Contemporain - Épreuves de danse 2023 - Variation n°11 - Fin du cycle diplômant (DEC), épreuve d'admission EAT, garçon 1ère option
2021 - Réalisateur-rice : Le Mao, Gilles
Chorégraphe(s) : Larrieu, Daniel (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Ministère de la Culture
Producteur vidéo : La Huit
Contemporain - Épreuves de danse 2023 - Variation n°11 - Fin du cycle diplômant (DEC), épreuve d'admission EAT, garçon 1ère option
2021 - Réalisateur-rice : Le Mao, Gilles
Chorégraphe(s) : Larrieu, Daniel (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Ministère de la Culture
Producteur vidéo : La Huit
Variation n° 11 Fin du 3ème cycle danseur à vocation de pratique diplômante (DEC), EAT
Nom de la variation : PINK
Costume
L’élève choisira une tenue noire ou blanche ou noir et blanche ou blanche et noire sans marque, ni imprimés ! La pièce est dansée en chaussette noire ou blanche ou noire et blanche ou blanche et noire.
Costume simple sans référence urbaine, on préférera un pantalon souple teeshirt.
Le choix du costume doit permettre de voir la danse et non le costume ! Simple confortable. Ce choix doit être réalisé par l’élève.
Préparation du travail
Dans le travail du chorégraphe Daniel Larrieu, l’attention est portée sur la qualité graphique du mouvement, sa clarté, et le détail de l’écriture. Pour travailler ce sens du dessin, il appartient à chacune et chacun des élèves, de travailler le sens du trait, le « corps dessin », qui imprime dans l’espace une grande visibilité avec un effort peu visible. Ces qualités peuvent se travailler seul, en dessinant courbes lignes, espace, plan avec toutes les possibilités articulaires dans une qualité fluide en conservant une vision globale du corps.
Travailler sur la « courbe » et la « ligne », dessiner avec les toutes les articulations du corps en inventant des écritures, des jeux, tout ce qui inciterai à développer le sens de l’interprétation d’une écriture, différencier le trait du talon ou des orteils, des genoux, du bassin, des mains, des poignets, des coudes, des épaules, des interactions entre les côtes, le bassin, les plans du devant de l’arrière de soi…
Conserver cette capacité du dessin dans le déséquilibre et la mobilité du poids du corps, dans le saut, les tours, toutes formes inhabituelles de conduire le mouvement, les passages des plans debout au sol et de l’engagement dans le déplacement.
Ce qui semble à première vue complexe ne l’est pas, il s’agit seulement d’un apprentissage du geste dessin, mouvement et conscience par et pour le mouvement.
Pédagogiquement il s’agit bien de reproduire une écriture « mouvementiste » (emprunt à Jérôme Andrieu, interprète et assistant de Daniel Larrieu depuis plus de 20 ans) qui ne contient pas de moments d’improvisation (pour cette fois) La variation joue sur quelques séries de gestes dont l’origine est tirée de : Chiquenaudes 1982, Emmy 1993, N’oublie pas ce que tu devines 2003… un fil mélodique qui tisse un trait entre plusieurs temporalités d’écriture.
Pour ces micros variations dont la qualité première sera toujours la fluidité, la précision du geste, l’intégrité et les élèves trouverons des réponses dans un certain nombre d’archives de ces pièces en ligne. Elles, ils tisseront un ou des fils entre les mouvements !
MUSIQUE
Afin de ne pas contraindre au-delà de la forme et de la mise en apprentissage des gestes, la musique est utilisée comme un outil parallèle, merci de ne reproduire la musicalité de la captation, mais de jouer comme il plaira à l’élève, climat musical composé pour la pièce chorégraphique Rose avec les voix des étudiants qui racontent les objets roses qui les entoure. On entend la mélodie du Spectre de la Rose.
Lien de téléchargement de la musique : https://www.dropbox.com/s/xurwinaog5uoc3e/091128Rose%20ouv.wav?dl=0 La musique peut donc commencer, avant, pendant la variation.
