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Contemporain - Epreuves de danse 2021. Variation N°8. Fin du 1er cycle, garçon et fille (reprise 2019)

Ministère de la Culture 2018 - Réalisateur-rice : Le Mao, Gilles

Chorégraphe(s) : Guillouet, Line (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Ministère de la Culture , Épreuves de danse - Archives danse contemporaine

en fr

Contemporain - Epreuves de danse 2021. Variation N°8. Fin du 1er cycle, garçon et fille (reprise 2019)

Ministère de la Culture 2018 - Réalisateur-rice : Le Mao, Gilles

Chorégraphe(s) : Guillouet, Line (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Ministère de la Culture , Épreuves de danse - Archives danse contemporaine

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Contemporain - Epreuves de danse 2021. Variation N°8. Fin du 1er cycle, garçon et fille (reprise 2019)

Commentaire pédagogique

Le titre de cette variation Portrait et paysage est un clin d’œil aux formats utilisés en informatique et en photographie désignant la verticalité et l’horizontalité mais il parle aussi de la relation entre le danseur et l’espace.

La variation est une proposition dans laquelle l’élève danseur se dévoile en même temps qu’il habite un espace.

En cela, bien que les chemins soient écrits, il est important que la singularité de chacun puisse trouver une place.

La variation est courte (1’45). Cela permet d’une part aux élèves de la danser seuls et laisse d’autre part la possibilité à chacun d’écrire son entrée dans l’espace.

Cette courte composition peut être envisagée dans des modalités choisies par le professeur (elle doit cependant s’effectuer dans le silence et durer 30’’ maximum). Elle peut s’appuyer sur les pistes de travail proposées plus loin.

Dans la variation proposée, l’idée de paysage est étroitement liée au va-et-vient entre l’espace du studio (concret) et l’espace imaginaire, les deux espaces se rejoignant dans la perception, par une présence sensible.

L’ouvrage Writings on water de Carolyn Carlson[1] a été un point d’appui, donnant une direction particulière à l’écriture spatiale à partir des caractéristiques de la calligraphie.

La photographie, notamment le travail de Raymond Depardon [2], a également nourri le travail sur l’espace.

Plusieurs pistes de travail se sont dégagées :

a) Dessiner un paysage (idée de la page blanche, d’un espace « vide », vierge), inscrire, écrire, laisser des traces, tracer des traits épais ou fins, courbes ou linéaires, dans les 3 plans de l’espace ; s’appuyer sur l’idée de l’encre, de l’eau, travailler sur ce qui reste et ce qui s’efface, laisser des empreintes, tisser l’espace…

b) S’inscrire à l’inverse dans un espace préexistant, pensé comme un paysage. Entrer dans un espace : cheminer, contourner, s’infiltrer, s’inscrire, se déposer…

Choisir un dessin, une photo ou une image comme « lieu » de sa danse.

c) Paysage extérieur et paysage intérieur : Quel paysage aimes-tu ? Quel paysage serais-tu ? Qu’est-ce que tu aimes contempler ? Le corps peut-il être paysage ?…

Danser dehors (référence possible aux happenings) ?

Expérimenter ou convoquer par l’imaginaire des textures de sol diverses (herbe, sable, terre, roche, eau…).

Observer la lumière comme possibilité de donner une texture à l’espace, de le délimiter (photographie).

d) La musique comme paysage sonore (flux, nappe, horizon, résonnance, espace sonore, « tracé » de la mélodie, matière etc …).

____________________

Relation à la musique

La relation entre la danse et la musique est pensée comme un dialogue. L’écoute aiguisée permise par un accompagnement en « live » doit être conservée le plus possible lors du travail sur support enregistré. La partition a été écrite pour piano seul initialement mais le soutien des percussions s’est révélé nécessaire pour aider le danseur à inscrire le phrasé d’une part et à moduler l’énergie dans le jeu. La partition piano permet, pour les cours accompagnés, de travailler sur le dialogue avec le musicien.

