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La relecture des œuvres

Maison de la danse 2018 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien

Chorégraphe(s) : Ek, Mats (Sweden) Bourne, Matthew (United Kingdom) Maillot, Jean-Christophe (France) De Groat, Andy (United States) Hoghe, Raimund (Germany) Orlin, Robyn (South Africa)

Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse

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La relecture des œuvres

Maison de la danse 2018 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien

Chorégraphe(s) : Ek, Mats (Sweden) Bourne, Matthew (United Kingdom) Maillot, Jean-Christophe (France) De Groat, Andy (United States) Hoghe, Raimund (Germany) Orlin, Robyn (South Africa)

Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse

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Ek, Mats

Mats Ek né en 1945  en  Suède,  fils  de  birgit  Cullberg  - danseuse et chorégraphe, fondatrice de la compagnie qui  porte  son  nom -  et  d’Anders  Ek - acteur de théâtre  et  de  cinéma, que  l’on  a  vu  dans les films d’Ingmar Bergman -, s’oriente d’abord  vers le théâtre,  tout en suivant les cours de  danse de Donya   Feuer (américaine, pratiquant la technique Graham, installée à Stockholm).  il commence à chorégraphier  en 1976, ses créations disent déjà son engagement de « citoyen  du  monde »  et retiennent  l’attention de la critique internationale.  En  1980,  Mats Ek assume les fonctions de co-directeur  artistique  de  la  compagnie  avec  Birgit Cullberg, et en 1985,  lorsque  sa  mère  se  retire définitivement, il en reste le seul directeur. Ses « relectures » audacieuses et virulentes de La Maison de  Bernarda (1978), Giselle (1982), Le Sacre du printemps (1984), Le Lac des cygnes (1987), Carmen (1992), La  Belle  au  bois  dormant (1996)  confirment  son talent à creuser les apparences pour faire jaillir la psychologie tourmentée des personnages et bousculer les conventions du ballet. Depuis 1993, il travaille en free-lance et crée pour le  Nederlands  Dans  theater, l’Opéra de Paris, la Compañia  Nacional de Danza/Nacho Duato, pour Ana Laguna et Mikhaïl Baryshnikov, pour le ballet de l’Opéra royal de Suède, pour Sylvie Guillem. Plus que jamais, Mats Ek cherche à « danser pour  dire   quelque   chose... J’ai envie de refléter l’image de la réalité  ».  il a également  effectué  un  retour au théâtre en mettant en scène Molière, Racine, Shakespeare, tchekhov,  Strindberg,  ainsi  que  l’opéra de Gluck Orphée et Eurydice,  au  Grand  théâtre  de  Genève  (2011).  En trente  ans, il a imposé  sa  vision  caustique des comportements humains, dans un style personnel  qui  exacerbe  le  mouvement, chargeant le  corps des désarrois de l’âme. Dans ses réinterprétations psychanalytiques des « classiques » comme dans  l’observation  aiguë  des  frustrations  de  chacun,  il ose  l’essentiel. En 2004, il crée et interprète avec Ana Laguna le duo Memory, et proposeront une nouvelle version lors de la saison . En 2012, il crée Bye Bye pour Sylvie Guillem.


Source : Programme Maison de la Danse

Bourne, Matthew

Matthew a débuté sa formation de danseur à l'âge assez avancé de 22 ans. Il a étudié la danse-théâtre et la chorégraphie au Laban Centre et a obtenu son diplôme en 1985. Puis il a passé une année supplémentaire dans la compagnie d'interprètes de l'école « Transitions ». Matthew a été danseur professionnel pendant 14 ans et a créé plusieurs rôles pour sa propre œuvre.
Matthew Bourne a été directeur artistique de sa première compagnie, Adventures in Motion Pictures, de 1987 à 2002, pour qui il a créé un répertoire à succès. Les œuvres les plus emblématiques ont été relancées pour la cie New Adventures, grâce à Matthew et son coréalisateur Robert Noble en 2002. De nouvelles productions novatrices ont été ajoutées au répertoire, y compris Play Without Words (2002 - une coproduction avec Le Théâtre national), Edward au mains d'argent (2005), Dorian Gray (2008), Lord Of The Flies (2011 - Réalisateur seulement), Early Adventures (2012 - une compilation de ses premiers travaux) et La Belle au bois dormant (2012). New Adventures est maintenant la compagnie de danse la plus réussie et la plus active au Royaume-Uni et un exportateur majeur de la danse britannique à travers le monde.

