Rouge dents
2022 - Réalisateur-rice : Tran, Jérémy
Chorégraphe(s) : Tran, Jérémy (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Créations chorégraphiques
Producteur vidéo : Jérémy Tran
- Oeuvre
- Oeuvre chorégraphique
- Chorégraphe
- Collaborateur artistique
- Réalisateur-rice
- Structure
- Générique
Rouge dents
2022 - Réalisateur-rice : Tran, Jérémy
Chorégraphe(s) : Tran, Jérémy (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Créations chorégraphiques
Producteur vidéo : Jérémy Tran
Rouge dents
Forme hybride entre théâtre et danse, Rouge dents trace l’itinéraire intime d’une adolescente en quête de son propre corps et en proie aux injonctions du féminin contemporain. La pièce est une réflexion sur la construction de soi face à la dictature de l'image.
Rouge dents est un monologue à deux voix, à deux corps, pour une danseuse et une comédienne. Il déploie un bras de fer intime, un tiraillement intérieur entre l’envie de se fondre dans le moule de la jeune et jolie fille et la nécessité de plus en plus pressante de s’en libérer. Gwladys est dans sa chambre, face à son miroir, à la fin d’une journée éprouvante. Elle a porté à l’école ses toutes nouvelles baskets rouge vif, qu’elle n’assume pas tout à fait, qui ne lui vont pas tout à fait, et a essuyé regards en coin et moqueries pendant les cours et les récréations. Elle est triste, elle est en colère, elle cherche en elle une issue de secours. Que faire ? Se mettre à la hauteur de ce rouge, se fondre avec lui pour écraser les moqueuses, ou bien est-ce le moment de tout envoyer au vent et d’inventer autre chose, un autre destin, pour elle-même ?
Le texte emprunte à l’univers des contes de fées (on croise Les Souliers Rouges, Le Petit Chaperon Rouge, Cendrillon) et aux codes de la mode et des nouvelles icônes qui triomphent sur les réseaux sociaux ou dans les émissions de télé-réalité, celles qu’on appelle les « it girls » ou les « influenceuses », pour tenter de démonter les mécanismes à l’œuvre dans cette grande opération séduction dans laquelle les multinationales se sont lancées afin d’exploiter le plus possible les failles de leurs cibles adolescentes. Il fait jour sur les discours auxquels les jeunes, et plus particulièrement les jeunes filles, sont confrontés quotidiennement et qui tendent à faire loi sur leur corps et sur leur schéma de consommation pour tenter d’en révéler la violence et la perversité. L’imagination du personnage a totalement ingéré, digéré ces voix aliénantes, totalisantes, qui résonnent dans sa tête sans cesse et sans pitié. Mais peu à peu, une autre voie s’ouvre, celle d’une lutte mal articulée encore mais indéniablement puissante, pour la construction d’un soi propre.
Conte sur papier glacé, Rouge dents s’attaque aux processus d’instrumentalisation et de réification des corps et des identités féminines. L’héroïne rejette avec violence les modèles auxquels elle croyait jusque-là, ceux de la Femme-Produit, pour se tourner vers la Femme Sauvage. Elle part à la rencontre de ses désirs, de ses révoltes, et renforce son instinct de résistance aux normes, sa nécessité d’émancipation face aux rôles-camisoles et aux mentalités-carcans dans lesquels est enfermé le féminin contemporain.
Rouge dents
Forme hybride entre théâtre et danse, Rouge dents trace l’itinéraire intime d’une adolescente en quête de son propre corps et en proie aux injonctions du féminin contemporain. La pièce est une réflexion sur la construction de soi face à la dictature de l'image.
Rouge dents est un monologue à deux voix, à deux corps, pour une danseuse et une comédienne. Il déploie un bras de fer intime, un tiraillement intérieur entre l’envie de se fondre dans le moule de la jeune et jolie fille et la nécessité de plus en plus pressante de s’en libérer. Gwladys est dans sa chambre, face à son miroir, à la fin d’une journée éprouvante. Elle a porté à l’école ses toutes nouvelles baskets rouge vif, qu’elle n’assume pas tout à fait, qui ne lui vont pas tout à fait, et a essuyé regards en coin et moqueries pendant les cours et les récréations. Elle est triste, elle est en colère, elle cherche en elle une issue de secours. Que faire ? Se mettre à la hauteur de ce rouge, se fondre avec lui pour écraser les moqueuses, ou bien est-ce le moment de tout envoyer au vent et d’inventer autre chose, un autre destin, pour elle-même ?
