Interview de Charles Picq
2010 - Réalisateurs : Plasson, Fabien - Picq, Charles
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la Danse de Lyon , Numeridanse.tv , À propos de Numeridanse
Producteur vidéo : Maison de la Danse
Interview de Charles Picq
2010 - Réalisateurs : Plasson, Fabien - Picq, Charles
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la Danse de Lyon , Numeridanse.tv , À propos de Numeridanse
Producteur vidéo : Maison de la Danse
Interview Charles Picq
Interview de Charles Picq, concepteur de Numeridanse.
Plasson, Fabien
Fabien Plasson est réalisateur, principalement dans le domaine du spectacle vivant (danse, musique, etc.).
C’est au cours de sa formation à l’École Nationale Supérieur des Beaux-Arts de Lyon qu’il intègre en 1995 que Fabien découvre l’art vidéo. Il se forme alors auprès de divers artistes vidéastes (Joël Bartoloméo, Pascal Nottoli, Eric Duyckaerts, etc).
Son approche s’inscrit d’abord dans une recherche plastique avec la création d’installations et d’objets filmiques.
En 2001, il rejoint l’équipe de la Maison de la Danse de Lyon et s’occupe durant 10 ans de la programmation du Vidéo-Bar Ginger&Fred. Il découvre alors l’univers chorégraphique et les enjeux de la vidéo pour la diffusion et la transmission de la danse aux côtés de Charles Picq alors vidéaste et directeur du service vidéo de la Maison de la Danse.
En parallèle, il continue son activité de création plastique, réalise des vidéos de concerts, de pièces de théâtre et crée également des décors vidéos pour le spectacle vivant.
Aujourd’hui, Fabien Plasson est réalisateur vidéo au Pôle Image de la Maison de la Danse de Lyon et pour Numeridanse.tv, vidéothèque internationale de danse en ligne.
Source : Maison de la Danse, Fabien Plasson
Picq, Charles
Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.
Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges".
Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :
• Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
• Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
• Il initie les "présentations de saisons" en image.
• Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.
• Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web, il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
Source : Maison de la Danse de Lyon
Maison de la Danse de Lyon
Le 17 juin 1980 ouvre à Lyon la première Maison de la Danse en France. C’est l’aboutissement d’un pari un peu fou lancé dès 1977 par cinq chorégraphes lyonnais, Claude Decaillot, Michel Hallet Eghayan, Lucien Mars, Hugo Verrechia et Marie Zighera, tous unis pour défendre la danse. Des protagonistes qui revendiquent alors ce qui n’existait pas : un lieu à part entière dédié à cet art. La Ville de Lyon et son Adjoint à la Culture s’intéressent au projet et concèdent une ancienne salle des fêtes dans le quartier de la Croix-Rousse. La direction artistique est alors confiée à Guy Darmet. Le succès de la première saison dépasse les prévisions les plus optimistes. À la volonté de la Ville de Lyon et du Conseil Général du Rhône se sont ensuite associés le Ministère de la culture, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et d’autres partenaires. L’importance d’un espace pour la danse est démontrée. Le public, les professionnels, les institutions et les médias témoignent de l’intérêt porté à l’originalité de l’entreprise. Sa résonance devient nationale et internationale. Aujourd'hui encore, elle est un lieu unique en son genre en Europe. En 1984, Guy Darmet crée également la Biennale de la danse. Le festival se développe ensuite, il s’impose rapidement comme l’un des plus importants festivals de danse au monde.
L’un des grands moments du développement de la Maison est le passage du Théâtre de la Croix-Rousse au Théâtre du 8e en septembre 1992. Une belle preuve de confiance de la Ville de Lyon et du ministère de la Culture. Elle trouve là une scène et une salle de 1 100 places à sa mesure. Depuis cette installation, la Maison de la Danse met à la disposition des compagnies invitées un espace de répétition ou de résidence d’une superficie de 300 m2, le studio Jorge Donn.
La Maison de la Danse maintient depuis près de 30 ans le cap d’une maison vouée à toutes les danses, toutes les formes et toutes les techniques. Elle propose chaque saison une programmation où se croisent et se confrontent les danses et les esthétiques les plus diverses. La programmation invite les chorégraphes majeurs du XXe siècle, les jeunes créateurs contemporains, elle fait cohabiter création et répertoire, elle développe l'intérêt des enfants et adolescents, le public de demain. La Maison de la Danse présente chaque saison entre 30 et 40 compagnies pour environ 200 représentations. Elle accueille environ 150 000 spectateurs chaque saison.
Depuis son ouverture, la Maison de la Danse s’intéresse à la vidéo en entreprenant un travail de captation de tous les spectacles. En 1990, la Maison de la Danse lance une vidéothèque dédiée à la danse et consultable par le grand public, la première du genre en France. Ce fonds, constamment enrichi par de nouvelles acquisitions et par la production de nouvelles archives, compte à ce jour plus d’un millier de références. Lieu de diffusion, de création, mais aussi de mémoire, la Maison de la Danse est devenue une référence en termes de transmission de la danse par l’image. Consciente des enjeux de demain et des possibilités d’avenir offertes par les nouvelles technologies, la Maison de la Danse va plus loin aujourd’hui avec numeridanse.tv, une vidéothèque internationale de danse en ligne qui permet l’accès aux archives de la Maison de la Danse, mais aussi l’accès aux archives des partenaires qui ont rejoint numeridanse.tv.
En juillet 2011, Dominique Hervieu succède à Guy Darmet à la Direction générale de la Maison de la danse et à la Direction artistique de la Biennale de la danse à Lyon. La belle aventure artistique et humaine de la Maison de la Danse se poursuit. Fidèle à sa mission originale de faire découvrir et aimer la danse au plus grand nombre, forte de la confiance d’un public toutes générations confondues, la Maison entend poursuivre son développement. Aujourd’hui, demain, ouvrir encore les frontières de son hospitalité dans son soutien aux artistes. Avec générosité et obstination. Le prochain développement de la Maison de la Danse consistera en la création d'une annexe — Ateliers de la danse — situé dans l'ancien Musée Guimet de Lyon, réhabilité en lieu de production et de création pour la danse, à échéance 2022.
Source : Maison de la Danse de Lyon
En savoir plus : http://www.maisondeladanse.com/
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