En 2016, New Adventures a présenté le dernier travail de Matthew Bourne (Première mondiale), The Red Shoes, basé sur le classique de Powell & Pressburger avec la musique de Bernard Herrmann.


Source : www.new-adventures.net


En savoir plus : matthewbourne.com

Maillot, Jean-Christophe


Rosella Hightower aimait dire de son élève Jean-Christophe Maillot que sa vie n’était qu’une union des opposés. De fait, chez l’actuel Chorégraphe Directeur des Ballets de Monte-Carlo la danse côtoie le théâtre, entre en piste sous un chapiteau, évolue au milieu des arts plastiques, se nourrit des partitions les plus diverses et explore différentes formes de littérature... Son répertoire de 80 ballets (dont 35 créés à Monaco) puise dans le monde des arts au sens large et chaque ballet est un carnet de croquis qui alimente l’œuvre suivante. Jean-Christophe Maillot a ainsi créé en 30 ans un ensemble de soixante pièces, passant de grands ballets narratifs à des formes plus courtes, et dont les multiples connexions reflètent une œuvre qui s’inscrit dans la durée et la diversité. Ni classique, ni contemporain, pas même entre les deux, Jean-Christophe Maillot refuse d’appartenir à un style et conçoit la danse comme un dialogue où tradition sur pointes et avant-garde cessent de s’exclure. 

Né en 1960, Jean-Christophe Maillot étudie la danse et le piano au Conservatoire National de Région de Tours, puis rejoint l’École Internationale de Danse de Rosella Hightower à Cannes jusqu’à l’obtention du Prix de Lausanne en 1977. Il est alors engagé par John Neumeier au Ballet de Hambourg où il interprète pendant cinq ans, en qualité de soliste, des rôles de premier plan. Un accident met fin brutalement à sa carrière de danseur. 

En 1983, il est nommé chorégraphe et directeur du Ballet du Grand Théâtre de Tours qui deviendra par la suite Centre Chorégraphique National. Il y crée une vingtaine de ballets et fonde en 1985 le Festival de danse « Le Chorégraphique ». En 1987, il crée pour les Ballets de Monte-Carlo Le Mandarin Merveilleux qui fait événement. Il devient conseiller artistique de la compagnie pour la saison 1992-1993, puis est nommé chorégraphe-directeur par S.A.R. la Princesse de Hanovre en septembre 1993. 

Son arrivée à la direction des Ballets de Monte-Carlo fait prendre un nouvel essor à cette compagnie de 50 danseurs dont on reconnaît depuis 20 ans le niveau de maturité et d’excellence. Il y crée près de 40 ballets dont certains, tels que Vers un pays sage (1995), Roméo et Juliette (1996), Cendrillon (1999) La Belle (2001), Le Songe (2005), Altro Canto (2006), Faust (2007), LAC (2011), CHORE (2013), Casse-Noisette Compagnie (2013), font la réputation des Ballets de Monte-Carlo dans le monde entier. Plusieurs de ces œuvres sont inscrites désormais au répertoire de grandes compagnies internationales telles que les Grands Ballets Canadiens, le Royal Swedish Ballet, le Ballet National de Corée, le Stuttgart Ballet, le Royal Danish Ballet, le Ballet du Grand Théâtre de Genève, le Pacific Northwest Ballet, l’American Ballet Theatre, le Béjart Ballet Lausanne. En 2014, il crée La Mégère apprivoisée pour le Ballet du Théâtre Bolchoï.

Également sensible au travail des autres artistes, Jean-Christophe Maillot est connu pour son esprit d’ouverture et sa volonté d’inviter des chorégraphes au style différent à créer pour la Compagnie. En 2000, ce même désir de présenter l’art chorégraphique sous de multiples angles l’incite à créer avec Stéphane Martin le Monaco Dance Forum, une vitrine internationale de la danse qui présente un foisonnement éclectique de spectacles, d’expositions, d’ateliers et de conférences.