La durée du solo peut donc varier légèrement
LUMIERE
Quand cela est possible, plein feux doux, face fond latéraux hauts, prenant tout le plateau Pas d’effets lumière pendant la danse.
LIENS
Voilà quelques liens, sans doute utile pour sentir et faire sien le geste !
Extrait de Chiquenaudes
https://collectiondaniellarrieuvideo.com/2019-reactivation-chiquenaudes.html
Emmy à 2’48 https://collectiondaniellarrieuvideo.com/1994-emmy.html
Daniel Larrieu peut intervenir dans la transmission dans les départements de la Haute-Savoie et la Savoie.
Enzo Pauchet en IDF, vous pouvez en cas de questions envoyer un mail à collectiondaniellarrieu@gmail.com
Nous vous répondrons dans les meilleurs délais. Site : https://www.collectiondaniellarrieu.com/
Daniel LARRIEU
Larrieu, Daniel
Né en 1957 à Marseille, Daniel Larrieu fait ses débuts de danseur professionnel au début des années 1980 avec Wes Howard, Anne-Marie Reynaud et Régine Chopinot. Le deuxième prix au Concours de Bagnolet en 1982, Chiquenaudes révèle l’originalité de son langage chorégraphique. En une dizaine d’années, il multiplie les expériences, passant des Jardins du Palais Royal où il répète, à la piscine d’Angers où il crée Waterproof, tentant à chaque fois de renouveler l’expérience de son écriture dans des rencontres chorégraphiques, plastiques, scénographiques et musicales. Il traverse ainsi l’aventure de la danse des années 80, ses audaces et la curiosité pour des lieux et des expériences atypiques.
Il assure la programmation danse du Festival d’Avignon en 1989, carte blanche confiée par Alain Crombecque. De 1990 à 1992, il est créateur associé au Centre d’art et de culture de Marne-la-Vallée à La Ferme du Buisson. Il est aussi invité par de grandes institutions chorégraphiques : Opéra de Paris, Attentat poétique, Conservatoires nationaux supérieurs de musique et de danse de Paris et de Lyon, Ballet de Francfurt, Jungle sur la planète Vénus, Festival d’Avignon, Coda, Festival d’Automne.
En 1994, il est nommé directeur du centre chorégraphique national de Tours et reçoit du Ministre de la Culture le Grand Prix National de la danse. En 1995, il réalise un jardin pour le Festival international des jardins de Chaumont sur Loire.
Daniel Larrieu poursuit son travail de chorégraphe dans le cadre des missions du CCN de Tours – création d’œuvres nouvelles, diffusion nationale et internationale du répertoire, sensibilisation des publics, accueil et accompagnement de jeunes compagnies, organisation du festival Le Choré-graphique.
Il créé des pièces d’envergure : On était si tranquille en 1998, Feutre en1999, Cenizas en 2001, mais aime à chorégraphier de petites formes.
Daniel Larrieu quitte volontairement le CCN de Tours fin 2002 pour retrouver la compagnie Astrakan à Paris. En novembre 2003, il crée N’oublie pas ce que tu devines, pièce pour six interprètes. Il obtient en 2004, le prix de la chorégraphie de la SACD et réalise cette même année un projet pour jardins, Marche, danses de verdure ainsi qu’un solo dans le cadre du Vif du sujet au festival de Montpellier, action culturelle de la Sacd, pour Julie Dossavi, À chaque vent, le papillon se déplace sur le saule.
En juin 2006, il reprend Waterproof pour les 20 ans de la création au CNDC d’Angers, et crée une nouvelle pièce pour huit danseurs Nevermind à la MC2 de Grenoble, reprise au Théâtre de la Ville à Paris.
