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Pas de vague avant l'éclipse

Le vif du sujet

Ministère de la Culture 1999 - Réalisateur-rice : Riolon, Luc

Chorégraphe(s) : Belarbi, Kader (France) Berki, Farid (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Ministère de la Culture

Producteur vidéo : les films Pénélope; Mezzo; TV10 Angers; 24 images

en fr

Pas de vague avant l'éclipse

Le vif du sujet

Ministère de la Culture 1999 - Réalisateur-rice : Riolon, Luc

Chorégraphe(s) : Belarbi, Kader (France) Berki, Farid (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Ministère de la Culture

Producteur vidéo : les films Pénélope; Mezzo; TV10 Angers; 24 images

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Pas de vague avant l'éclipse

Danseur étoile de l'opéra de Paris, Kader Belarbi s'est frotté au hip hop avec le chorégraphe Farid Berki. Dans Pas de vague avant l'éclipse, il explore l'espace et les matériaux bruts. Au sol avec un sac de papier ou accomplissant des figures acrobatiques, il réinvente des danses rituelles de bâtons avec du bois de chantier et revisite le jonglage musical ou les pas des derviches tourneurs. Une chorégraphie originale sur fond de traditions lointaines et d'objets urbains dérisoires.


Source : Irène Filiberti

Belarbi, Kader

Admis à l'école de danse de l'Opéra de Paris en 1975, Kader Belarbi est  engagé cinq ans plus tard dans le corps de ballet. Nommé quadrille en 1981, coryphée en 1984 puis sujet l'année suivante, il gravit les étapes  avec brio. En 1988, il reçoit le prix de l’AROP et est promu premier  danseur. A l'issue de la représentation de La Belle au Bois Dormant (Rudolf Noureev) dans le rôle de l'Oiseau Bleu - le 19 décembre 1989 -, il est nommé "Etoile" et reçoit le Prix Nijinski la même année.

Il a dansé les nombreux ballets du répertoire de l’Opéra  national de Paris : Giselle, Le Lac des Cygnes (version Bourmeister et  Noureev), Roméo et Juliette, La Bayadère, Don Quichotte, Casse noisette,  la Belle au bois dormant (Noureev), Vaslaw, Casse-Noisette ,  Magnificat, Sylvia, La Dame aux Camelias (John Neumeier). Interprète de  Jérome Robbins qui le choisit pour In the Night, Dances at a gathering, Glass pieces et The Four Seasons, il danse aussi dans les œuvres de  Georges Balanchine (Agon, Serenade, Le Palais de Cristal, Le Fils  Prodigue Les Quatre Tempéraments, Violin Concerto, Symphonie en trois  mouvements, Allegro Brillante, Joyaux) ; Le Tricorne, la Symphonie  fantastique (Massine), Fall River Legend (Agnès de Mille), L'Après-midi  d'un faune (Nijinski), Les Noces (Bronislava Nijinska), Napoli  (Bournonville), Le Chant des Petits Gosses, No man's land, Roméo et  Juliette, Les Quatre Derniers Lieder (Rudi Van Dantzig).

Son registre est vaste. Jouant de préférence « les méchants » dans les  ballets de Rudolf Noureev (Tybalt, Rothbart, Abderam), il peut aussi  interpréter les hommes blessés dans ceux de Roland Petit (Le Jeune Homme  et la Mort, Don José dans Carmen, Le Loup, Frollo et Quasimodo dans  Notre Dame de Paris, Le Rendez-Vous, Camera obscura), les personnages  ténébreux et romantiques (le Poète de la Symphonie Fantastique de  Léonide Massine, Albrecht dans la Giselle classique ou celle de Mats Ek,  les figures bibliques (Le Fils prodigue de Georges Balanchine), comme  les cyniques ( le prêcheur de Speaking in Tongues de Paul Taylor,  Lescaut dans l’Histoire de Manon de Kenneth Mac Millan) ou encore les  charmeurs (Amour/Orion dans la Sylvia de John Neumeier). Son parcours  témoigne d’une ouverture à tous les styles, de Serge Lifar (Suite en  Blanc, Les Mirages, Roméo et Juliette-pas de deux) à Carolyn Carlson,  dont il crée Signes (1997). On note également sa prédilection pour  Vaslaw Nijinsky (Petrouchka, L’après-midi d’un faune, ou Vaslaw de John  Neumeier).