En 2007, il réalise sa première mise en scène d’opéra, Faust, pour le Théâtre National de la Hesse et en 2009, Norma pour l’Opéra de Monte-Carlo. En 2007, il réalise son premier film chorégraphique, Cendrillon puis Le Songe en 2008. En 2009, il élabore le contenu et coordonne le Centenaire des Ballets Russes à Monaco qui verra affluer pendant un an en principauté plus de 50 compagnies et chorégraphes pour 60 000 spectateurs. En 2011, la danse à Monaco vit une évolution majeure dans son histoire. Sous la Présidence de S.A.R. La Princesse de Hanovre, les Ballets de Monte-Carlo réunissent désormais au sein d’une même structure la compagnie des Ballets de Monte-Carlo, le Monaco Dance Forum et l’Académie Princesse Grace. Jean-Christophe Maillot est nommé à la tête de ce dispositif qui concentre à présent l’excellence d’une compagnie internationale, les atouts d’un festival multiforme et le potentiel d’une école de haut niveau.

DISTINCTIONS

1993 : Nommé Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres par Le Ministre de la Culture Jack Lang.

1999 : Nommé Officier de l’Ordre du Mérite Culturel de la Principauté de Monaco par S.A.S. Rainier III.

2002 : Nommé Chevalier de la Légion d’Honneur par Le Président de la République Jacques Chirac.

2005 : Nommé Chevalier de l’Ordre de Saint-Charles par S.A.S. Albert II de Monaco.

2014 : Nommé Commandeur de l’Ordre du Mérite Culturel de la Principauté de Monaco par S.A.S Albert II de Monaco.

2015 : Nommé Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres par La Ministre de la Culture Fleur Pellerin.

2016 : Reçoit la Médaille Pouchkine.

2018 : Reçoit le Life Time Achievement Award du Prix de Lausanne.

PRIX

2001 : Prix « Nijinsky » de la meilleure production chorégraphique pour La Belle.

2002 : Prix « Danza & Danza » du meilleur spectacle pour La Belle

2008 : Prix « Benois de la Danse » du Meilleur Chorégraphe pour Faust, décerné par Yuri Grigorovitch à Moscou.

En 2010 : « Premio Dansa Valencia 2010 ».

En 2015 : Masque d’Or du meilleur spectacle chorégraphique pour La Mégère Apprivoisée. Pour cette même chorégraphie, Ekaterina Krysanova obtient le Masque d’Or du meilleur rôle féminin (Katharina) et Vladislav Lantratov celui du meilleur rôle masculin (Petruchio)

Source : Les Ballets de Monte Carlo

En savoir plus : http://www.balletsdemontecarlo.com/ 

De Groat, Andy

(1947-2019)

Andy De Groat est né en 1947 aux États-Unis de racines hollandaise, italienne, française, allemande et anglaise. Pendant ses études de beaux arts à New York en 1967, il rencontre le metteur en scène Robert Wilson. Il rejoint sa troupe en tant que danseur puis chorégraphe dans l'ensemble de ses productions du Regard du Sourd en 1971, Une Lettre pour la Reine Victoria en 1974 jusqu'à Einstein on the Beach en 1976, créée pour le festival d'Avignon.
 En 1981, il reçoit une bourse de la Fondation Guggenheim - New York pour sa recherche chorégraphique.
 Des nouvelles pièces s'enchaînent pour red notes et parmi d'autres, plusieurs pour Jean Guizerix, Wilfride Piollet, Jean-Christophe Paré, le Groupe de Recherche Chorégraphique de l'Opéra de Paris (GRCOP), la Scala de Milan, ris et danceries, le Ballet du Nord (Roubaix) et Wah Loo Tin Tin Co, compagnie de jeunes interprètes à Montauban.
 Aujourd'hui, son œuvre compte plus de soixante créations présentées dans une vingtaine de pays et revient périodiquement à une interrogation du répertoire et du patrimoine de la danse.
 Sa compagnie a collaboré régulièrement à des productions lyriques depuis 1988, notamment pour La Flûte enchantée (Mozart), Robert Wilson à l'Opéra Bastille, The Rake's Progress (Stravinski), Alfredo Arias au festival d'art lyrique d'Aix-en-provence et à l'Opéra de Lyon, de Gênes et de Montpellier, Aïda (Verdi) et Klaus Michael Grüber à l'Opéra d'Amsterdam.