À partir de 2007, il entame un cycle de rendez-vous publics hors-champ de la représentation théâtrale classique. Ce projet est composé d’expériences menées dans des paysages spécifiques et avec des artistes, toutes disciplines confondues. Le numéro 0 a été crée au studio de la compagnie en septembre 2006 et le numéro 1 à l’espace 1789 de St Ouen en octobre 2007. La conférence La danse, j’aimerais bien mais… est complétée par un atelier de création radiophonique pour France Culture, Air de rien diffusé en février 2007. Création à Dijon dans le cadre du Festival Entre Cour et jardins, Voyage en Drakéole en août 2007, et pour le Lieu d’art contemporain de Sigean, Portrait à l’horizon pour Anne Laurent. A l’automne 2008, il travaille pour la pièce Equus de Peter Shaeffer, mise en scène par Didier Long au théâtre Marigny et réalise un temps de laboratoire avec le cinéaste Vincent Dieutre à La Ferme du buisson Acte de présence avec petites trouvailles, il est conseillé gestuel pour l’opéra Welcome To The Voice au théâtre du châtelet à Paris, avec les chanteurs Sting, Elvis Costello et Sylvia Schwartz… mise en scène de Muriel Téodori. Il reçoit le Bonnie Bird Award 2008 à Londres en octobre, il crée une pièce pour Transitions Dance Company installée au Laban centre sur une musique originale d’Antoine Herniotte Come Help Me Make a Forest. Il a crée en mai 2009 Bord de mer pour la nuit des musées au Havre, collaboration avec l’auteur Thierry Illouz pour Jérôme Andrieu. Il crée LUX en février 2010 à la Ferme du Buisson, Rose, pour la CIP de l’Ecole Nationale de Danse de Marseille en mars 2010. Il s’associe au Manège de Reims en collaboration avec le CDCN Hauts de France, l’Échangeur pour les années 2010-2013. Il participe en collaboration avec l’association les Robinsons des Glaces à une expédition ou il danse sur des plaques de glaces à la dérive pour attirer artistiquement l’opinion publique sur les changements climatiques avec le cinéaste Christian Merlhiot et produit une installation et un film ICE DREAM. En 2011-2012, il donne à Sciences Po Paris un atelier sur la composition et la pratique de la danse. Il expose pendant ces même années sous le pseudonyme Daan Larjew un travail de photographie.
Il créée en 2011 pour les 30 ans de la compagnie avec Pascale Houbin et Dominique Boivin un programme de danses sur des chansons françaises En Piste.
En 2012, il est acteur-danseur dans la mise en scène de Gloria Paris, Divine, ou il incarne seul, les figures singulières et interlopes de Notre-Dame-des-Fleurs de Jean Genet au théâtre de L’Athénée (éd Gallimard).
Il crée pour le VRAC festival de Bruxelles, un format court avec Karelle Ménine De l’air dans tes cheveux en février 2012, une performance écrite autour de textes écrits à partir de photos trouvées. Un duo avec l’auteur Arnaud Bertina pour le festival Concordanse et le WAR du Grand R de la Roche-sur-Yon, Sous la peau.
Collaboration avec le metteur en scène Jacques Vincey pour La Vie est un rêve de Calderon en 2012.
Il a participé à plusieurs films comme comédien et chorégraphe : Racines de Cécile Chaspoul en 2012 et Les Prolégomènes d’Haldernablou de Tom de Pékin en 2013.
Il travaille avec Jérôme Marin et Marianne Baillot à un récital de chansons inadmissibles en décembre 2013 pour la scène nationale d’Orléans L’Âme au diable.
Collaboration avec Jacques Vincey pour la production au CDR de Tours de Yvonne, Princesse de Bourgogne en septembre 2014, et pour le metteur en scène Guillaume Vincent production de Mimi opéra contemporain de Fréderic Verrieres, au théâtre des Bouffes du Nord en Novembre 2014 avec entre autres les chanteuses Camélia Jordana et Karoline Rose.
Il a publié chez Acte-Sud, un livre Mémento 1982-2012 qui retrace son parcours avec 200 documents et textes, ouvrage qui donne lieu à une lecture performative Avenir.