La variation se compose de 3 parties distinctes musicalement :

1. Une première partie écrite en 2 phrases de 8 mesures en 5/8 legato puis 2 phrases de 5 mesures en 5/8 plus percussifs.

L’idée principale est le flux : grands déplacements, flux continu et modulé, dessins laissés dans l’espace, surfaces, sillage, grands tracés dans les 3 plans de l’espace (frontal, sagittal, horizontal ou transversal) dans le déséquilibre et l’élan.

La musique est ici moteur, elle porte et matérialise le flux.

2. Une deuxième partie non mesurée qui se compose de « traits » mélodiques, laissant place à des moments courts de silence que le danseur pourra habiter de façon singulière. Elle correspond à un moment de dépôt, d’abandon et de transfert de poids au sol pour le danseur, dans l’idée de laisser des empreintes.

3. Une troisième partie plus dynamique. C’est une valse « terrienne » qui s’écrit en 3 grandes phrases de 12 mesures à 3/4. Elle correspond à une partie de sauts, de déplacements rapides, de déploiement d’énergie et de transferts d’appuis. Elle est dans le jeu. Cette fois le danseur suit mais devance aussi le musicien par instants.

Détails pour la lecture du mouvement

1. Première partie

Il s’agit d’une partie qui se déplace beaucoup, le mouvement est initié le plus souvent par les transferts d’appuis dans un jeu de résonnance avec le haut du corps (impulse) entre déséquilibre et équilibre. La relation entre le centre et les appuis doit être forte. La relation à l’espace oscille entre l’espace proche et l’espace projeté (de façon concentrique et excentrique). Les trajectoires doivent être dans l’engagement moteur et la relation à la musique invite à habiter les espaces entre les temps (phrasé).

Phrase 1 (8 mesures à 5/8)

• Début de dos au lointain à jardin. Deux mesures de 5/8 d’écoute (introduction et pré-mouvement) puis transfert sur le pied droit (3ème mesure) dans un élan horizontal accompagné du bras droit plié (relation omoplate/main, tracé de l’avant-bras), déséquilibre 2 pas vers la cour puis suspension dans le transfert sur pied gauche avec 1/2 tour et suspension du bras gauche (4ème mesure) et fente 2nde vers le jardin sur pied droit (bras autour de la taille et torsion avec une légère flexion du buste en relation au transfert de poids).

• Puis diagonale lointain creuser avec la main droite en appui sur le pied droit (jambe droite pliée, talon gauche soulevé), puis extension avec ½ tour sur relevé dans une spirale ascendante (le 1er temps de la 6ème mesure est en haut) pour revenir face à la diagonale (face jardin) en extension les deux bras étirés.

• Balancé courbe devant (la tête est plus haute que le bassin, très ancré) (7ème mesure) puis légère torsion vers la gauche avec un étirement sur l’axe terre-ciel en relevé (8ème mesure).

Phrase 2 (8 mesures à 5/8)

• Pas chassé devant en dehors pris dans le déséquilibre sur le 1er temps de la 1ère mesure puis saut « enjambé » (proche d’un galop ou d’un saut de chat //) (les bras sont en 1ère haute grâce au soutien de la cage thoracique « légère ») sur le 2ème temps de la 2ème mesure.

• Le changement de trajectoire après cette diagonale de sauts se fait par un tracé simultané en arc de cercle sur l’horizon du pied droit (rond de jambe en dedans), du bras droit (paume de main vers le ciel) et du regard (donc sur 3 niveaux) sur le 3ème temps de la 3ème mesure (accent et résonnance).

• Course circulaire vers la cour puis « volte face » (tour enveloppé) sur la 5ème mesure et 3 pas en reculant en // (commence pied droit) avant de revenir face pour une sissonne en // vers le jardin (7ème mesure) et en résonnance courbe du dos devant et déroulé pendant la 8ème mesure.

Phrase 3 (5 mesures)

Cette phrase a une identité particulière car elle est minimaliste et dans l’idée de pointillés, d’un « vide ».