Il  reste un familier de la danse contemporaine et interprète les pièces de  Dominique Bagouet (Fantasia Semplice), Maguy Marin (Leçons de ténèbres,  Ay dios), Daniel Larrieu (Attentat poétique), Odile Duboc (Rhapsody in  Blue), Michel Kelemenis (Selim, Réversibilité, Images) Jean Grand-Maître  (Eja Mater) et participe aux créations de William Forsythe (In the  middle somewhat elevated, Pas./part), Jiri Kylian (Sinfonietta, Bella  Figura). Il a dansé dans Un Trait d’union d’Angelin Preljocaj, (la IXe  Symphonie de Beethoven, Le Concours, Arepo, Variations pour une porte et  un soupir Le Mandarin Merveilleux et le Sacre du printemps) de Maurice  Béjart, Giselle, Appartement et La Maison de Bernarda de Mats Ek, Air de  Saburo Teshigawara, Orphée et Eurydice de Pina Bausch.

Enfin  sa carrière le conduit à se produire en tant qu’artiste invité dans de  nombreuses compagnies internationales. En 1995, il est l’interprète  (acteur et danseur) du Martyre de Saint-Sébastien, mis en scène par Pier  Luigi Pizzi à la Fenice de Venise. Il n’hésite pas non plus à emprunter  les chemins de traverse, surfant avec la danse hip hop de Farid Berki  dans Pas de vague avant l’éclipse, pièce donnée dans le cadre du « Vif  du sujet » au Festival d’Avignon.

Parallèlement à son parcours d’interprète, Kader Belarbi amorce  un travail de chorégraphe en 1987. Parmi ses créations, Le Bol est rond  (1989), Salle des Pas Perdus (1997) sont présentées aux soirées des Danseurs-chorégraphes de l’Opéra  de Paris. Giselle et Willy (1991) est donné au Palais Garnier, lors  d’une soirée de pas de deux. Les Saltimbanques,  ballet pour douze danseurs, inspirés des premières toiles de Picasso,  est créé à l’Orchard Hall de Tokyo en août 1998 et repris à la Maison de  la Danse de Lyon en février 2000. Dans le cadre des Carnets de bal, Bertrand d’At lui commande une création pour le Ballet du Rhin. Ce sera Liens de table en juin 2001. En février 2002, il crée sa première grande chorégraphie pour le ballet de l’Opéra de Paris, Wuthering Heights,  d’après le roman Les Hauts de Hurlevent d’Emily Brontë. En janvier  2003, en collaboration avec la spécialiste de danse baroque, Francine  Lancelot, il crée Bach-Suite 2, dont il interprète d’abord des extraits  lors des hommages rendus par l’Opéra de Paris à Rudolf Noureev et Claude  Bessy, puis dans son intégralité en 2004 au Palais Garnier, ainsi que  pour les vingt ans de l’Ensemble Baroque de Limoges. Cette même année,  il crée sur l’Elégie de Gabriel Fauré, Entre d’Eux pour Marie-Agnés  Gillot et Jiri Bubenicek au gala « Dance for Life » de Bruxelles, Les Epousés,  à l’Amphithéâtre de l’Opéra Bastille, pièce librement inspirée des  lettres de Vincent Van Gogh à son frère Théo, avec les danseurs Nicolas  Leriche, Wilfried Romoli et la comédienne Norah Krief.

