire national Supérieur de Musique et de Danse de Lyon. Comme sa danse, tout s’accélère pour Abou qui de 1992 à 1996, danse aux côtés de Rui Horta et du SOAP Dance Theater Frankfurt en Allemagne. Il devient son assistant à la chorégraphie pour le Ballet du Gulbenkian de Lisbonne. Un début de carrière européenne qui lui donne aussi une façon d’envisager, de manière très différente du modèle français, le mode économique d’une compagnie ; ouverte sur le partenariat et le mécénat privé.     

Le danseur est très vite remarqué pour son énergie, sa virtuosité et sa musicalité. Porté par une critique et des professionnels unanimes, il crée en 1997 sa compagnie qu’il nomme La Baraka (la chance, en arabe) car il estime « avoir eu la chance de rencontrer les bonnes personnes au bon moment ». En 1998, il crée sa première pièce Violatus, tourbillon de duos intimes et de scènes de groupes enlevées, portés par un bouquet de danseurs en violet et rouge profond, salué par la critique et les professionnels. Suivent à un rythme intense : Kraft (1999), Nuit Blanche (2000)… Pièces après pièces, l’écriture chorégraphique s’enrichit devient plus ample et se confronte à d’autres univers. Il réussit de manière innovante une vraie rencontre, entre la danse hip-hop et sa danse contemporaine. Passage un trio d’hommes « choc » en janvier 2000, puis Allegoria Stanza en 2002, où ces trois danseurs hip-hop et les sept danseurs contemporains de sa compagnie sont mis face à une matière de base : le style Abou Lagraa pour mieux recréer une énergie propre et fulgurante. La pièce est lumineuse

La Baraka est désormais sur orbite. Abou Lagraa enferme ses danseurs dans un appartement Cutting Flat (2004), puise dans l’intime et l’épuisement Où Transe (2005) et enchaîne les résidences. À Bonlieu - Scène nationale d’Annecy comme artiste associé de 2004 à 2008, au Théâtre des Gémeaux - Scène nationale de Sceaux de 2009 à 2014, puis à la Maison de la Danse de Lyon en 2015. En 2009, le prix du meilleur danseur international est décerné à Abou Lagraa par le Movimento Dance Prize à Wolfsburg. 

Abou est aussi sollicité pour créer des pièces pour de grandes compagnies néo-classiques prestigieuses. Fly Fly en 2001 avec le ballet Lorraine, en 2006 Le Souffle du Temps pour le ballet de l’Opéra national de Paris avec 21 danseurs. La dernière en date, est une petite merveille, Wahada pour les 22 danseurs du ballet du Grand théâtre de Genève (2019). 

La Baraka à deux, évolution, ébullition ! En 2006, Nawal Lagraa Aït Benalla entre à La Baraka par le biais d’une audition. C’est la rencontre de deux artistes de double culture dont les différences, vont les faire évoluer. Sous l’influence de Nawal, La Baraka se transforme car Abou renoue avec ses origines et prend de plus en plus de plaisir à transmettre le matériau chorégraphique qu’il a accumulé, à ses danseurs, mais aussi aux amateurs. À partir de 2009, il opère un double retour aux sources. D’abord de l’autre côté de la Méditerranée, avec l’aventure du Ballet Contemporain d’Alger et la pièce Nya, pour laquelle le chorégraphe reçoit le prix de la meilleure chorégraphie de l’année par le Syndicat de la Critique en 2011.

En février 2018, La Baraka s'implante à Annonay (en Ardèche) dans la Chapelle Sainte-Marie qui, dans l’esprit d’une « Villa Médicis » pour la danse, devient un lieu d’accueil en résidence pour des chorégraphes français et internationaux. Abou et Nawal Lagraa décident, ensemble, de codiriger La Baraka et le Studio Chorégraphique Chapelle Sainte-Marie.

En 2019, Les Lagraa & Les Fondations Edmond de Rothschild élaborent le programme Premier(s) Pas qui propose un accompagnement sur-mesure à 360° destiné à des danseurs professionnels. En découlera en 2020, la création Premier(s) Pas sur les 8 lauréats du programme.

En 2023 et pour la première fois, Abou Lagraa se verra confier la mise en scène et la chorégraphie d’Orphée et Eurydice de Gluck pour l’Opéra de Sarrebruck en Allemagne.