Le texte emprunte à l’univers des contes de fées (on croise Les Souliers Rouges, Le Petit Chaperon Rouge, Cendrillon) et aux codes de la mode et des nouvelles icônes qui triomphent sur les réseaux sociaux ou dans les émissions de télé-réalité, celles qu’on appelle les « it girls » ou les « influenceuses », pour tenter de démonter les mécanismes à l’œuvre dans cette grande opération séduction dans laquelle les multinationales se sont lancées afin d’exploiter le plus possible les failles de leurs cibles adolescentes. Il fait jour sur les discours auxquels les jeunes, et plus particulièrement les jeunes filles, sont confrontés quotidiennement et qui tendent à faire loi sur leur corps et sur leur schéma de consommation pour tenter d’en révéler la violence et la perversité. L’imagination du personnage a totalement ingéré, digéré ces voix aliénantes, totalisantes, qui résonnent dans sa tête sans cesse et sans pitié. Mais peu à peu, une autre voie s’ouvre, celle d’une lutte mal articulée encore mais indéniablement puissante, pour la construction d’un soi propre.
Conte sur papier glacé, Rouge dents s’attaque aux processus d’instrumentalisation et de réification des corps et des identités féminines. L’héroïne rejette avec violence les modèles auxquels elle croyait jusque-là, ceux de la Femme-Produit, pour se tourner vers la Femme Sauvage. Elle part à la rencontre de ses désirs, de ses révoltes, et renforce son instinct de résistance aux normes, sa nécessité d’émancipation face aux rôles-camisoles et aux mentalités-carcans dans lesquels est enfermé le féminin contemporain.
Tran, Jérémy
Son parcours artistique et professionnel s’est construit grâce à des projets et collaborations hybrides et pluridisciplinaires, au point de rencontre de la danse, de la performance, de la photographie et de la vidéo. À travers la création, Jérémy Tran tente de saisir, amplifier et transformer l’énergie et la présence du corps — sur la base d’une recherche chorégraphique et cinématographique — afin d’en révéler les essences et les instincts.
Après avoir commencé la danse classique à l'âge de 8 ans, Jérémy Tran, ancien élève du Conservatoire Régional de Lille, décide en 2009 de s'orienter vers la danse contemporaine. C'est fort de ces années et des récompenses obtenues - triple médaillé d'or à la Confédération Nationale de Danse - qu'il intègre en 2010 le Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon. Il obtient en 2014 le Diplôme National Supérieur Professionnel de Danseur, la bourse ADAMI et le trophée talent prodij de la ville de Lyon. Il signe parallèlement de nombreux court-métrages dont Artificial Landscapes, regroupant 140 personnes, qu'il présente en septembre 2014 à la Biennale de la Danse de Lyon, ou encore Dissection sélection officielle du festival international 60secondsdance Danemark.
En 2015 il est sélectionné pour participer comme vidéaste et performer au Watermill Center Summer Program à New York et travailler sous la direction du metteur en scène Robert Wilson. Il chorégraphie également la performance Lagune pour 6 danseurs et une marionnetiste, en collaboration avec l'artiste plasticien Denis Savary à l'occasion du centenaire du DADA.
Il obtient en 2016 le Master 2 Développement de Projets Artistiques et Culturels Internationaux (mention Très Bien) de l'Université Lumière Lyon 2, au sein duquel il réalise un mémoire portant sur Les participations des artistes amateurs dans les créations du monde de la danse : les impacts et enjeux liés à ces interprètes.
Après avoir travaillé comme chargé de suivi de projets au Centre national de la danse, il poursuit sa formation en intégrant l'École Normale Supérieure de Lyon en Conduite de Projet en Architecture de l'Information et occupe dans le même temps les fonctions de chargé d'administration dans un bureau de production artistique lyonnais.
En 2018, il crée son entreprise et devient directeur artistique ainsi qu'auteur indépendant, spécialisé dans la danse et la réalisation vidéo. Il est également admis pour les oraux du concours de sélection des pensionnaires de l'Académie de France à Rome – Villa Médicis, qui se déroulent à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.
Aujourd'hui Jérémy Tran participe à la fois comme intervenant, chorégraphe-réalisateur, au Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon et la CinéFabrique - École Nationale Supérieure de Cinéma pour traiter de l'articulation entre langage chorégraphique et cinématographique, et poursuit ardemment la conception de nouveaux projets hybrides.
Il s'adonne notamment à la création de Ce qu'il nous reste, une pièce chorégraphique qui sera présentée et interprétée en juin 2020 par le Ballet du Grand Théâtre de Genève.
