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Le Corbeau et le Renard

Le Corbeau et le Renard

Le corbeau et le renard

« Le Corbeau et le Renard est la seule fable que je peux encore, trente ans après, réciter par cœur : "Que vous êtes joli !, que vous me semblez beau !"…
Je rendrai donc hommage au souvenir, niché au cœur de ma mémoire d'enfance, de cette société fictive peuplée d'humains, d'animaux, de végétaux qui vivent, dialoguent, s'entredévorent au pays de La Fontaine.
J'aime cet art de conter où le brio et l'élégance de la langue, sa légèreté, nous parle de cruauté, de vanité, de la férocité du monde.»
Source : Dominique Hervieu

Hervieu, Dominique

Née en 1962 à Coutances (en Basse-Normandie), Dominique Hervieu dévore du mouvement sous toutes ses formes, depuis l’âge de six ans. Après un premier amour pour la gymnastique, elle élit la danse comme nouvel objet de sa passion : la danse classique, tout d’abord, qu’elle pratique pendant douze ans, principalement avec Michèle Latini ; la danse contemporaine, par la suite, avec Peter Goss, Alwin Nicolaïs et Hervé Diasnas. 

En 1981, elle rencontre José Montalvo et élabore avec lui une gestuelle originale faite de fluidité, rapidité et précision, qui va donner un style singulier à leurs créations. Leur complicité artistique donne naissance en 1988 à la Compagnie Montalvo-Hervieu qui se produit sur les plus grandes scènes nationales et internationales. Dix ans et cinq créations plus tard le tandem est nommé à la tête du Centre Chorégraphique National de Créteil et du Val-de-Marne. A partir de 2000, Dominique Hervieu cosigne toutes les chorégraphies de la Compagnie Montalvo-Hervieu qui compte parmi les compagnies contemporaine les plus populaires et les plus reconnues en France comme à l’étranger. 

En 2000, ils créent spécialement pour l’ouverture du Festival International du Film de Cannes, Variation au Paradis. Cette année-là, Dominique Hervieu devient conseillère artistique du Théâtre national de Chaillot et prend la direction de la mission jeune public. Elle développe alors une action originale d’éducation artistique, s’appuyant sur les relations entre les oeuvres et les pratiques artistiques d’une part, et sur les relations entre les arts, d’autre part, en partenariat avec le musée du Louvre et plusieurs institutions parisiennes. Elle imagine notamment en 2004 un parcours chorégraphique au Musée du Louvre qui rassemble 5 000 spectateurs. 

En 2001, elle crée "Mosaïque... Danse(s) d’une ville", spectacle chorégraphique pour 180 danseurs amateurs de 15 à 85 ans, véritable portrait dansé multiculturel de la Ville de Créteil immergeant ainsi les citoyens dans la création. En 2002 et 2003 elle crée deux pièces en « solo » : "Intervallo Brio" au Festival Mettre en scène, création rassemblant deux danseurs virtuoses, un grand-père et deux petites filles, et une version chorégraphique du "Corbeau et du renard". En 2006, elle crée avec José Montalvo "La Bossa Fataka" de Rameau. Elle signe également avec lui la chorégraphie et la mise en scène de deux opéras : "Les Paladins", sous la direction musicale de William Christie des Arts Florissants au Théâtre du Châtelet à Paris (2004) et "Porgy and Bess" de George Gershwin à l’Opéra National de Lyon (2008). 

En 2006, Dominique Hervieu crée avec la complicité de quatre chorégraphes du monde francophone « L’art de la rencontre - Cartes postales chorégraphiques » pour Les francofffonies !. Douze duos filmés naissent de ces rencontres et fournissent la matière à un documentaire pour Arte. En juin 2008, elle est nommée à la direction du Théâtre national de Chaillot. En 2010 est montée "Orphée", dernière création du duo. En juillet de la même année, elle initie un événement national en faveur de la jeune création, avec le Haut commissaire à la jeunesse et le Conseil de la création artistique, Imaginez Maintenant. En juillet 2011, elle succède à Guy Darmet pour prendre la direction générale de la Maison de la danse et la direction artistique de la Biennale de la danse à Lyon. 

