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Jazz - Épreuves de danse 2023 - Variation n°20 - Fin du cycle diplômant (DEC), épreuve d'admission EAT, fille 1ère option

Ministère de la Culture 2021 - Réalisateur-rice : Le Mao, Gilles

Chorégraphe(s) : Roux Azy, Valène (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Ministère de la Culture , Épreuves de danse - Archives danse jazz

Producteur vidéo : La Huit

en fr

Jazz - Épreuves de danse 2023 - Variation n°20 - Fin du cycle diplômant (DEC), épreuve d'admission EAT, fille 1ère option

Ministère de la Culture 2021 - Réalisateur-rice : Le Mao, Gilles

Chorégraphe(s) : Roux Azy, Valène (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Ministère de la Culture , Épreuves de danse - Archives danse jazz

Producteur vidéo : La Huit

en fr

Variation n° 20 - Fin du 3ème cycle danseur à vocation de pratique diplômante (DEC), EAT


Capture(s) de murmure(s)



Propos chorégraphique


Entre ligne et esquisse, le temps d’un bref soupir, les silhouettes me révèlent ce que le corps me chuchote… Et le jazz se murmure dans un souffle de vie.


A chaque minute,

A chaque seconde.


Puis l’onde se faufile, frisson kinesthésique, de la terre jusqu’à toutes les cellules de mon corps. Vibration ternaire et mémoire des sens.


A chaque minute,

A chaque seconde.


Peupler l’espace qui m’entoure, en tracer les contours… Mains et pieds traversés d’une pulsation tactile. L’ empreinte se ravive, libre et percussive.


A chaque minute,

A chaque seconde.


Incarner le présent et toucher l’instant, faire trace, prendre place… Ressentir l’ancrage et saisir l’horizon.



A chaque minute, à chaque seconde.



Au-delà des compétences techniques requises pour l’obtention de l’EAT, cette variation propose à chaque danseur (homme ou femme) d’interroger son rapport à l’autre et son rapport au temps, du passé au présent. Se sentir nourri et porté par les présences, comme les absences. Danser seul mais entouré de lumières : ces cœurs qui nous touchent et nous inspirent au quotidien, qui donnent à voir la beauté de l’ordinaire… Rencontres d’une minute, d’une heure ou d’une vie, qui parlent « essentiel » et font de nous ce que nous sommes. Chacun, à partir de sa propre expérience, pourra s’approprier le propos et y mettre de soi.

Valène ROUX AZY


Démarche et construction de la variation


L’élan premier démarre d’une envie musicale, une rythmique ternaire, chaude et terrienne, des voix pour symboliser l’humain et la vie… Je pars d’une phrase d’accroche :


« En nous beaucoup d’hommes respirent. »

Marie-Aude MURAIL



Puis arrive le temps de l’écriture chorégraphique et le travail en studio. Pour trouver un point d’appui, je m’ imprègne de différentes silhouettes jazz : photographies, souvenirs visuels ou mémoires corporelles, comme autant de clichés instantanés pour m’ inspirer allures, formes et postures. Parmi toutes ces inspirations ? Des photos de Babeth Angelvin-Pons, Matt Mattox, Gene Kelly, Bob Fosse, Liza Minnelli, Michael Jackson, Jack Cole, Cyd Charisse, Fred Astaire… Mais également des souvenirs bien réels de corps et de cœur à partir de mes expériences vécues. Je danse avec tant de belles personnes dans mes poches ! Partir de l’image pour incarner chaque silhouette de tous mes sens, vivre les motilités dans la fixité et rendre visible l’invisible, mais aussi imaginer un avant et un après à ces captures visuelles : apporter de la densité au mouvement et trouver du relais dynamique. Ces traces et empreintes me donnent l’élan comme une impulsion à la création, pour ensuite écrire la danse assez librement, portée par la musique de Jean-Luc Pacaud.