2020 - Premier(s) Pas, de Nawal Lagraa Aït Benalla (volet 1) & d’Abou Lagraa (volet 2)

2018 - Wahada pour les 22 danseurs de Ballet du Grand Théâtre de Genève

2017 - Wonderful One, première au Festival Oriente/Occidente, Rovereto (Italie)

2017 - Dakhla, première à Suresnes Cité Danse 2017

2015 - Le Cantique des cantiques, première à la Maison de la Danse de Lyon

2013 - El Djoudour pour l’ouverture de Marseille – Provence 2013, capitale européenne de la Culture

2012 - Univers…l’Afrique pour les Gémeaux Scène Nationale de Sceaux

2010 - Nya pour le Ballet Contemporain d’Alger

2010 - Un Monde en Soi avec le Quatuor Debussy

2009 - Cérémonie de clôture du Festival Panafricain à Alger (Algérie)

2008 - Everyone's one pour le Memphis Ballet (USA)

2008 - D'Eux Sens

2007 - Nawal (ou l’offrande) pour le Centre Méditerranéen de Danse Contemporaine de Tunis

2007 - My Skin pour la Hochschule de Francfort

2007 - Matri(K)is

2006 - Le Souffle du Temps pour les étoiles (Marie-Agnès Gillot, Manuel Legris et Wilfried Romoli) et le Ballet de l’Opéra de Paris

2006 - Le Pas Suspendu avec l'Orchestre des Pays de Savoie « La Jeune Fille et La Mort » (Schubert) et les « Trois Tempéraments » (Hindemith) 

2006 - R.B.V.B.

2005 - Où Transe

2004 - Cutting Flat

2003 - Leïla pour l’école supérieure du Centre de Danse Contemporaine d’Angers

2002 - Allegoria Stanza

2001 - Fly, Fly au CCN Ballet de Lorraine (au répertoire de l’ABC Dance Company - Saint Pölten, Autriche)

2000 - Nuit Blanche

2000 - Passage

1999 - Kraft

1998 - Violatus

1998 - Les 2

Riolon, Luc

Après des études de mathématiques supérieures et de médecine, Luc Riolon débute la réalisation dans le cadre de sa faculté de médecine, puis rencontre les chorégraphes des années 1980 (Maguy Marin, Mark Tompkins, Josef Nadj, Daniel larrieu, Odile Duboc, Josette Baiz, Angelin Preljocaj, etc.) avec qui il tourne de nombreux films (recréation pour la caméra, captations). Dans les années 1980 avec le chorégraphe américain Mark Tompkins il introduit la vidéo sur la scène, retransmettant en direct sur des écrans géants les images qu'il tourne avec sa caméra en étant sur le plateau avec les danseurs, mélangeant images sur bande et direct.
Avec Daniel Larrieu, il participe à la création du spectacle Waterproof, chorégraphie contemporaine qui se déroule dans une piscine, en filmant en direct les danseurs évoluant dans l'eau et mixant les images en direct avec des images subaquatiques préenregistrées.
Puis il collabore pendant 10 ans avec Eve Ruggieri pour son émission « Musiques au cœur ». Il tourne avec elle de nombreux documentaires sur la musique classique, l'opéra et la danse.
À partir de 1999 il réalise des documentaires de vulgarisation scientifique, en suivant les travaux de chercheurs de terrain attachés à la résolution d’une énigme particulière. Ces deux domaines artistiques et scientifiques qui peuvent sembler bien séparés l’un de l’autre mais sont pourtant, au regard de Luc Riolon, animés de la même démarche. Le désir de comprendre le monde, que ce soit par l’art ou par la recherche scientifique, et restituer cette découverte au plus grand nombre. Parmi ses documentaires scientifiques récents, on peut citer par exemple « Tchernobyl, une histoire naturelle ?», « L’Énigme du Caïman Noir », « Voyage en eau trouble » ou « Delta du Nil : La fin du miracle ». Ces documentaires de vulgarisation scientifique ont récemment reçu des prix dans des festivals en France, comme à l’étranger.


Source: Vimeo

CNDC - Angers

Le Centre national de danse contemporaine – CNDC – a été créé en 1978  à l’initiative du Ministère de la Culture et de la Ville d’Angers. Il  faisait suite au B.T.C. Ballet théâtre contemporain dirigé par Françoise  Adret et Jacques-Albert Cartier, transféré à Nancy. Conçu comme école  de chorégraphes et le siège d’une compagnie permanente, il est dirigé  par Alwin Nikolais pendant trois ans.

Lorsque Viola Farber lui succède en 1981, l’école se spécialise dans  la formation de danseurs. Viola Farber constitue une nouvelle compagnie  et inaugure un programme de formation pédagogique.