Depuis 2014, Dominique Hervieu développe le volet international du Défilé de la Biennale de la danse de Lyon en invitant des groupes de grandes villes européennes (Turin et Barcelone). En 2018, elle sera la Directrice artistique de la Triennale de Yokohama Dance, Dance, Dance.


Source: Maison de la Danse

Montalvo, José

Au sortir de l'adolescence, José Montalvo entreprend des études d'histoire de l'art et d'arts plastiques. Il est fasciné par la constellation dada et ses innombrables inventions. Il mène, parallèlement à ses études universitaires, l'apprentissage de la danse avec Jérôme Andrews et Françoise et Dominique Dupuy – dont il rejoint la compagnie, les Ballets modernes de Paris – et enrichit sa formation auprès de Carolyn Carlson, Lucinda Childs, Alwin Nikolais et Merce Cunningham.

Les premières créations de José Montalvo sont de courtes pièces ludiques, sortes d'aphorismes chorégraphiques, mini-romans d'émotions dansées pour lesquels il reçoit différents prix internationaux. L'une de ses interprètes s'appelle Dominique Hervieu : c'est le début d'une aventure artistique et d'une profonde complicité, qui donnera naissance à la compagnie Montalvo-Hervieu en 1988. En 1989, José Montalvo s'engage dans une voie nouvelle avec la création d'événements in situ : les Danses à voir et à danser. En juillet 1993, invité du festival Paris quartier d'été, il est l'un des premiers chorégraphes associés au Bal moderne qui voit le jour au Théâtre National de Chaillot à ce moment-là.

Autre moment décisif la même année : "Double Trouble", créé avec la complicité du vidéaste Michel Coste, inaugure un cycle de pièces confrontant l'image technologique et la présence physique des danseurs. Cette période amène la création d'un ensemble d'œuvres qui se répondent et qui, tout en se suffisant à elles-mêmes, pourraient être un jour saisies dans leur ensemble, à la manière d'une grande fresque baroque. Le succès est au rendez-vous. En 1998, José Montalvo et Dominique Hervieu sont nommés directeurs du Centre chorégraphique national de Créteil et du Val-de-Marne. En 2000, José Montalvo est nommé parallèlement directeur de la danse au Théâtre National de Chaillot alors dirigé par Ariel Goldenberg.

En 2001, "Le Jardin io io ito ito" est récompensé par le prix Laurence Olivier. En 2004, la chorégraphie et la mise en scène de l'opéra de Jean-Philippe Rameau Les "Paladins" sont unanimement saluées par la critique. Le spectacle est nominé pour le prix Laurence Olivier et reçoit à Prague le prix de la meilleure captation d'opéra pour le film réalisé par François Roussillon. Il sera repris à Shanghai, Athènes, Paris et Tokyo. Puis ce sont "On danƒe" (2005) et un diptyque consacré à George Gershwin en 2008, avec une mise en scène de Porgy and Bess pour l'Opéra de Lyon et, en écho, une pièce chorégraphique lumineuse créée pour la Biennale de la danse de Lyon : "Good Morning, Mr. Gershwin".

En 2006, il reçoit le prix SACD pour l'ensemble de son œuvre. En juin 2008, José Montalvo et Dominique Hervieu acceptent la direction du Théâtre National de Chaillot. "Orphée" et "Lalala Gershwin" y voient le jour en 2010 et scellent leurs dernières créations communes avant le départ de Dominique Hervieu pour la direction de la Maison de la danse et la Biennale de Lyon. José Montalvo poursuit aux côtés de Didier Deschamps ses missions au Théâtre National de Chaillot autour de ses propres créations et en faveur d'événements contribuant à renouveler le rapport de l'institution avec ses publics. En juin 2013, il est notamment le concepteur et le coordinateur d'une manifestation autour des pratiques amateurs.