Conseils d’ interprétation : le danseur (homme ou femme) pourra habiter l’instant au présent puis investir la danse avec engagement, pour affirmer une identité parmi toutes les altérités, reconnaissances et références qui le portent. Tout en respectant scrupuleusement l’écriture de la variation, l’idée est de fouiller vos propres poches : de reconnaitre et définir vos appartenances, vos inspirations afin de nourrir votre interprétation. Avec qui dansez-vous ? Quel monde traversez-vous et transportez-vous ?



Composition musicale


La création musicale de Jean Luc Pacaud est ternaire, et s’inspire d’un 6/8 africain appelé « Bembé ». Le Bembé est un rythme ancien de traditions religieuses « héritage africain et rythme Afro- cubain ». Le tempo est de 123 à la noire pointée. Dans la tradition le rythme « Bembé » donne la possibilité de danser dans un corps ternaire africain tout en donnant par moment un relief binaire à la musique... Les instruments utilisés sont principalement des congas, auxquels s’ajoutent cuivres, scat, basse, caxixi, cloche. Le rythme de la cloche donne le squelette rythmique du Bembé.


La structure a pour forme :


Introduction : crescendo de nappe de cuivres et 8 X 8 de scat Break de silence de 2 X 8

Rythme Bembé 4 X 8

Rythme Bembé avec cloche 18 X 8

Break de 2 X 8 de congas

Break de 4 X 8 de scat

Rythme Bembé de 5 X 8 en crescendo avec une fin en accent sur le 1er temps du 6X8.

Jean-Luc PACAUD



Qualités de corps et précisions techniques


La détente et la rythmicité jazz sont au cœur de la qualité du mouvement de cette variation : capacité de dissociation et précision des percussions corporelles / différentes qualités et rythmicités des transferts d’appuis / être en capacité de moduler sa tonicité vers des contrastes dynamiques / respect des qualités de swing, d’ impulse, d’impact et de leur placement dans la mesure… Le rapport à la musique et la musicalité du mouvement sont des éléments clés : dansez l’intérieur du temps, les contretemps et syncopes, puis laissez jaillir l’accent. Les instants d’immobilité sont courts mais prenez-en soin, ces silhouettes se figent comme des éclats de souvenirs qui saisissent le corps et les sens.



Compétences attendues :


- Rythmicité et musicalité corporelle.

- Jouer avec les différentes tactilités du pied, précision et vivacité des transferts d’appuis.

- Savoir moduler les états toniques et varier les vitesses du mouvement, de la lenteur à l’explosivité.

- Donner à voir les accentuations : dans le temps et dans le respect des différentes nuances.

- Nourrir et habiter les temps de silence corporel.



Activez les chaines croisées pour une conscience et une maitrise du centre, le pied de derrière stabilise et permet l’ancrage. La verticale doit se vivre en respiration et en volume, entre abandon du poids et suspension, tandis que les lignes de bras représentent l’horizon et l’autour de soi, du proche au lointain. La maitrise de l’axe passe par une disponibilité articulaire et la capacité à libérer la cheville, notamment pour les changements de niveau pendant ou après les tours…



Compétences attendues :

- Conscience et maitrise du centre dans une coordination croisée.

- Maitriser les différentes qualités de rapport au sol : puissance, ancrage et propulsion.

- Connecter les bras à la ceinture scapulaire, pour atteindre la colonne vertébrale notamment dans les torsions, tours et spirales.

- Capacité de changements de niveau sur une jambe d’appui, pendant ou après un tour.


Dans cette variation, l’espace est consciemment défini en deux parties distinctes : la moitié cour du plateau représente le passé et ce qui a été, la moitié jardin représente l’avenir et tous ses possibles. Le présent est à vivre dans ses appuis : laissez-vous traverser par l’axe gravitaire pour habiter la verticalité en dynamique, de la terre jusqu’au ciel et du ciel à la terre.



Compétences attendues :


- Précision des regards et capacités de projection.

- Maitrise de l’espace : respect des différents niveaux, des directions et orientations.

⁃ Capacités d’auto-grandissement et de suspension, dans différentes positions et/ou en équilibre sur une jambe.



Précisions techniques (le minutage se base sur la piste audio) :


- Pour le démarrage : C’est le ou la candidat.e qui commence, son regard à cour donne le repère pour lancer la musique.