En avril 1984, la direction du CNDC est confiée à Michel Reilhac. Le  centre forme toujours des danseurs interprètes et des professeurs. Il  n’abrite plus de compagnie permanente mais sert de plateforme de  production grâce à des résidences. Sont alors présentes de grandes  compagnies de renommée internationale (en résidence pour deux à trois  mois) et des compagnies plus jeunes (dans le cadre des « Quartiers  d’été »). C’est ainsi que Merce Cunningham et sa compagnie inaugurent le  grand studio Bodinier et que se succèdent des personnalités telles que  Régine Chopinot, Maguy Marin, Odile Duboc, Dominique Bagouet, Mathilde  Monnier et Jean-François Duroure, Edouard Lock, Hervé Robbe, Philippe  Decouflé, Catherine Diverrès et Bernardo Montet, Daniel Larrieu, Trisha  Brown, Wim Vandekeybus…

En avril 1988 la nouvelle directrice, Nadia Croquet, continue de  développer une politique visant à soutenir la création, avec une  ouverture plus spécifique sur l’Europe. En janvier 1993, Joëlle Bouvier  et Régis Obadia sont nommés directeurs artistiques du CNDC alors  labellisé CNDC l’Esquisse.

Le CNDC, devenu centre chorégraphique national (CCN) dans les années  1990, renforce sa mission de pôle chorégraphique grâce à la production  de spectacles et à son rôle de conseiller artistique tout en poursuivant  la formation. Parallèlement, de 1986 à 2006, il travaille avec le  Nouveau Théâtre d’Angers, centre dramatique national, pour proposer une  programmation de spectacles chorégraphiques, accroissant ainsi  l’audience et la lisibilité de la danse auprès des publics en  multipliant les regards sur la création contemporaine.

En février 2004, le CNDC est placé sous la direction de la  chorégraphe Emmanuelle Huynh, il entend alors perpétuer la tradition de  l’expérimental propre à la danse contemporaine et proposer une école en  lien avec les dynamiques de la création contemporaine. A partir de 2011,  l’Ecole du CNDC est dotée de deux formations d’envergure, l’une conduit  au Diplôme national supérieur professionnel de danseur (DNSPD) et à la  licence, la seconde prépare à un master.

Robert Swinston, nommé en 2012 directeur artistique du CNDC par le  Conseil d’administration, prend ses fonctions en janvier 2013. Créer et  encourager la création, faire fructifier l’héritage de Merce Cunningham,  programmer des spectacles dans des esthétiques variées, former des  artistes autonomes, polyvalents et d’un haut niveau ainsi que favoriser  l’émergence de nouveaux talents,  tel est l’objet de son projet pour le  CNDC. Transmettre aux publics les fondements d’une démarche de création,  sensibiliser les jeunes et faire rayonner le CNDC tant à l’échelle  locale, que nationale et internationale, tels sont les objectifs de  Robert Swinston pour le CNDC.

Les directeurs du CNDC depuis sa création :

Alwin Nikolais (de septembre 1978 à juillet 1981)
Viola Farber (de septembre 1981 à juillet 1983)
Michel Reilhac (de mars 1984 à décembre 1987)
Nadia Croquet (de mars 1988 à décembre 1991)
Joëlle Bouvier et Régis Obadia (de janvier 1993 à juin 2003)
Emmanuelle Huynh (de février 2004 à décembre 2012)
Robert Swinston (de janvier 2013 à juin 2020)

Noé Soulier depuis juillet 2020

Parole de danseurs

Interprétation : Françoise Adret, Michel Archimbaud, Silvia Bidegain, Joëlle Bouvier, Marie-France Delieuvin, Dominique Dupuy, Rick Merril, Régis Obadia, Abou Lagraa, Alvaro Restrepo et les étudiants de l’école supérieure du CNDC promotions 2000-2002 et 2001-2003 Grégory Alliot, Orin Camus, Marie Cassat, Hafiz Dhaou, Amala Dianor, Gabriel Galindez, Emile Josse, Jazmin Londono Castaneda, Aïcha M'Barek, Stéphanie Pignon, Rolando Rocha, Céline Roussel, Yeugueni Vakarin, Aurélie Vandevelde, Hamza Aloui, Damiano Bigi, Estelle Delcambre, Ivan Fatjo, Shimrit Golan, Noélia Goldberg, Sébastien Ly, Johanna Mandonnet, Aurélien Mangata, Africa Manso Asensio, Jun Hee Park, Ana Popovic, Anne-Laure Rondel, Javier Torres Nino

Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Farid Rezkallah (production déléguée)

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