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Le Sacre du printemps

Maison de la danse 2023 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien

Chorégraphe(s) : Harriague, Martin (France) Malandain, Thierry (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , Saisons 2020 > 2024

Producteur vidéo : Maison de la Danse de Lyon

Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon

en fr

Le Sacre du printemps

Maison de la danse 2023 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien

Chorégraphe(s) : Harriague, Martin (France) Malandain, Thierry (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , Saisons 2020 > 2024

Producteur vidéo : Maison de la Danse de Lyon

Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon

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Le Sacre du printemps

 Le rapport de l’homme et de la nature fascine et inquiète Martin  Harriague. De ce qu’il évoquait déjà dans ses créations récentes (Sirènes, Fossile, Serre)  - la renaissance du vivant, sa puissance, la lutte pour sa survie -  l’oeuvre iconoclaste et géniale de Stravinski pour les Ballets russes  contient tout, et plus encore. Par bien des aspects, le Sacre était une  avancée « révolutionnaire », tant par sa chorégraphie de Nijinski que  pour sa partition. Harriague décide de s’emparer du mythe en respectant  l’intention originelle du compositeur : illustré par un rite païen, «  c’est la sensation obscure et immense à l’heure où la nature renouvelle  ses formes, et c’est le trouble vague et profond d’une pulsion  universelle », précise Stravinski dans un article que Martin Harriague  prend pour référence (CND, revue Montjoie, 29 mai 1913). Jacques  Rivière, clairvoyant directeur de la NRF, parlait à l’époque d’un «  ballet biologique » : « le printemps dans son effort, dans son spasme...  On croirait assister à un drame du microscope ». Le martèlement  rythmique complexe qui donne à l’oeuvre sa force sauvage et menaçante  convient au langage corporel de Martin Harriague, explosif et terrien.  Parce que la musique le lui dicte, il renonce cette fois à tout lyrisme  gestuel; il se concentre sur le pouvoir expressif du mouvement primitif  et des figures fractales par lesquelles le groupe s’enroule, se déploie,  se contracte comme le vivant resurgit, se fraie partout un chemin avant  d’exploser. À Nijinski qui avait osé cette rupture transgressive avec  le langage classique, Harriague emprunte le piétinement des Augures  printaniers qui « marquent de leur pas le pouls du Printemps ». Les  citations du ballet originel s’arrêtent là, mais la pièce toute entière  témoigne de la volonté de s’appuyer, pour mettre en scène la vision de  Stravinski, sur l’expressivité de la musique, particulièrement éclatante  sous la baguette de Teodor Currentzis. On ressent physiquement  l’énergie sauvage et l’effroi intemporel qui habitent ce groupe  confronté à la violence du vivant, purifié par le rite. On perçoit la  sauvagerie et la nécessité de l’offrande finale de l’élue, principe  féminin incarnant l’énergie du printemps, la sève, pure et saine, qui  monte, allégorie du vivant qui s’élève vers la lumière. 


Source : Malandain Ballet Biarritz

En savoir plus : malandainballet.com

Harriague, Martin

Né en 1986 à Bayonne, France, Martin Harriague commence la danse classique et contemporaine à l'âge de 19 ans. 

Il  Rejoint le Malandain Ballet Biarritz Junior (France) en 2007, le Ballet  National de Marseille en 2008, la Noord Nederlandse Dans aux Pays-Bas  de 2010 à 2013 puis intègre la Kibbutz Contemporary Dance Company en  septembre 2013 jusqu'en décembre 2018. 

Il est maintenant chorégraphe freelance et artiste en résidence au Malandain Ballet Biarritz. 

Martin  a travaillé avec Thierry Malandain, Itzik Galili, Emmanuel Gat, Roy  Assaf, Andrea Miller, Keren Levi, Stephen Shropshire, Frederic  Flamand et Rami Be'er.

Parallèlement à sa carrière de danseur, il chorégraphie son propre travail et compose sa propre musique.

Ses  chorégraphies ont reçu une reconnaissance internationale et des prix  dans les compétitions  de Stuttgart, Hanovre ainsi qu'à Copenhague. Il a  créé pour le Malandain Ballet Biarritz, l'Opéra de Leipzig, Scapino  Ballet Rotterdam, Kibbutz Contemporary Dance Company, l'Opéra de Metz,  Project Sally aux Pays-Bas et Dantzaz Konpainia en Espagne. 