Cuq, Pierre
Après avoir été formé au Conservatoire d’art dramatique de Rennes (Cycle d'Orientation Professionnelle), sous la direction de Daniel Dupont (obtention du Diplôme d'Etudes Théâtrales en 2010), Pierre Cuq intègre la 72ème promotion de l’ENSATT (Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre). Durant sa formation, il travaille avec Frank Vercruyssen (tgSTAN), Guillaume Lévêque, Anne Théron, Laurence Roy, Philippe Delaigue, Frédéric Fonteyne, Ariane Mnouchkine, Agnès Dewitte, Eloi Recoing, Enzo Cormann, Marie Payen, Olivier Maurin, Claire Lasne-Darceuil, Pierre-Alain Chapuis, André Markowicz …
À l’ENSATT il joue Lance Fredricksen pour Anne Théron dans la pièce de C. Pellet Loin de Corpus Christi, puis le procureur Edward Carson pour Frank Vercruyssen dans Indécences, d’après O. Wilde et M. Kaufman, et enfin pour Philippe Delaigue dans Le Grand Ensemble, création itinérante de 16 pièces sur la crise et la ville.
Au théâtre, il joue et chante sous la direction de Daniel Dupont (La Trahison Orale, de M. Kagel, La Décision, de B. Brecht, Opéra de Rennes), Vladimir Moràvek (Cirkus Havel, festival Villeneuve en Scène), Claire Lasne-Darceuil (Pour le Meilleur, festival Les Nuits de l’Enclave) Philippe Baronnet (Le Monstre du Couloir, We Just Wanted You to Love us, Le Préau, Vire), Lucie Rébéré (CROSS, Comédie de Valence), Jean-Louis Benoit (Les Autres, Grand Théâtre du Luxembourg) et plus récemment Bob Wilson (Luther Dancing with the Gods, Berlin et Amalh and the Night Visitors, Watermill).
Au cinéma, il tourne pour Eleanor Coppola (Paris Can Wait, Elzevir Films) aux côtés de Diane Lane et Alec Baldwin, mais aussi Vania Leturcq (L’Année Prochaine, Offshore), Robert Guédiguian (Une Histoire de Fou, Rouge Production), Orso Miret (La vie des bêtes, Arte), Jérôme Cornuau (Le Tueur du Lac, TF1) Jules Raillard (ON K'AIR) ou encore Jérémy Tran (Artificial Landscapes).
En tant que metteur en scène, il créé Le(s) Joueur(s) d’après N. Gogol et F. Dostoïevski en 2010, L’Enfant Froid de M. von Mayenburg en 2013 (co-mis en scène avec Sophie Engel) et K d’après F. Kafka en 2014. En 2019 il crée Villa Dolorosa de Rebekka Kricheldorf au Théâtre 13 pour lequel il est Lauréat du Prix Théâtre 13 / Jeunes metteurs en scène. En 2019 il commande le texte Seuil à Marilyn Mattei sur la virilité et la construction du modèle masculin. Le texte est lauréat de la bourse CNL et du dispositif FADEL - Région Normandie (création 2021).
Passionné par l’écriture contemporaine, il fait partie du collectif À Mots Découverts, du comité des jeunes lecteurs du JTN et du label Jeunes Textes en Liberté et a dédié la promotion de ces écritures à sa compagnie Les Grandes Marées basée à Vire.
Pour la saison 21/22 Pierre Cuq jouera L’Aiglon d’E. Rostand, mise en scène de Maryse Estier (Théâtre Montansier, Versaille), dans We Just Wanted You to Love Us, de M. Mougel mise en scène de Philippe Baronnet. Il mettra également en scène Rouge dents, commande théâtre et danse faite à Pauline Peyrade sur le féminin (création printemps 2022)
Tran, Jérémy
Son parcours artistique et professionnel s’est construit grâce à des projets et collaborations hybrides et pluridisciplinaires, au point de rencontre de la danse, de la performance, de la photographie et de la vidéo. À travers la création, Jérémy Tran tente de saisir, amplifier et transformer l’énergie et la présence du corps — sur la base d’une recherche chorégraphique et cinématographique — afin d’en révéler les essences et les instincts.
Après avoir commencé la danse classique à l'âge de 8 ans, Jérémy Tran, ancien élève du Conservatoire Régional de Lille, décide en 2009 de s'orienter vers la danse contemporaine. C'est fort de ces années et des récompenses obtenues - triple médaillé d'or à la Confédération Nationale de Danse - qu'il intègre en 2010 le Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon. Il obtient en 2014 le Diplôme National Supérieur Professionnel de Danseur, la bourse ADAMI et le trophée talent prodij de la ville de Lyon. Il signe parallèlement de nombreux court-métrages dont Artificial Landscapes, regroupant 140 personnes, qu'il présente en septembre 2014 à la Biennale de la Danse de Lyon, ou encore Dissection sélection officielle du festival international 60secondsdance Danemark.
En 2015 il est sélectionné pour participer comme vidéaste et performer au Watermill Center Summer Program à New York et travailler sous la direction du metteur en scène Robert Wilson. Il chorégraphie également la performance Lagune pour 6 danseurs et une marionnetiste, en collaboration avec l'artiste plasticien Denis Savary à l'occasion du centenaire du DADA.