En 2013, José Montalvo crée "Don Quichotte du Trocadéro". Il reçoit pour ce spectacle le prix spécial du Meilleur spectacle étranger présenté en Italie lors de la cérémonie des Maschere del teatro Italiano, l'équivalent transalpin des Molières.


Sources : Théâtre National de Chaillot ; Programme de salle de la Maison de la Danse (2014).

Picq, Charles

Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise  d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le  groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.

Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse  contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges". 

Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :

   • Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
  •  Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
  •  Il initie les "présentations de saisons" en image.
  •  Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.

   •  Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web,  il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
 

Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
  Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
 

Source : Maison de la Danse de Lyon

Compagnie Montalvo-Hervieu

Direction artistique: José Montalvo, Dominique Hervieu

Année de création: 1988

En 1981, José Montalvo – chorégraphe – rencontre Dominique Hervieu – danseuse – et commence à chorégraphier de courtes pièces ludiques, sortes d'aphorismes chorégraphiques, dont elle est l'interpète principale. Ils élaborent ensemble une gestuelle particulière faite de fluidité, rapidité et précision qui va donner un style singulier à leurs productions.

De 1986 à 1988 : plusieurs prix internationaux récompensent les chorégraphies de José Montalvo, toutes interprétées par Dominique Hervieu. C'est le début d'une aventure artistique et d'une profonde complicité, qui donne naissance en 1988 à la Compagnie Montalvo-Hervieu.En 1993, ils créent Double trouble, une pièce inaugurale qui confronte l'image technologique et la présence physique des corps des danseurs.

Ainsi, les deux complices s'investissent dans la production d'un ensemble d'œuvres qui, tout en se suffisant à elles- mêmes, puissent être un jour saisies dans leur ensemble, à la manière d'une grande fresque baroque. Avec «Paradis» (1997) et «Le jardin io io ito ito» (1999), l'originalité de leur démarche est saluée et récompensée dans le monde entier. José Montalvo et Dominque Hervieu créent également pour les danseurs étoiles de l'Opéra National de Paris et l'ouverture du 53e Festival International du Film de Cannes.

Parallèlement à la création, ils se lancent dès 1989 dans la création d'événements in situ proposés aux citadins. En juin 1998, ils sont nommés directeurs du Centre Chorégraphique National de Créteil et du Val-de-Marne. En juin 2000, José Montalvo et Dominique Hervieu sont respectivement nommés Directeur de la Danse et Directrice de la mission jeune public et des actions auprès du public au Théâtre National de Chaillot. Ils reçoivent également la distinction de Chevalier des Arts et des Lettres.

A partir de 2002, Dominique Hervieu cosigne avec José Montalvo les spectacles de la compagnie.

En mai 2004, ils chorégraphient et mettent en scène l'opéra de Jean-Philippe Rameau «Les Paladins», sous la direction musicale de William Christie. En novembre 2004, ils imaginent un parcours chorégraphique au Musée du Louvre.

En janvier 2005, ils créent «On Danƒe», et l'adaptent pour le jeune public sous le titre de «La Bossa Fataka De Rameau». En 2006, Dominique Hervieu crée un coffret DVD interactif pédagogique traitant de la diversité culturelle.

En 2008, ils créent « Porgy and Bess » à l'opéra de Lyon et « Good Morning, Mr. Gershwin ». La même année, ils sont nommés par le Ministère de la Culture directeurs du Théâtre National de Chaillot qui devient un lieu exclusivement réservé à l'art chorégraphique.

Sources: Programme de salle Maison de la danse ; "Panorama de la danse" (Rosita Boisseau); Site du Théâtre National de Chaillot

 

 

Le Corbeau et le Renard

Direction artistique / Conception : Annie Sellem, La Petite Fabrique


Chorégraphie : Dominique Hervieu

Interprétation : Le Renard : Bobo Pani, Le Corbeau : Wu Zheng

Conception vidéo : Pascal Minet

Lumières : Vincent Paoli

Costumes : Mireille Hersent

Son : Catherine Lagarde

Autres collaborations : Infographie : Julien Delmotte.

Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Maison de la Danse

Durée : 20 minutes

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