Japanese Delight
2012 - Réalisateur-rice : Riolon, Luc
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , 24images - Scènes d'écran
Producteur vidéo : 24images
Japanese Delight
2012 - Réalisateur-rice : Riolon, Luc
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , 24images - Scènes d'écran
Producteur vidéo : 24images
Japanese delight
Dans sa version japonaise, le hip-hop se révèle sous sa forme la plus frontale, brute, sans dramaturgie, face public : aujourd’hui, les meilleurs danseurs du genre viennent du pays du soleil levant. Nouveaux gestes, virtuosité inouïe et références puisées dans les années 1980, mais aussi du côté des comédies musicales des années 1930 et 1940 : le hip-hop japonais s’impose comme une véritable encyclopédie du mouvement, mené par un sens de l’unisson époustouflant. Filmés en 2012 à la Biennale de la Danse de Lyon, trois groupes se succèdent, avant de s’affronter pour un défi final free style : Mortal Combat (du breakdance issu de l’univers manga), Repoll:FX (dans un style 80s inspiré de la musique funk-soul et du swag de Cab Calloway), Former Aktion (performeurs pratiquant le popping, qui se danse debout, sur le modèle de l’electric boogaloo).
Source : Bibliothèque de Reims
Riolon, Luc
Après des études de mathématiques supérieures et de médecine, Luc Riolon débute la réalisation dans le cadre de sa faculté de médecine, puis rencontre les chorégraphes des années 1980 (Maguy Marin, Mark Tompkins, Josef Nadj, Daniel larrieu, Odile Duboc, Josette Baiz, Angelin Preljocaj, etc.) avec qui il tourne de nombreux films (recréation pour la caméra, captations). Dans les années 1980 avec le chorégraphe américain Mark Tompkins il introduit la vidéo sur la scène, retransmettant en direct sur des écrans géants les images qu'il tourne avec sa caméra en étant sur le plateau avec les danseurs, mélangeant images sur bande et direct.
Avec Daniel Larrieu, il participe à la création du spectacle Waterproof, chorégraphie contemporaine qui se déroule dans une piscine, en filmant en direct les danseurs évoluant dans l'eau et mixant les images en direct avec des images subaquatiques préenregistrées.
Puis il collabore pendant 10 ans avec Eve Ruggieri pour son émission « Musiques au cœur ». Il tourne avec elle de nombreux documentaires sur la musique classique, l'opéra et la danse.
À partir de 1999 il réalise des documentaires de vulgarisation scientifique, en suivant les travaux de chercheurs de terrain attachés à la résolution d’une énigme particulière. Ces deux domaines artistiques et scientifiques qui peuvent sembler bien séparés l’un de l’autre mais sont pourtant, au regard de Luc Riolon, animés de la même démarche. Le désir de comprendre le monde, que ce soit par l’art ou par la recherche scientifique, et restituer cette découverte au plus grand nombre. Parmi ses documentaires scientifiques récents, on peut citer par exemple « Tchernobyl, une histoire naturelle ?», « L’Énigme du Caïman Noir », « Voyage en eau trouble » ou « Delta du Nil : La fin du miracle ». Ces documentaires de vulgarisation scientifique ont récemment reçu des prix dans des festivals en France, comme à l’étranger.
Source: Vimeo
Japanese Delight
Chorégraphie : Mortal Combat, Repoll:FX, Former Aktion
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : 24images ; Biennale de la danse 2012
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