En  2005, le réalisateur Nils Tavernier lui confie la chorégraphie d’un bal  oriental et le rôle du Prince Abdallah El Kassar dans son long métrage  Aurore (sortie en salles en mars 2006). Kader Belarbi crée ensuite La Bête et la Belle  - sur une trame musicale de Gyorgy Ligeti - pour les Grands Ballets  Canadiens de Montréal (octobre 2005). Il crée avec son complice Olivier  Massart de “La Mode en images“ plusieurs événements dont un Fashion Show  dans une mise en scène chorégraphiée lors des Jeux Olympiques Asiatiques en novembre 2006, à Doha et conçoit la chorégraphie de la cérémonie d’ouverture de la Coupe du Monde de Rugby en septembre 2007.  Lors de l’année 2007, Il enchaîne avec deux nouvelles créations Entrelacs  pour le Ballet National de Chine à Pékin, ainsi qu’une relecture du  Mandarin Merveilleux pour le Ballet du Grand Théâtre de Genève.

En  Juillet 2008, il a créé Formeries à l’Opéra de Paris, pour un clown,  des musiciens et des danseurs. Etranges Voisins en novembre 2009 pour le  Junior Ballet de Lyon. Liens de Table et À nos Amours pour le Ballet du  Capitole de Toulouse en février 2010. Durant deux saisons (2009-2010 et  2010-2011), il est artiste associé à La Comète, scène nationale de  Châlons-en-Champagne, crée Room pour 6 danseurs contemporains et se produit en tournée avec un ensemble de danseurs.

Il a mis en place des Ateliers Chorégraphiques pour la ville de Châlons et de Toulouse, “Osons danser“ ouverts à tous.

En  2011, il crée pour la télévision italienne RAI, Come un sogno, un pas  de deux pour Benjamin Pech et Eléonora Abbagnato de l’Opéra de Paris,  puis un Pierrot Lunaire accompagné d’une danseuse et d’un guitariste et  un grand ballet pour le Ballet du Capitole, La Reine morte.

Pour  le Ballet du Capitole, qu’il dirige depuis le 1er août 2012, il a créé  Liens de table et À nos Amours (2010), La Reine morte (2011), Étranges  Voisins (2012), Entrelacs, Le Corsaire, La Bête et la Belle (2013), Bach-Suite III (2014), Giselle (2015), Salle des pas perdus et  Mur-Mur (2016), Don Quichotte et Casse-Noisette (2017).

Au fil des saisons, Kader Belarbi laisse les danseurs s’emparer de la diversité des styles chorégraphiques, afin de nourrir leur danse.  Danseur et chorégraphe de renom, Kader Belarbi se distingue par une inépuisable curiosité et un appétit renouvelé d’aventures dansées.

Il a reçu le Prix de l’Arop (1988), le prix Nijinski (1989) et le Prix de  la création artistique (2004). Il est Officier des Arts et Lettres  (2006), Officier de l’Ordre National du Mérite (2015), Chevalier de la  Légion d’Honneur (2008) et “ Meilleure Personnalité chorégraphique de  l'année 2017 “ par l'Association Professionnelle de la Critique Théâtre, Musique et Danse.

Berki, Farid

Dès 1995, Farid Berki mêle le hip hop et le flamenco dans Fantazia, renouvelle l'expérience avec Pétrouchka en proposant une lecture singulière du ballet classique (pièce qu'il remonte en 2001 pour le Ballet du Rhin). En 1999, il obtient le prix des « Nouveaux talents chorégraphiques » de la S.A.C.D et collabore avec le danseur étoile de l'Opéra de Paris, Kader Belarbi dans un solo mis en scène pour le Vif du Sujet à Avignon. Parallèlement, il explore l'univers de la capoeira et monte avec la compagnie Claudio Basilio la pièce Invisible Armada. En 2001, il crée Atomixité sur la thématique des utopies urbaines et en 2002, un solo intitulé Sur le Feel où il se confronte aux autres mais surtout à lui-même. En 2004, il chorégraphie un conte fantastique Six fous… en quête de hauteur scénographié par le dessinateur de BD, François Schuiten et présenté dans le cadre de « Lille 2004, Capitale Européenne de la Culture ». Ce dernier est repris pour la biennale de Danse de Lyon 2006. Parallèlement, le Bateau Feu lui commande Soul Dragon, création événementielle pour 30 danseurs et comédiens (dont 15 danseurs de l'Académie de l'Opéra de Shanghai avec lesquels il travaille depuis 3 ans) pour l'année de la Chine en France. En 2005, il continue de se jouer des stéréotypes et des discours convenus sur le mouvement hip hop et donne naissance à deux pièces : Hip-no-Tic où la recherche les origines utopiques de sa gestuelle et Oud !, duo burlesque où la danse se marie au théâtre. Après trois résidences au Tchad, il s'interroge sur les fondements de la culture hip hop comme mouvement de conscience sur les relations Nord-Sud. Exodust en 2007 et Deng Deng en 2008 sont le fruit de ces réflexions. Le Centre Culturel Français de N'Djaména l'élit artiste associé jusqu'en 2010, mais la guerre annulera cette aventure. En 2009, Farid Berki s'interroge sur la transmission du répertoire et sa passation à la nouvelle génération. Ainsi, il remonte le solo Du feel à retordre pour Nabil Ouelhadj du collectif 6ème sens et propose une conférence dansée autour de l'histoire improbable du hip hop : Hip Hop Aura. En Janvier 2016, Farid Berki est décoré Officier des Arts et des Lettres par le Ministère de la Culture.