Il participe activement à la récolte des projets pour la soirée au théâtre national de Chaillot le 19 février 2015 qui fête les 30 ans de l’association des CCN.
Il créé avec la promotion 74 de l’ENSATT de Lyon, NUITS le 23 février 2015 pour 14 comédiens. Il joue le rôle de Daniel dans le film du réalisateur Chilien Nicolas Viléda avec Manu Gevara Le Diable est magnifique. En 2016, il crée une installation numérique à danser pour les enfants Flow 612. Il revient à l’interprétation pour les chorégraphes Pierre Pontvianne, là, et Thomas Lebrun, Avant Toutes Disparitions.
En septembre 2016 à LUX Valence, une rétrospective de l’ensemble des installations, des archives et du travail photographique.
Il joue le rôle de Hunter dans Corps Étrangers de Stéphanie Marchais pour le metteur en scène de théâtre Titouan Huitric en avril 2017 à Lyon au Théâtre des Clochards Célestes.
Il crée une nouvelle pièce chorégraphique en 2017, autour de trois pièces dansées sous le titre Littéral.
Daniel Larrieu a été administrateur délégué à la danse à la SACD pendant deux mandats de trois ans. Il est officier des arts et des lettres et vice-président de l’ENSATT depuis 2016. Le 30 décembre 2017, Daniel Larrieu a été élevé au grade de chevalier de la Légion d’honneur.
En version courte…
Né à Marseille, Daniel Larrieu est un chorégraphe français.
Chiquenaudes révèle l’originalité de son langage chorégraphique et remporte le deuxième prix au Concours de Bagnolet en 1982. Il passe des Jardins du Palais Royal où il répète à la piscine d’Angers où il crée Waterproof. Il traverse l’aventure de la danse des années 80, curieux des lieux, des rencontres et des expériences atypiques.
Il est créateur associé à La Ferme du Buisson de 1990 à 1992. Il est invité par de grandes institutions chorégraphiques : Opéra de Paris, Attentat poétique, Conservatoires nationaux supérieurs de musique et de danse de Paris et de Lyon, Ballet de Francfurt, Jungle sur la planète Vénus, Festival d’Avignon, Coda, Festival d’Automne…
En 1994, il est nommé directeur du centre chorégraphique national de Tours et reçoit du Ministre de la Culture le Grand Prix National de la danse.
Il poursuit son travail de répertoire, de sensibilisation des publics et l’accueil et de jeunes compagnies et organise le festival Le Choré-graphique.
Il créé des pièces d’envergure : On était si tranquille en 1998, Feutre en1999, Cenizas en 2001.
Daniel Larrieu quitte le CCN de Tours fin 2002. En novembre 2003, il crée N’oublie pas ce que tu devines, pour six interprètes. Il obtient en 2004, le prix de la chorégraphie de la SACD et réalise la même année un spectacle pour jardins, Marche, danses de verdure ainsi qu’un solo dans le cadre du Vif du sujet, SACD pour le festival de Montpellier, pour Julie Dossavi, À chaque vent, le papillon se déplace sur le saule.
En 2006, il reprend Waterproof pour les 20 ans de la création au CNDC d’Angers, et crée une nouvelle pièce pour huit danseurs Nevermind à la MC2 de Grenoble.
À partir de 2007, il entame un cycle de rendez-vous publics hors-champ de la représentation théâtrale classique. Il crée LUX en février 2010 à la Ferme du Buisson.
Il danse sur des plaques de glaces à la dérive avec le cinéaste Christian Merlhiot et produit une installation et un film ICE DREAM.
Il créée en 2011 avec Pascale Houbin et Dominique Boivin un programme de danses sur des chansons françaises En Piste. En 2012, il est acteur-danseur dans la mise en scène de Gloria Paris, Divine, ou il incarne les figures singulières et interlopes de Notre-Dame-des-Fleurs de Jean Genet au théâtre de L’Athénée.
Il travaille avec Jérôme Marin et Marianne Baillot à un récital de chansons inadmissibles en décembre 2013 pour la scène nationale d’Orléans L’Âme au diable.