Elle se déplace moins et visite la kinesphère.

• Recul furtif vers le lointain sur le premier temps de la première mesure, passage en 1ère (en dehors « confortable » à partir des hanches), le regard est face.

• Repousser orteils pied gauche avec bras gauche horizontal comme un balancier, le regard est à l’horizontal à gauche (cour) sur la 2ème mesure (accent sur le 1er temps).

• Dégagé pied droit et extension (1er temps de la 3ème mesure) regard en haut, puis transfert du poids 2nde avec ½ rond de buste pour revenir en retiré sur la jambe gauche (appui), le regard retrouve la face pour un moment d’équilibre (4ème et 5ème mesures).

Rq : il y a une montée chromatique qui aide au placement du regard et invite le danseur à un crescendo d’énergie. Le danseur est quelques instants seul avec le percussionniste.

Phrase 4 (5 mesures)

Reprise du thème jusqu’au ralenti.

• Retour à l’horizontalité du regard et du tracé du bras droit (main reliée à l’omoplate) puis « tombé » dans l’espace arrière pour retrouver la diagonale face/jardin ; piqué sur pied droit en // avec coude droit orienté devant soi (analogie genou/ coude), avancer de 2 pas (pied gauche et pied droit) puis au moment de la fermeture en // jeu de balanciers relâchés des bras dans la torsion (bassin non verrouillé).

• Ramener les mains près du sternum (retour à l’espace proche) et entrer dans le « coin » de la diagonale (comme pour s’inscrire comme dans une faille) dans la courbe puis dessiner la verticale (l’axe terre-ciel) jusqu’à se « suspendre » à la main droite (suivre le ralenti).

2. Deuxième partie

La musique n’est pas mesurée et suit le mouvement.

• Chute sur l’axe dans l’idée de fondre (sablier) pour se déposer au sol, s’y lover.

• Ouverture en étoile dos au sol (relation centre-extrémités), comme on se pose dans l’herbe par exemple.

• Spirale engagée par le bout des doigts de la main gauche avec l’aide de l’appui du talon gauche ainsi qu’un appui approfondi de la cage thoracique dans le sol (détente du sternum). Cette spirale qui nécessite un changement de tonus pour se déposer et suivie d’une fermeture rapide autour du centre arrivée à genoux puis du déroulé du dos (apparition du danseur, idée de portrait).

• Ouverture 4ème au sol suivi d’un mouvement global en ½ cercle de l’ouverture du bras droit et du regard vers l’extension.

• Transfert pour s’asseoir et se poser en observateur d’un paysage (diagonale lointain jardin).

• Regard au-dessus de l’épaule droite puis appui sur la main droite pour suspendre le bassin et reculer en regardant les empreintes laissées au sol.

• Relevé en // comme pour aller cueillir la dernière note aiguë avec le sommet de la tête.

3. Troisième partie

Après un silence qui est celui d’une respiration (ou celui d’un tourner de page pour le musicien), une nouvelle partie s’amorce. Elle est en 3/4, c’est une valse ancrée.

Phrase 1 (12 mesures en ¾)

• Pendant les deux premières mesures, le poids de la tête s’engage dans le plan sagittal (flexion, courbe haute, avec double direction offerte par la direction du coccyx) puis amorcer un grand déséquilibre (début de la 3ème mesure) puis appui sur pied gauche (fin de la 3ème mesure).

• Temps levé en retiré // sur le 1er temps de la 4ème mesure (bras 1ère avec idée de volume) puis jeté double attitude en // avec un cercle des bras sur le plan frontal de droite à gauche sur les 2ème et 3ème temps de la 5ème mesure, réception sur 6ème mesure.