- 1’02 et 2’36 : Les percussions corporelles consistent en 4 frappes descendantes du haut de la cage jusqu’aux cuisses, et commencent sur le temps (1 et a 2). Ces frappes reviennent en fin de variation à 2’36 après le tour attitude suivi d’un rond de jambe, elles sont alors couplées à un pas de valse jazz dont les steps se placent dans la mesure de la façon suivante : 1 a 2, 3 a 4 , 5 a 6 , puis double- clap avec retiré sur 7a.


- 1’07 : Double tour avec un changement de niveau soudain (3 et), il démarre sur jambe allongée avec un retiré parallèle (bras à la seconde), pour finir en position figure 4 sur jambe pliée ¼ de pointe (bras en 1ère jazz) puis enchaine avec un assemblé soutenu sur jambes pliées (a5).


- 1’32 : Tour en l’air (à 8) avec les jambes serrées, arrivée en 6ème position-touch à droite puis cette même jambe recule à 1. Le tout doit se faire en continuité, sans fragmenter le mouvement à l’arrivée du saut : la coordination haut-bas et notamment l’avancée de la main droite pendant que la jambe droite recule permettra le relais par la colonne vertébrale et la liaison du transfert d’appui.


⁃ 1’41 : Worm de petite amplitude sur relevé ½ pointe, avec jambe droite en attitude derrière. L’ondulation de la colonne est initiée par le sternum et descend jusqu’au bassin sur le plan sagittal. Le mouvement dure 3 temps, l’attitude descend progressivement pendant l’ondulation pour poser le pied droit derrière soi à 4.

⁃ - 1’49 : Le mouvement de la cage se fait simultanément avec le tremblement de la main droite, les steps qui marquent les temps et le port de bras gauche en continu. Description du trajet de la cage thoracique : ce sont des isolations en translation droite-devant-gauche, droite-gauche-droite (ce dernier se finit en impulse puis dessine un demi-cercle par l’arrière). Dans la mesure : 1-2-3, 4et 5 puis demi-cercle jusqu’à 8. Une première fois orienté dans la diagonale avant jardin, une deuxième fois de face. Cette dissociation joue avec la pulse et demande précision rythmique, disponibilité articulaire et faible amplitude.

⁃ - 2’04 : Manège en remontant dans un trajet courbe de Jardin à Cour. Pas chassé à droite + pas de valse jazz percussif à gauche, les claps de mains correspondent aux appuis (ce module est répété trois fois). Ici la hauteur des pas chassés est à privilégier, tandis que le coupé-jeté en tournant se déplace davantage dans l’horizontale.

⁃ - 2’20 : Après le break musical de 2 mesures de 8 et l’équilibre sur jambe gauche en attitude parallèle, la reprise du mouvement se fait par un contretemps avec les appuis gauche-droite (et 1) et clap de mains à 2 et 4, puis catch step / croise-croise / ball change (a5 /a a /a8). Ce module se répète trois fois avec une accumulation : première fois uniquement le rythme corporel, deuxième fois se rajoute le regard dans la diagonale pendant le premier croisé, troisième fois même regard + bras en seconde au moment du catch step.


Structure de la variation


I La structure de la danse suit globalement la structure musicale, et pourrait se distinguer de cette façon :


A = Introduction B = Développement C = Retour au calme D = Reprise et fin



I A = Introduction (du début à 1’00) :


L’introduction de la variation, du début jusqu’au tour ascendant (à environ 1’00) correspond aux « lignes et esquisses ». La danse est presque chuchotée et joue avec différents états de corps : entre définition des formes et simple amorce du mouvement… Il s’agit d’alterner les différentes vitesses (lenteur et instants vifs) tout en préservant une détente musculaire.