Source : France Culture


En savoir plus :

http://www.ciemeltingspot.fr/ 

Riolon, Luc

Après des études de mathématiques supérieures et de médecine, Luc Riolon débute la réalisation dans le cadre de sa faculté de médecine, puis rencontre les chorégraphes des années 1980 (Maguy Marin, Mark Tompkins, Josef Nadj, Daniel larrieu, Odile Duboc, Josette Baiz, Angelin Preljocaj, etc.) avec qui il tourne de nombreux films (recréation pour la caméra, captations). Dans les années 1980 avec le chorégraphe américain Mark Tompkins il introduit la vidéo sur la scène, retransmettant en direct sur des écrans géants les images qu'il tourne avec sa caméra en étant sur le plateau avec les danseurs, mélangeant images sur bande et direct.
Avec Daniel Larrieu, il participe à la création du spectacle Waterproof, chorégraphie contemporaine qui se déroule dans une piscine, en filmant en direct les danseurs évoluant dans l'eau et mixant les images en direct avec des images subaquatiques préenregistrées.
Puis il collabore pendant 10 ans avec Eve Ruggieri pour son émission « Musiques au cœur ». Il tourne avec elle de nombreux documentaires sur la musique classique, l'opéra et la danse.
À partir de 1999 il réalise des documentaires de vulgarisation scientifique, en suivant les travaux de chercheurs de terrain attachés à la résolution d’une énigme particulière. Ces deux domaines artistiques et scientifiques qui peuvent sembler bien séparés l’un de l’autre mais sont pourtant, au regard de Luc Riolon, animés de la même démarche. Le désir de comprendre le monde, que ce soit par l’art ou par la recherche scientifique, et restituer cette découverte au plus grand nombre. Parmi ses documentaires scientifiques récents, on peut citer par exemple « Tchernobyl, une histoire naturelle ?», « L’Énigme du Caïman Noir », « Voyage en eau trouble » ou « Delta du Nil : La fin du miracle ». Ces documentaires de vulgarisation scientifique ont récemment reçu des prix dans des festivals en France, comme à l’étranger.


Source: Vimeo

Pas de vague avant l'éclipse

Chorégraphie : Farid Berki

Interprétation : Kader Belarbi

Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : les films Pénélope, Mezzo, TV10 Angers, 24 images

Durée : 60'

Le vif du sujet

Le Vif du sujet est une manifestation de danse contemporaine du Festival d'Avignon. Chaque année, un chorégraphe choisit quatre danseurs, qui vont solliciter à leur tour chacun un chorégraphe pour créer une pièce d'environ 30 minutes.


Filmés dans leur intégralité, ces quatre spectacles (Mandragore, Pas de vague avant l'éclipse, Petit Psaume du matin et L'Incessante) sont présentés par Karine Saporta, responsable de cette édition 1999.


Source : Ministère de la Culture

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