• Transfert sur pied droit vers diagonale lointain jardin avec bras droit qui « coupe » et dessine l’horizontale avec cette fois un impact (1er temps de la 7ème mesure) (le regard est à l’opposé, à gauche), puis pivoter sur le talon droit pour un pas de transition et pas chassé devant en –dehors (pied droit devant) (8ème mesure) suivi de trois sauts d’un pied sur l’autre en // (gauche, droite, gauche) pendant les 9ème et 10ème mesures, d’un assemblé en // 11ème mesure) et soubresaut avec ½ tour vers la droite arrivée en 1ère (12ème mesure) prolongé par une respiration/suspension.

Phrase 2 (12 mesures en ¾)

• Ouverture 2nde à droite dans le plié (rebond) avec balancé latéral du buste et des bras initié par le poids vers la terre (ancrage du bassin) (le transfert des pieds est celui d’un pas de valse mais sans accent en haut) puis idem à gauche mais avec le regard face à la direction (diagonale) et le dos dans une verticalité (1ère et 2ème mesures).

• Deux pas en // (droite, gauche) en avançant avec une énergie contenue et une intention spatiale claire (3ème et 4ème mesures).

• Triplette en avançant en tournant avec un accent avec le bras droit redonnant l’énergie (idée d’éclabousser et d’ouvrir un espace) (5ème mesure) puis petit temps levé en dehors (passé à la cheville) bras 2nde « légers » (idée d’un ricochet) (6ème mesure) et volte face autour du pied gauche utilisé comme pivot (pied droit sur ½ relevé, dans l’idée d’un jeu, tourne vers la gauche) avant de retrouver l’ancrage de la // ½ plié avec courbe globale devant (toujours orienté dans la diagonale) (11ème mesure) puis déroulé du dos sur la fin de phrase musicale (12ème mesure) et légère suspension du haut du corps dans la respiration (anacrouse).

Phrase 3 (12 mesures en ¾)

• Temps lié en // devant pied droit, dans le poids (bassin, centre dynamique) (1ère mesure), revenir sur le pied gauche (2ème mesure) puis fente devant (ajuster le talon gauche pour l’en dehors de la jambe de terre) (3ème mesure), fente 2nde (4ème mesure) et repousse pour amplifier la fente avec une courbe latérale du buste à droite (dans le poids) (5ème mesure).

Rq= l’idée dans les transferts d’appui est de suivre les intervalles joués au piano, de trouver une analogie entre l’espace sonore et l’espace crée entre les appuis (comme si les pas étaient sur la clavier !).

• Revenir sur la jambe de terre (gauche), jambe droite attitude 2nde (les bras sont ouverts à l’espace dans une large 2nde) (6ème et 7ème mesures).

• Changement rapide de pied d’appui (le pied droit remplace le pied gauche) avec retiré de la jambe droite (idée du raccourci en classique) pour aller dans une arabesque en « planche » sur ½ plié en dehors (relation sommet de la tête et orteils du pied gauche) (8ème et 9ème mesures), les mains « pressent » un espace bras allongés.

• Repoussé du sol à partir du pied droit coordonné avec un déroulé rapide du dos et une direction du genou gauche vers la droite (croisé, sur le plan transversal) (10ème mesure) engageant le danseur dans une course courbe puis course linéaire (directe) vers le lointain (au centre) dans l’idée d’une fuite, d’un échappatoire, d’une prise d’espace (toujours dans le jeu) (11ème et 12ème mesures) arrêtée comme par surprise.

Rq : le crescendo dans l’énergie est important car il clôt la variation par une suspension.

Remarques générales :

Les adaptations sont possibles pour adapter, simplifier ou complexifier les chemins proposés en fonction des élèves.

L’objectif principal est que l’élève s’appuie sur la maîtrise d’éléments techniques fondamentaux pour proposer une danse qui lui ressemble dans une relation sensible à l’espace et à la musique.

Line GUILLOUET

[1]CARLSON, Carolyn. (2017). Writings on water. Arles : Actes Sud

[2]DEPARDON, Raymond. (2000). Errance. Paris : Éditions du Seuil

!! Pour compléter cet accompagnement pédagogique, la chorégraphe Line Guillouet propose des images accessibles à la page 48 du livret pédagogique disponible en cliquant sur les liens ci-dessous.