Il obtient en 2016 le Master 2 Développement de Projets Artistiques et Culturels Internationaux (mention Très Bien) de l'Université Lumière Lyon 2, au sein duquel il réalise un mémoire portant sur Les participations des artistes amateurs dans les créations du monde de la danse : les impacts et enjeux liés à ces interprètes.
Après avoir travaillé comme chargé de suivi de projets au Centre national de la danse, il poursuit sa formation en intégrant l'École Normale Supérieure de Lyon en Conduite de Projet en Architecture de l'Information et occupe dans le même temps les fonctions de chargé d'administration dans un bureau de production artistique lyonnais.
En 2018, il crée son entreprise et devient directeur artistique ainsi qu'auteur indépendant, spécialisé dans la danse et la réalisation vidéo. Il est également admis pour les oraux du concours de sélection des pensionnaires de l'Académie de France à Rome – Villa Médicis, qui se déroulent à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.
Aujourd'hui Jérémy Tran participe à la fois comme intervenant, chorégraphe-réalisateur, au Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon et la CinéFabrique - École Nationale Supérieure de Cinéma pour traiter de l'articulation entre langage chorégraphique et cinématographique, et poursuit ardemment la conception de nouveaux projets hybrides.
Il s'adonne notamment à la création de Ce qu'il nous reste, une pièce chorégraphique qui sera présentée et interprétée en juin 2020 par le Ballet du Grand Théâtre de Genève.
Cie Les Grandes Marées
Les Grandes Marées est une compagnie théâtrale fondée en 2017, basée à Vire en Normandie, dirigée par Pierre Cuq, et dont le projet s’oriente sur 4 axes fondateurs :
• La promotion des écritures contemporaines (par des commandes passées à des auteur.ices ou mises en scène de textes inédits, aide à l’édition, recherche de résidence et financements en écriture, mise en lien)
• La pluridisciplinarité (plus particulièrement les liens qui se tissent entre le théâtre et la danse)
• L’éducation artistique et culturelle (en milieu scolaire, associatif, ou amateur) à destination des adolescents (collège/lycée) et des adultes
• Des projets en lien avec le territoire (rencontre habitantes, diversité des publics, forme hors les murs, tournées décentralisées)
Depuis 2010, Pierre Cuq a mis en scène Le(s) Joueur(s) d’après Nikolaï Gogol et Alexandre Pouchkine, L’Enfant Froid de Marius von Mayenburg (co-mis en scène avec Sophie Engel), K solo d’après les rêves de Franz Kafka.
En octobre 2019 il crée Villa Dolorosa, de l’autrice allemande Rebekka Kricheldorf au Théâtre 13 / Seine. Adaptation au vitriol des Trois Soeurs, la pièce dépeint le portrait d’une jeunesse européenne qui ne trouve plus de sens au monde. La pièce est présentée pour la premièrefois en France. Le spectacle est lauréat du Prix Théâtre 13 / jeunes metteurs en scène 2019.
En 20/21 il met en scène Seuil, forme en salle de classe (collège/lycée) et en salle, commande d’écriture faite à l’autrice Marilyn Mattei (Lauréate 2020 bourse CNL et du dispositif FADEL / DRAC Normandie, éditée chez Théâtre Ouvert en 2022). Seuil traite des mécanismes toxiques de la virilité et de la thématique du consentement à travers l’exemple des rites de passages entre hommes.
En 21/22 il mettra en scène Rouge dents, commande d’écriture faite à Pauline Peyrade(Lauréate 2017 bourse CNL, éditée chez Solitaires Intempestifs) mêlant théâtre et danse, et traitant des enjeux du corps féminin, de la quête de soi face à la dictature de l’image, et de la sauvagerie. Il mettra en scène la pièce en collaboration avec le chorégraphe Jérémy Tran.
Rouge dents
Direction artistique / Conception : Pierre Cuq & Jérémy Tran
Chorégraphie : Jérémy Tran
Interprétation : Aurélie Mouilhade & Rebecca Tetens
Mise en scène : Pierre Cuq
Scénographie : Cerise Guyon
Texte : Pauline Peyrade
Lumières : François Leneveu & Nils Doucet
Costumes : Floriane Gaudin
Son : Camille Noel & Vivien Lenon
Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Compagnie Les Grandes Marées avec l’aide de La DRAC Normandie - aide à la création 2021 ; La Région Normandie - aide à la maquette 2021 et aide à la création 2022 ; Le Département du Calvados - aide à la production 2021. Coproductions : La Halle ô Grains, Bayeux ; Le Rayon Vert – Scène conventionnée d’intérêt national “Art en territoire”, Saint-Valéry-en-Caux ; Le Quai des Arts, Argentan ; Théâtre Jean-Pierre Bacri - Pays de Conches, Conches-en-Ouche.
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