I B = Développement (de 1’00 à 2’12) :


La danse s’affirme, les frappes doivent être sonores et le rapport au sol plus incisif. Les formes de mains jazz hands ou encore les pieds flex au sol représentent certaines de nos empreintes corporelles, elles désignent des directions précises et doivent se vivre avec intensité. Les notions de poids et suspensions s’alternent avec des moments d’équilibre et/ou de déséquilibre, il est donc important de doser les élans : variez les énergies pour passer des vives accélérations aux moments calmes. Les mobilités de colonne vertébrale et mouvements du bassin sont de faible amplitude mais précis, rythmiques et fluides à la fois.


I C = Retour au calme (2’12 à 2’20) :


Ce moment symbolise les captures de murmures, les frappes et appuis sont bien présents mais tout en subtilité et intériorité, ils sont en lien étroit avec la musique sans toutefois l’illustrer tout à fait… Donnez priorité à la rythmicité plutôt qu’à la forme. Puis ce mouvement contenu devient plus ample avec le tour attitude : laissez planer le rond de jambe à la fin du tour, ouvrez le dos et faites vivre l’espace avant comme l’espace arrière. Le rond de jambe est plus large que haut, il trace autour de vous avec légèreté. L’ensemble de cette partie chorégraphique correspond au break musical, et crée dans la diagonale une tension directionnelle qui doit se vivre avec respiration et élasticité.



I D = Reprise et fin (de 2’20 à la fin) :


Reprise des percussions du développement (les mêmes qu’en début de partie B) puis les ports de bras jettent et projettent, les impulses et claps permettent de libérer l’énergie. Les trois ripples se font avec changements d’orientations, c’est un dernier regard sur le plateau pour remercier et « peupler l’espace qui m’entoure ». Après le saut sissone, impact de la main droite vers le bas (sur le dernier accent musical), puis impulse dans le silence… Ces deux accents terminent la variation et sont à vivre comme une signature.




I La parole de Justine Caspar, interprète de la variation :


Avant de commencer la variation, je prends conscience des contours de mon corps qui créent la première silhouette et de l’ancrage de mes pieds dans le sol qui créent la première empreinte. Je me laisse alors imprégner des mots de Valène : esquisse, ancrage, lignes, horizon et souvenirs... Ces mots résonnent en moi et je visualise toutes les silhouettes que je vais traverser dans la variation. Chacune d’elles est comme une partie de l’ADN de la chorégraphie. Je les vois flotter dans l’espace qui m’entoure et je pense à la façon dont je vais entrer dans l’une, l’incarner et la quitter pour trouver la suivante. Quel sentiment cela me procure et qui j’ai envie d’emmener avec moi ? Laissez-vous traverser et appréciez ce beau voyage, à chaque minute, à chaque seconde.



* * *

Laissez-vous porter par ces indications et donnez tout de vous, c’est à vivre !

Roux Azy, Valène

Artiste chorégraphique, diplômée du Cycle d’Enseignement Supérieur de Danse Jazz de Poitiers. Sa formation solide et plurielle, lui permet de multiplier les expériences et contextes de travail. Danseuse- interprète et assistante pour des chorégraphes d’esthétiques diverses : Babeth Angelvin-Pons, Patricia Karagozian, Raza Hammadi, Josette Baïz, Claude Aymon, Kirsten Debrock… Son parcours est ponctué de rencontres jazz et d’ouvertures contemporaines, qui laisseront de précieuses traces et empreintes dans son travail. Elle poursuit aujourd’hui sa carrière professionnelle au sein de la compagnie Item et la compagnie Accord-Des-Nous.


Professeure de danse jazz et de claquettes, titulaire du diplôme d’État et du Certificat d’Aptitude, aujourd’hui formatrice DE et CA au CNSMD de Lyon, PNSD Rosella Hightower, ESAL de Lorraine et PESMD de Bordeaux. Artiste invitée dans différentes structures et centres de formation (ISDAT de Toulouse, Pont Supérieur de Nantes, Cefedem de Normandie…) pour des cours techniques ou dans le cadre de transmission de répertoire jazz. Membre de jury en pédagogie, dans les conservatoires et pour la FFD, elle est également certifiée en anatomie pour le mouvement.