Source : CND

Hoghe, Raimund

Raimund Hoghe est né à Wuppertal. Il a commencé sa carrière en écrivant pour l'hebdomadaire allemand « Die Zeit » des portraits de petites gens et de célébrités, rassemblés par la suite dans plusieurs livres. De 1980 à 1990, il a été le dramaturge de Pina Bausch au Tanztheater Wuppertal, ce qui a également donné matière à la publication de deux livres. Depuis 1989, il s'est attelé à l'écriture de ses propres pièces de théâtre qu'ont jouées divers acteurs et danseurs. 1992, début de sa collaboration avec Luca Giacomo Schulte qui est à ce jour son collaborateur artistique. C'est en 1994 qu'il monte en personne sur la scène pour son premier solo « Meinwärts » qui forme, avec « Chambre séparée » (1997) et « Another Dream » (2000), une trilogie sur le XXe siècle. Suivront ensuite les créations de groupe : « Sarah, Vincent et moi » (2002), « Young People, Old Voices » (2002), « Tanzgeschichten » (2003), « Swan Lake,4 Acts » (2005), et le duo  « Sacre - The Rite of the Spring » (2004) avec Lorenzo De Brabandere. Il a retrouvé la forme solo en 2007 avec la création à Séoul et la présentation au Festival d'Avignon de « 36, Avenue Georges Mandel ». Raimund Hoghe poursuit son cycle de réappropriaion des classiques de l'histoire de la danse avec la pièce « Boléro Variations » en 2007 (création au Centre Pompidou / Festival d'Automne à Paris) et le solo « L'Après-midi », pour le danseur Emmanuel Eggermont, sur le « Prélude à l'Après-midi d'un faune » de Claude Debussy et des « Lieder » de Gustav Mahler (création au Festival Montpellier Danse 2008 /Théâtre du Hangar).

Parallèlement à son parcours théâtral, Hoghe travaille régulièrement pour la télévision. En 1997, pour le compte de la WDR (la télévision ouest-allemande) il met en scène « Der Buckel », un autoportrait long de soixante minutes. Ses livres ont été traduits en plusieurs langues et de nombreux pays d'Europe, ainsi que le Japon et l'Australie, l'ont invité à donner ces spectacles. Il vit à Düsseldorf et a reçu plusieurs prix, dont le « Deutscher Produzentenpreis für Choreografie » en 2001, le Prix de la critique Française en 2006 pour « Swan Lake, 4 Acts » dans la catégorie « Meilleur spectacle étranger ». Pour l'année 2008, les critiques du magazine ballet-tanz le consacrent « Danseur de l'année ».


Sources : Site de Raimund Hoghe


En savoir plus : raimundhoghe.com

Orlin, Robyn

Née en 1955 à Johannesburg, Robyn Orlin a bénéficié de bourses d'études à Londres (London Contemporary Dance School) puis à Chicago (School of Art Institute).

 Depuis sa première performance à Johannesburg en 1980, elle est devenue, tout en tentant de redéfinir la chorégraphie et l'art de la scène dans son pays, une des chorégraphes les plus engagées contre l'apartheid.

 Partant du principe que « la danse est politique », elle prend en considération dans ses créations la situation sociale et culturelle de l'Afrique du Sud : ses influences, son histoire, ses clivages et ses ruptures. La chorégraphe crée ainsi « une danse iconoclaste qui met les pieds dans le plat », une danse - chronique de la société sud-africaine d'aujourd'hui maniant avec talent l'ironie et la dérision, une danse brassant sans vergogne références et identités, alliant les cultures traditionnelles populaires et la radicalité des avant-gardes, une danse capable de briser la frontière artistes – public en remettant le spectateur au cœur de la création.