Source : Site du chorégraphe

En savoir plus : www.martinharriague.com

Malandain, Thierry

Thierry Malandain né le 13 avril 1959 à Petit-Quevilly, a suivi le parcours naturel du danseur classique, mais avec un goût marqué pour les marges et une ténacité hors du commun. Violette Verdy qui préside le concours de Lausanne où il se présente en 1978, l’engage à l’Opéra de Paris pour la saison 1977-1978. Il y rencontre Jean Sarelli, alors « Le » maître de ballet, et le suit lorsque ce dernier prend la direction du Ballet du Rhin. Thierry Malandain reste à Mulhouse jusqu’en 1980, puis rejoint le Ballet Théâtre Français de Nancy que dirige Hélène Traïline et Jean-Albert Cartier. Cela jusqu’en 1986. C’est au cours de ces six années lorraines qu’il fait, avec succès, ses premières expériences de chorégraphe, où il prouva déjà le choix très exigeant de la musique et l’ambition de ses propositions. 

En 1986, Thierry Malandain fait un pari. Il quitte le  Ballet Théâtre Français de Nancy  avec huit danseurs et fonde la compagnie Temps Présent qui s’installe à Elancourt (78), en banlieue parisienne. Dès la saison suivante, il est lauréat de la Fondation de la Vocation, de la Fondation Oulmont et reçoit le 1er Prix du concours chorégraphique de La Baule, le 1er Prix du concours chorégraphique de Vaison-la-Romaine, et à Paris avec Angelin Preljocaj et Claude Brumachon, le Prix de la Nuit des Jeunes Créateurs. De nombreuses pièces contribuent à le faire reconnaître comme un jeune talent prometteur. 

En 1991, Thierry Malandain monte Pulcinella d’Igor Stravinski sur la scène de ce qui est encore la Maison de la Culture de Saint-Etienne. Le directeur, Jean-Louis Pichon est en train de guider l’institution vers son nouveau rôle d’Opéra-Théâtre (il deviendra L’Esplanade en 1994). Il sait qu’il a besoin d’un chorégraphe sensible à la musique et capable de proposer une activité forte sur le terrain. Il propose à la compagnie Temps Présent de l’accueillir en résidence à Saint-Etienne. C’est le début d’une aventure de six ans qui verra le chorégraphe créer plusieurs de ses ballets les plus repérés et engager une très originale démarche : recréer les ballets du compositeur stéphanois Jules Massenet.

C’est alors en 1997 que le chorégraphe reçoit une proposition : le Ministère de la Culture et de la Communication et la ville de Biarritz lui offrent de fonder dans la station balnéaire basque le premier Centre Chorégraphique Contemporain de style classique. L’affaire se déroule assez rapidement au point que dès septembre 1998, le Centre Chorégraphique National - Ballet Biarritz voit le jour et s’installe dans la Gare du Midi, vaste édifice déserté par les trains et qui domine de ses deux hautes tours carrées la douceur des jardins biarrots.

En 2003, avec Les Créatures, musique de Ludwig van Beethoven, Ballet Biarritz franchit une étape créative importante. La pièce, forte, graphique, ambitieuse, dégage un sentiment de maturité et d’aisance qui lui assure une reconnaissance importante. Pour la première fois, grâce à Dominique Hervieu et José Montalvo, la troupe se produit officiellement à Paris (Théâtre national de Chaillot), tandis qu’à Moscou, Les Créatures sont nominées aux Benois de la Danse et reçoivent à Cuba, le Prix de la Critique du XIXème festival International de Ballet de La Havane. En 2004, Le Sang des Etoiles conforte ce succès. C’est à partir de ce moment que le CCN devient l’un de ceux assurant le plus grand nombre de représentations annuelles accompagné d’une forte présence internationale. L’institution monte aussi en puissance. 

En août 2009, Thierry Malandain est élevé au grade d’officier des Arts et Lettres. C’est avec une nouvelle appellation « Malandain Ballet Biarritz » que débute pour le chorégraphe une nouvelle ère. 

En 2013, alors que le Malandain Ballet Biarritz dépasse désormais les cent représentations annuelles, à la demande de Laurent Brunner, directeur de l'Opéra royal de Versailles, le chorégraphe créé Cendrillon sur la partition de Serge Prokofiev. Outre le merveilleux écrin de l'Opéra royal du Château de Versailles, sous la direction de Josep Caballé-Domenech, les représentations bénéficieront du concours de l’Orquesta Sinfónica de Euskadi originaire de Donostia-San Sebastián. Triomphe d'humanité, Cendrillon fait l’unanimité de la presse et du public et en 2014, Thierry Malandain reçoit à Berlin le Prix du meilleur chorégraphe aux Taglioni European Ballet Awards décerné par la fondation Malakhov.


Source : Site du Malandain Ballet


En savoir plus : http://malandainballet.com/

Plasson, Fabien

Fabien Plasson est réalisateur, principalement dans le domaine du spectacle vivant (danse, musique, etc.).