En 2017, elle est chorégraphe des variations imposées du Concours National de Danse Jazz de la Fédération Française de Danse, puis signe en 2018 sa première création Empreinte(s) pour le Centre Chorégraphique de Strasbourg. Pièce qui sera remontée à deux reprises pour le Tremplin jeunes de la FFD et l’ISDAT de Toulouse l’année suivante.


Portée par un même élan de la danse à la pédagogie, elle mène ces deux carrières avec conviction et engagement : ses expériences scéniques nourrissant son enseignement, pour une pédagogie en mouvement et au présent.


Valène Roux Azy propose une danse organique et contrastée, ancrée dans la spécificité jazz. Autour d’un centre puissant, le danseur développe une musicalité fine et syncopée, pour traverser des états de corps nuancés.


La rythmicité, au cœur de la qualité du mouvement jazz, devient une impulsion vers un corps sensible et disponible. Une danse libre, nourrie d’influences multiples et empreinte des fondamentaux de la danse jazz.



Pacaud, Jean-Luc

C’est au conservatoire de Poitiers (1981-1988) que Jean-Luc Pacaud effectue sa formation de percussionniste où il obtient le Premier Prix en 1988. Il complète sa formation musicale et prend des cours de batterie avec Guy Hayat, de percussions cubaines avec Sydney Thiam et des cours d’analyse, d’harmonie, d’histoire du jazz et de formation Big Band au CIM à Paris. Puis, il ouvre sa propre école en région Poitou-Charentes. Il enseigne la batterie et les percussions traditionnelles depuis 1983. Titulaire du diplôme d’État de professeur de musique – options accompagnement et formation musicale du danseur, spécialiste en percussions corporelles, rythmes corporels technique o Passo et percussions sur objets, il intervient dans de nombreux stages de danse comme accompagnateur.

Par ailleurs, Jean-Luc Pacaud est formateur et accompagnateur du certificat d’aptitude et du diplôme d’État de professeur de danse au Centre national de la danse à Lyon et Pantin depuis 1991, au CNSMD de Lyon et dans plusieurs centres de formations habilités par le ministère de la Culture.

Depuis plusieurs années, il est l’accompagnateur privilégié de grands professeurs internationaux, tant en danse classique, contemporaine, et jazz, qu’en danse africaine ou sportive, en claquettes et mime.

Il a notamment accompagné les cours de Walter Nicks pendant dix ans, ainsi que ceux de Matt Mattox, Carolyn Carlson, Milton Meyers, Linn Simonson, Wildfride Piollet…

Jean-Luc Pacaud collabore en tant qu’illustrateur sonore et interprète à des reportages et des génériques pour la télévision (Fort Boyard, Sacrée soirée, Thalassa…), et il est musicien auprès d’artistes tels que Georges Moustaki, Romain Didier, Xavier Lacouture, Jack Haurogné, Bevinda, Laurent Viel…

Plusieurs enregistrements de ses œuvres originales pour percussions inspirées de rythmes traditionnels ont été édités. Elles sont destinées à la pédagogie de la danse, à la création et l’illustration sonore.

Le Mao, Gilles

Dirigeant de la société de production La Huit depuis 1990, Gilles Le Mao produit et réalise pour le compte de la Délégation Générale de la Création Artistique, plus de 300 variations des « Epreuves de danse » depuis 1996.

Producteur délégué de quelques 400 programmes audiovisuels et cinéma à La Huit, il réalise aussi des grands entretiens sur des personnalités de l’ethnologie, de l’architecture, du paysage et de l’histoire de l’art avec le Ministère de la Culture. Prix coup de cœur Musique du Monde 2009 de l’Académie Charles Cros pour le film « Les tambours de Tokyo », il réalise une cinquantaine de concerts documentés sur le jazz, les musiques du Monde et la musique classique depuis 1999.

Il est par ailleurs membre de diverses commissions sélectives cinéma depuis 2009 au CNC et en région Limousin, Normandie et Grand-Est. Depuis 1995, il intervient avec le Ministère de la Culture - Drac Ile de France en lycée et BTS section cinéma et production.

La Huit Production

La Huit Production, est une société de production de films et de  programmes pour la télévision localisée à PARIS.


Source : www.lahuit.com

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