 Robyn Orlin vient pour la première fois en France en avril 2000 à l'invitation de la Filature, scène nationale de Mulhouse avec « Daddy, I've seen this piece six times before... »
   La reconnaissance est immédiate : Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint- Denis, Festival Montpellier danse,Théâtre de la Ville, puis des tournées dans le monde entier.

 En 2004, Robyn Orlin participe à l'inauguration du Centre national de la danse à Pantin et crée un solo pour Sophiatou Kossoko dans le cadre du Vif du Sujet.

De septembre 2005 à la fin 2007, Robyn Orlin est accueillie en résidence au Centre national de la Danse de Pantin. En 2005 elle crée « When I take off my skin and touch the sky with my nose, only then I can see little voices amuse themselves... » pièce avec 6 chanteurs d'Opéra sud-africains, puis durant l'été, « Hey dude... i have talent... i'm just waiting for god...,» un solo pour la danseuse-chorégraphe Vera Mantero. « Dressed to kill... killed to dress ...” pour des Swenkas sud-africains, est créée en février 2008 au Festival Dance Umbrella de Johannesburg et est présentée en tournée européenne (Paris, Liège, Luxembourg, Bruxelles, Vienne ...). Robyn Orlin créée une mise en scène de “Porgy & Bess” à l'Opéra Comique à Paris en juin 2008. “Walking next to our shoes... intoxicated by strawberries and cream, we enter continents without knocking...” met en scène les chanteurs de la chorale Phuphuma Love Minus et est créée en février 2009 au festival Dance Umbrella de Johannesburg et reprise dans le cadre du Festival Banlieues Bleues au Théâtre Gérard Philippe de Saint Denis. En septembre 2009, Robyn Orlin crée une pièce au Louvre, avec huit gardiens du musée : “Babysitting Petit Louis”. En 2010, elle crée un solo avec le danseur de hip-hop Ibrahim Sissoko : “Call it... kissed by the sun... better still the revenge of geography” et reprend “Daddy...” au festival Les Hivernales à Avignon et à la Grande Halle de la Villette à Paris.

Les titres et récompenses que reçoit Robyn Orlin pour son travail sont nombreux. En 1999, elle obtient le troisième prix aux Rencontres chorégraphiques de l'Afrique, et en 2000 le prix Jan Fabre de l'œuvre la plus subversive aux Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis. Robyn Orlin a été nommée Chevalier dans l'Ordre National du Mérite le 28 février 2009 par Denis Pietton, Ambassadeur de France à Johannesburg.

En savoir plus :

Ressource électronique de la médiathèque du Centre national de la danse
http://mediatheque.cnd.fr/spip.php?page=mediatheque-numerique-ressource&id=PHO00003887

En savoir plus : robynorlin.com

Plasson, Fabien

Fabien Plasson est réalisateur, principalement dans le domaine du spectacle vivant (danse, musique, etc.).

C’est au cours de sa formation à l’École Nationale Supérieur des Beaux-Arts de Lyon qu’il intègre en 1995 que Fabien découvre l’art vidéo. Il se forme alors auprès de divers artistes vidéastes (Joël Bartoloméo, Pascal Nottoli, Eric Duyckaerts, etc).
Son approche s’inscrit d’abord dans une recherche plastique avec la création d’installations et d’objets filmiques.

En 2001, il rejoint l’équipe de la Maison de la Danse de Lyon et s’occupe durant 10 ans de la programmation du Vidéo-Bar Ginger&Fred. Il découvre alors l’univers chorégraphique et les enjeux de la vidéo pour la diffusion et la transmission de la danse aux côtés de Charles Picq alors vidéaste et directeur du service vidéo de la Maison de la Danse.

En parallèle, il continue son activité de création plastique, réalise des vidéos de concerts, de pièces de théâtre et crée également des décors vidéos pour le spectacle vivant.

Aujourd’hui, Fabien Plasson est réalisateur vidéo au Pôle Image de la Maison de la Danse de Lyon et pour Numeridanse.tv, vidéothèque internationale de danse en ligne.


Source : Maison de la Danse, Fabien Plasson

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