Soyons Fous
2020
Chorégraphe(s) : Mzé Hamadi Moissi, Salim (Seush) (Comoros)
Présentée dans la/les collection(s) : Compagnie Tche-Za
Producteur vidéo : Cie Tche-Za
Soyons Fous
2020
Chorégraphe(s) : Mzé Hamadi Moissi, Salim (Seush) (Comoros)
Présentée dans la/les collection(s) : Compagnie Tche-Za
Producteur vidéo : Cie Tche-Za
Soyons Fous
2015
35mn, couleur
Chorégraphe : Salim Mzé Hamadi Moisi (Seush)
Interprètes : Fahardine Fakri, Mohamed Abdou, Oirdine Mohamed, Abdel Kassim Ahmed
Réalisation : Cie Tche Za
Production : Cie Tche Za
Soutien : Alliance Française de Moroni, Hip hop Evolution, CCAC-Mavuna, SCAC de Moroni, Alliance Françaises des Comores
Soyons Fous
Portée par la danse Hip hop et la danse traditionnelle comorienne, la Cie Tche-Za nous livre « Soyons fous », sa deuxième création, emprunt des techniques contemporaines.
Quatre danseurs nous font vivre les relations qui existent entre la liberté et la folie. Le but recherché est la libération de l'esprit et du corps par rapport aux contraintes sociales.
Cette pièce est une réflexion sur les conditions de vie des populations comoriennes, qui vivent un quotidien extrêmement difficile, dans une totale acceptation et peu de désir réel de changement. Danser le changement, interpréter son quotidien et montrer son futur, ses désirs, se mêlent.
« Voir l'état actuel de la société et comment évoluent les choses autour de nous, me donne envie de dépasser l'entendement. Envie de relâcher la pression, d'être libre, de faire le fou. Je cherche à transcender sur le moment une personne normale pour le placer dans
un contexte de folie. Je voudrais lui redonner sa liberté, la liberté d'oser faire les choses, de voir le monde différemment. La liberté d'être une personne différente qui agit de manière incontrôlable. Ma réflexion m'a amené à découvrir la liaison entre les fous et les gens normaux ». Un langage du corps qui rapproche la logique et l'illogique.
« Et si pour changer il fallait faire comme les fous ? » (Seush)
Le mode d'expression se veut émotionnel et agressif. Les techniques contemporaines cachent subtilement le Hip hop, les origines traditionnelles et le Krump.
Mzé Hamadi Moissi, Salim (Seush)
Figure de la scène chorégraphique hip hop en Afrique, Salim Mzé Hamadi Moissi (alias Seush) est un danseur autodidacte qui a d’abord appris la danse dans la rue. Il s’est ensuite professionnalisé entre autres à l’École des Sables de Germaine Acogny, à Dakar. Il a été interprète du chorégraphe gabonais Arnaud Ndoumba ainsi que du français Anthony Egéa. Il est à la tête de la compagnie TchéZa et soutient le développement de l’art chorégraphique aux Comores notamment avec le festival biannuel Ntso Uziné, à Moroni. Il crée quatre pièces: Wutama hip hop, Kreuz, Mon mur, Soyons fous et Massiwa. En mai 2021, Salim a créé la première École de danse aux Comores, Tcheza School, un lieu dédié à la danse.
Lalanbik
Lalanbik est fondé en 2014 à l'Ile de La Réunion. La structure contribue à la valorisation des acteurs et des écritures chorégraphiques des territoires de l'Océan Indien. Lalanbik met en œuvre des outils de ressources en ligne : l'un, son site internet, concerne l'actualité Danse Océan Indien et l'autre, sa vidéothèque, apporte des contenus sur les écritures des Danses traditionnelles ou contemporaines. Lalanbik travaille en partenariat pour mener ses actions en faveur de l'élargissement des publics : médiathèques, salles de diffusion, compagnies chorégraphiques, écoles de danses, établissements scolaires et d'enseignement supérieur.
En savoir plus : www.lalanbik.org
Soyons Fous
Chorégraphie : Salim Mzé Hamadi Moisi (Seush)
Interprétation : Fahardine Fakri, Mohamed Abdou, Oirdine Mohamed, Abdel Kassim Ahmed
Musique originale : Diwess
Autres collaborations : Alliance Française de Moroni, Hip hop Evolution, CCAC-Mavuna, SCAC de Moroni, AF Comores
Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Compagnie Tche-Za
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Compagnie Tche-Za
Durée : 35 mn
40 ans de rock et danse
les ballets C de la B et l'esthétique du réel
Rencontres avec la littérature
La collaboration entre chorégraphe et écrivain fait apparaître de multiples combinaisons. Parfois, ce n’est plus le chorégraphe qui « met en danse » le texte d’un auteur, c’est l’écrivain qui prend la danse pour sujet ou matière de son texte.
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Classique, tellurique, chamanique, révolutionnaire ? Le 29 mai 1913, la première du "Sacre du printemps" de Nijinski fit scandale. Ce webdoc vous raconte l'histoire de cette pièce majeure qui a inspiré tant de chorégraphes.
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