Guillouet, Line

Après des études au CRR de Caen, Line Guillouet rejoint rapidement la compagnie Aller/retour dirigée par Jesùs Hidalgo auprès duquel elle travaille pendant cinq ans. Elle étudie en même temps les Lettres Modernes à l’Université de Caen et suit des formations auprès de personnes qui marqueront son parcours comme Martin Kravitz, Ruth Barnes, Odile Rouquet, Michèle Pereira, Kevin Kortan, Thierry de Mey…

Après un diplôme d’État en danse contemporaine obtenu en 1998 à l’Ifedem sous la direction de Françoise Dupuy, elle se lance dans l’aventure de l’enseignement et rejoint en 1999 le CRR de Caen où elle enseigne encore aujourd’hui. Elle s’investit dans la « Danse à l’École » et mène des actions de sensibilisation et d’éducation artistique, ayant à cœur de relier sa recherche artistique et la transmission.

Elle reste interprète notamment pour la compagnie AMA (Mélanie Marie et Nicolas Maurel) depuis 2003 et commence l’écriture chorégraphique au sein de la compagnie l’Averse qu’elle crée en 2010 avec Cécilia Emmenegger.

Elle obtient le Certificat d’Aptitude aux fonctions de professeur en danse contemporaine en 2017 suite à la Formation diplômante dispensée par le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon

Robin, Natalia

Natalia Robin commence à étudier le piano à l’âge de 5 ans. En 2004, elle obtient son diplôme de Master en piano à l’Académie de Musique de Cracovie (Pologne). Elle donne de nombreux concerts et participe aux festivals de musique classique et contemporaine en Pologne et en Allemagne. Guidée par la curiosité musicale, elle découvre et pratique diverses écritures musicales pendant un séjour de deux ans aux États-Unis. Elle y commence la composition.

En 2007, elle est engagée comme pianiste accompagnatrice à l’Opéra de Cracovie où elle travaille pendant sept saisons consécutives. Elle accompagne notamment les répétitions du Ballet de l’Opéra de Cracovie et y découvre un intérêt pour la relation au mouvement dansé.

Depuis 2016, installée en Normandie, elle est pianiste accompagnatrice des classes de danse classique et de danse contemporaine au Conservatoire à Rayonnement Régional de Caen. Parallèlement, elle se produit dans des concerts de la saison culturelle de l’Orchestre de Caen.

Le Mao, Gilles

Dirigeant de la société de production La Huit depuis 1990, Gilles Le Mao produit et réalise pour le compte de la Délégation Générale de la Création Artistique, plus de 300 variations des « Epreuves de danse » depuis 1996.

Producteur délégué de quelques 400 programmes audiovisuels et cinéma à La Huit, il réalise aussi des grands entretiens sur des personnalités de l’ethnologie, de l’architecture, du paysage et de l’histoire de l’art avec le Ministère de la Culture. Prix coup de cœur Musique du Monde 2009 de l’Académie Charles Cros pour le film « Les tambours de Tokyo », il réalise une cinquantaine de concerts documentés sur le jazz, les musiques du Monde et la musique classique depuis 1999.

Il est par ailleurs membre de diverses commissions sélectives cinéma depuis 2009 au CNC et en région Limousin, Normandie et Grand-Est. Depuis 1995, il intervient avec le Ministère de la Culture - Drac Ile de France en lycée et BTS section cinéma et production.

Epreuves de danse 2019. Danse contemporaine. Variation N°8. Fin du 1er cycle. Garçon et fille.

Chorégraphie : Line Guillouet

Interprétation : Aline Blasco

Musique originale : Natalia Robin

Autres collaborations : Avec le concours de la délégation à la danse, de l'inspection à la création artistique , collège Danse.

Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : La Huit Production à partir d'une commande du Ministère de la Culture

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Classique - Epreuves de danse 2019. Variation N°1. Fin du 1er cycle. Garçon et fille.

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