Vêpres #2
2019 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Carlès, James (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Numeridanse , Compagnie James Carlès - Solis de James Carlès
Vêpres #2
2019 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Carlès, James (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Numeridanse , Compagnie James Carlès - Solis de James Carlès
Carlès, James
James Carlès est chorégraphe, chercheur et conférencier. Il reçoit une formation initiale en danses et musiques d'Afrique et de sa Diaspora puis il se forme auprès des grands noms de la danse moderne à New York et à Londres principalement. Depuis 1992, il a engagé une démarche artistique et analytique qui explore les "lieux de jonctions" entre les danses, rythmes et philosophies d'Afrique et de sa Diaspora avec les techniques et les cadres de pensées occidentales. A ce jour, le répertoire de sa compagnie est riche de plus d'une cinquantaine de pièces de sa propre création et d'auteurs comme Katherine Dunham, Pearl Primus, Talley Beatty, Asadata Dafora, Géraldine Armstrong, Rick Odums, Wayne Barbaste, Carolyn Carlson, Robyn Orlin, etc.
Danseur soliste et performer hors pair, James Carlès a été interprète et collaborateur artistique pour non seulement, de nombreux "ensembles musicaux" allant du Baroque, à la musique contemporaine, en passant par le Jazz; mais également des chorégraphes tels que Carolyn Carlson, Robyn Orlin, Rui Horta, Myriam Naisy, etc.
Artiste associé à l'Astrada-Jazz In Marciac de 2012 à 2014, chercheur associé au laboratoire LLA Créatis de l'université Jean-Jaurès de Toulouse, James Carlès est particulièrement investit dans des projets patrimoniaux pour la diversité et la diffusion de la culture chorégraphique.
Il est également créateur et directeur artistique du festival "Danses et Continents Noirs".
Picq, Charles
Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.
Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges".
Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :
• Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
• Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
• Il initie les "présentations de saisons" en image.
• Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.
• Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web, il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
Source : Maison de la Danse de Lyon
Danse et arts numériques
Partenaires artistiques de K. Danse
La compagnie Dyptik
Les racines de la diversité en danse contemporaine
QUDUS ONIKEKU : Se réapproprier une mémoire oubliée
(LA)HORDE : RÉSISTER ENSEMBLE
CHRISTIAN & FRANÇOIS BEN AÏM ET L'ÉLAN VITAL - échappées chorégraphiques salvatrices
Les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis
La compagnie Vlovajobpru
Latitudes contemporaines
40 ans de rock et danse
[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps
Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.
Danses indiennes
Une découverte de la danse indienne au travers de créations chorégraphiques qui la dévoilent, la suggèrent, la revisitent ou la transforment !
Le corps et les conflits
Regard sur les liens qui semblent émerger entre le corps dansant et le monde envisagé comme un organisme vivant.
LES CENTRES CHORÉGRAPHIQUES NATIONAUX
[1970-2018] Développements néoclassiques : diffusion mondiale, répertoires multiples et dialogues avec la danse contemporaine
Avec les années 1970, l’élan des artistes vers un nouveau classique a plus d’un demi-siècle et ainsi plusieurs générations se sont déjà déployées depuis les Ballets Russes. Au fil des décennies, chacun a défendu ou défend la danse classique sous le signe de la nouveauté, de la singularité, de la connexion avec les autres arts et avec les préoccupations de son temps.
James Carlès
les ballets C de la B et l'esthétique du réel
Rencontres avec la littérature
La collaboration entre chorégraphe et écrivain fait apparaître de multiples combinaisons. Parfois, ce n’est plus le chorégraphe qui « met en danse » le texte d’un auteur, c’est l’écrivain qui prend la danse pour sujet ou matière de son texte.
Quand le réel s'invite
Comment les œuvres témoignent-elles du monde ? L’artiste contemporain est-il lui-même le produit d’une époque, d’un milieu, d’une culture ?