Il a publié chez Acte-Sud, un livre Mémento 1982-2012 qui retrace son parcours avec 200 documents et textes, ouvrage qui donne lieu à une lecture performative Avenir.
Il créé avec la promotion 74 de l’ENSATT de Lyon, NUITS le 23 février 2015 pour 14 comédiens. Il joue le rôle de Daniel dans le film du réalisateur Chilien Nicolas Viléda avec Manu Gevara Le Diable est magnifique. En 2016, il crée une installation numérique à danser pour les enfants Flow 612.
Il revient à l’interprétation pour les chorégraphes Pierre Pontvianne, là, et Thomas Lebrun, Avant Toutes Disparitions.
Il joue le rôle de Hunter dans Corps Étrangers de Stéphanie Marchais pour le metteur en scène de théâtre Titouan Huitric en avril 2017 à Lyon au Théâtre des Clochards Célestes.
Il crée en 2017 une nouvelle pièce chorégraphique, autour de trois pièces dansées sous le titre Littéral.
Daniel Larrieu a été administrateur délégué à la danse à la SACD pendant deux mandats de trois ans. Il est officier des arts et des lettres et vice-président de l’ENSATT depuis 2016. Le 30 décembre 2017, Daniel Larrieu a été élevé au grade de chevalier de la Légion d’honneur.
Source : Site de Daniel Larrieu
Herniotte, Antoine
Diplômé du CNSAD de Paris en 2002, en tant qu’acteur, il travaille avec les metteurs en scènes Laurent Brethome, Christophe Huysman, Vincent Macaigne, Ludovic Lagarde, Frederic Sonntag, Anne-Cécile Vandalem.
Compositeur et musicien autodidacte, il architecture des sons pour des chorégraphies et des installations, des spectacles de théâtre, de cirque et de marionnettes notamment pour Daniel Larrieu : Come Help Me Make a Forest pour le Laban centre à Londres en 2009, Rose pour l’école du ballet de Marseille, direction Jean-Christophe Paré, pour l’installation et le film, Ice Dream 2010, Big Little B en 2011, Sous la Peau, avec l’auteur Arnaud Bertina en 2012, une performance lecture Avenir en 2013, Flow612 en 2016.
Il collabore avec Justine Berthillot et Frederi Vernier, Laurent Brethome etc.
Il écrit des pièces, Riquet programmé en 2015 au Festival In d’Avignon, et initie de la dramaturgie élargie auprès de spectacles d’interprètes (marionnettes, cirque). En pédagogie, il intervient à l’École Auvray-Nauroy, au CRR de Lyon, à l’ESNAM à Charleville-Mézières, au CNAC à Châlons-en-Champagne, à l’ESNAM et au CNSAD à Paris.
Le Mao, Gilles
Directeur de la société de production La Huit depuis 1990, Gilles Le Mao a produit et réalisé, pour le compte de la Délégation Générale à la Création Artistique, plus de 300 déclinaisons des « Épreuves de Danse » depuis 1996.
Producteur délégué de quelque 400 programmes audiovisuels et cinématographiques à La Huit, il réalise également de grands entretiens sur des personnalités de l'ethnologie, de l'architecture, du paysage et de l'histoire de l'art avec le ministère de la Culture. Prix 2009 du coup de cœur Musique du Monde de l'Académie Charles Cros pour le film « Les tambours de Tokyo », il a produit une cinquantaine de concerts documentés sur le jazz, les musiques du monde et la musique classique depuis 1999.
Il est également membre de différentes commissions sélectives cinéma depuis 2009 au CNC et dans les régions Limousin, Normandie et Grand-Est. Depuis 1995, il travaille avec le Ministère de la Culture - Drac Ile de France en lycée et BTS section cinéma et production.
La Huit Production
La Huit Production, est une société de production de films et de programmes pour la télévision localisée à PARIS.
Source : www.lahuit.com
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