C’est au cours de sa formation à l’École Nationale Supérieur des Beaux-Arts de Lyon qu’il intègre en 1995 que Fabien découvre l’art vidéo. Il se forme alors auprès de divers artistes vidéastes (Joël Bartoloméo, Pascal Nottoli, Eric Duyckaerts, etc).
Son approche s’inscrit d’abord dans une recherche plastique avec la création d’installations et d’objets filmiques.

En 2001, il rejoint l’équipe de la Maison de la Danse de Lyon et s’occupe durant 10 ans de la programmation du Vidéo-Bar Ginger&Fred. Il découvre alors l’univers chorégraphique et les enjeux de la vidéo pour la diffusion et la transmission de la danse aux côtés de Charles Picq alors vidéaste et directeur du service vidéo de la Maison de la Danse.

En parallèle, il continue son activité de création plastique, réalise des vidéos de concerts, de pièces de théâtre et crée également des décors vidéos pour le spectacle vivant.

Aujourd’hui, Fabien Plasson est réalisateur vidéo au Pôle Image de la Maison de la Danse de Lyon et pour Numeridanse.tv, vidéothèque internationale de danse en ligne.


Source : Maison de la Danse, Fabien Plasson

Malandain Ballet Biarritz

Avec plus de quatre-vingts oeuvres à son actif, Thierry Malandain développe une idée toute personnelle de la danse.  Profondément liée au concept de « Ballet » qui tient lieu ici de référence à un courant esthétique, elle donne la priorité au corps dansant, à la célébration de sa sensualité et de son humanité.

L’Homme et la Danse sont au cœur et au corps du Malandain Ballet Biarritz.

A la tête d’une troupe constituée d’interprètes maîtrisant la grammaire de la danse classique, mais dont l’expression est actuelle, la démarche de Thierry Malandain est sous-tendue par de profondes valeurs humaines. Sa recherche du sens et de l’esthétique guide aussi un style intemporel à la fois musclé, énergique et sobre, qui puise sa richesse dans les racines de la danse et dans une vision dynamique de cet art.

 

« Ma culture, ma génétique  est celle de la danse classique et sans complexe, j’y demeure attaché. Car si je reconnais  volontiers que certains de ses codes artistiques et sociaux sont d’un autre temps, comme l’ADN présent dans toutes les cellules vivantes, transmis de génération en génération, il renferme des informations nécessaires au fonctionnement et au développement de la compagnie qui me tient lieu d’organisme. L'information portée par l'ADN peut se modifier au fil du temps. Cela aboutit à la diversité des espèces, à l’évolution. C’est pourquoi ma danse est le support de variations. Classique pour les uns, contemporain pour les autres, héréditairement néoclassique, je suis tout simplement  en recherche d’une danse que j’aime. Une danse qui ne laisserait pas seulement la trace du plaisir, mais qui renouerait avec l’essence du sacré comme une réponse à la difficulté d’être. »

Au fil de ses créations qui peuvent être graves tout autant qu’ impertinentes, Thierry Malandain s’attache donc à développer une écriture en quête d’une harmonie entre classique et contemporain, l’histoire et le monde d’aujourd’hui. Ainsi, entre ses visions originales de titres comme  Roméo et Juliette, Cendrillon,  Casse Noisette ou l’Après-midi d’un faune, il alterne de pures créations telles que Magifique, Une Dernière chanson, Estro ou encore Lucifer sur une partition inédite du compositeur Guillaume Connesson.  

Thierry Malandain est également un artiste ouvert à ses contemporains. En témoignent les nombreux chorégraphes porteurs d’esthétiques les plus diverses soutenus par le Centre Chorégraphique National dans le cadre de l’Accueil Studio, ou bien à l’affiche du festival Le Temps d’Aimer, dont il assure à Biarritz la direction artistique.

Le Sacre du printemps

Chorégraphie : Martin Harriague

Assistance à la chorégraphie : Françoise Dubuc, Nuria López Cortés

Scénographie : Martin Harriague

Musique originale : Igor Stravinski

Lumières : François Menou, Martin Harriague

Costumes : Mieke Kockelkorn, Véronique Murat, Charlotte Margnoux

Décors : Frédéric Vadé

Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Donostia Kultura - Victoria Eugenia Antzokia -Donostia / San Sebastián (Espagne) – Ballet T, Chaillot-Théâtre national de la Danse – Paris, Théâtre des Salins, Scène nationale – Martigues, Le Cratère – Scène nationale Alès, Opéra de Reims, La Rampe – Scène conventionnée Echirolles, Opéra de Saint Etienne, CCN Malandain Ballet Biarritz

Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Maison de la Danse de Lyon - Fabien Plasson, 2023

Durée : 35'

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