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Elisabeth gets her way

Maison de la danse 2022 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien

Chorégraphe(s) : Martens, Jan (Belgium)

Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , Saisons 2020 > 2024

Producteur vidéo : Maison de la Danse de Lyon

Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon

en fr

Elisabeth gets her way

Maison de la danse 2022 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien

Chorégraphe(s) : Martens, Jan (Belgium)

Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , Saisons 2020 > 2024

Producteur vidéo : Maison de la Danse de Lyon

Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon

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Elisabeth gets her way

Elisabeth Gets Her Way rend hommage à Elisabeth Chojnacka, femme exceptionnelle dont le talent et la passion exceptionnels ont  contribué à la reviviscence du clavecin dans la seconde moitié du XXe  siècle. Le solo est un portrait dansé accompagné d’une bande son  composée d’enregistrements qu’elle a réalisés au cours de ses cinquante  ans de carrière — des œuvres de Nyman à Ligeti en passant par Montague —  et d'extraits d'interviews évoquant la vie et l’œuvre de la  musicienne.
Malgré l’extrême complexité de certaines de ces compositions, Jan  Martens réussit à danser en restant aussi proche que possible des  partitions et jouer de son corps dans le même esprit que Chojnacka  jouait du clavecin. Il convoque différents styles de mouvements tout  comme elle slalomait avec aisance entre différents registres et genres  avec dans les doigts quelques siècles d’histoire de la musique. En 2021,  cela fera exactement cinquante ans que Chojnacka a sorti son premier  disque : Clavecin 2000. Un moment idéal pour rendre hommage à  cette femme remarquable avec un solo qui lui consacre le temps et  l’espace qui lui revient. 


Source : Maison de la Danse de Lyon

Martens, Jan

Jan Martens (°1984, Belgique) a étudié à l’Académie de danse Fontys à Tilburg aux Pays-Bas et a achevé sa formation de danse en 2006 au Conservatoire royal d’Anvers (École supérieure Artesis). Depuis 2010, il crée sa propre œuvre chorégraphique qui, chemin faisant, est portée à la scène avec une régularité croissante devant des publics nationaux et internationaux. 

L’œuvre de Jan Martens se nourrit de la conviction que chaque corps est en mesure de communiquer et a quelque chose à raconter. La communication directe se traduit par une forme transparente. Son œuvre est comme une retraite où la notion du temps redevient tangible et qui offre de la latitude à l’observation, l’émotion et la réflexion. Pour atteindre cet objectif, il ne conçoit pas tant son propre vocabulaire gestuel, mais travaille et réutilise des idiolectes existants dans un contexte différent afin de permettre à de nouvelles idées d’émerger. Dans chaque nouvelle œuvre, il tente de redessiner la relation entre public et performeur. 

Le premier spectacle de Jan Martens, I CAN RIDE A HORSE WHILST JUGGLING SO MARRY ME (2010), brossait le portrait d’une génération de jeunes femmes dans une société dominée par les réseaux sociaux. Ensuite, il a réalisé deux duos à Frascati à Amsterdam : A SMALL GUIDE ON HOW TO TREAT YOUR LIFETIME COMPANION (2011), sélectionné par la plate-forme Aerowaves en 2011 et SWEAT BABY SWEAT (2011), sélectionné par les festivals Dansdagen 2012 et Circuit X 2013. Ensuite, il a créé trois productions sur la beauté non conventionnelle avec des performeurs dont les corps ne répondent pas aux critères habituels de la danse contemporaine : BIS (2012) pour Truus Bronkhorst alors âgé de 62 ans, LA BÊTE (2013) pour la jeune actrice Joke Emmers, et VICTOR (2013), un duo pour un garçon et un adulte que Jan Martens a créé en collaboration avec le metteur en scène Peter Seynaeve. 

En 2014, Jan Martens a choisi le saut comme un mouvement central du spectacle de groupe THE DOG DAYS ARE OVER (2014) qui a été sélectionné Het Theaterfestival Vlaanderen. Le spectacle est toujours en tournée, de même que le solo ODE TO THE ATTEMPT (2014) et le projet THE COMMON PEOPLE (2016), un spectacle qui est à la fois une expérience sociale et un atelier créé en collaboration avec le metteur en scène Lukas Dhont. En 2017, Jan Martens crée RULE OF THREE, une collaboration avec l’artiste acousticien états-unien NAH. Dans PASSING THE BECHDEL TEST (2018), Jan Martens choisit résolument d’utiliser uniquement la parole et les 13 jeunes de fABULEUS s’emparent des mots d’un grand éventail d’écrivaines et de penseures pour aborder des thèmes comme les stéréotypes et le féminisme. Début 2019, lostmovements a eu sa première. Les cheminements artistiques des danseurs et chorégraphes Marc Vanrunxt et Jan Martens se sont régulièrement croisés par le passé et se retrouvent sur un solo pour Jan Martens. Marc Vanrunxt était déjà présent au début des années quatre-vingt, aux prémices de la nouvelle vague de la danse flamande. 

En 20/21, Martens se concentre sur la première de any attempt will end in crushed bodies and shattered bones (première le 18 juillet 2021 au Festival d’Avignon). Une pièce de groupe pour dix-sept danseurs âgés de 16 à 69 ans. Il travaille également sur le solo ELISABETH GETS HER WAY qu’il dansera lui-même (première le 12 juillet 2021 au Julidans, Amsterdam). 

Jan Martens réalise aussi souvent des spectacles invités comme MAN MADE (2017) pour le Dance On Ensemble, et accompagne en outre de jeunes créateurs dans la réalisation de leurs productions. Martens a remporté le prix Prins Bernard du Fonds culturel néerlandais du Nord-Brabant en 2014 et le prestigieux prix Charlotte Köhler en 2015. Il est « artiste associé » à DE SINGEL (Anvers, BE). 

Source : https://www.grip.house/ 

Plasson, Fabien

Fabien Plasson est réalisateur, principalement dans le domaine du spectacle vivant (danse, musique, etc.).

C’est au cours de sa formation à l’École Nationale Supérieur des Beaux-Arts de Lyon qu’il intègre en 1995 que Fabien découvre l’art vidéo. Il se forme alors auprès de divers artistes vidéastes (Joël Bartoloméo, Pascal Nottoli, Eric Duyckaerts, etc).
Son approche s’inscrit d’abord dans une recherche plastique avec la création d’installations et d’objets filmiques.

En 2001, il rejoint l’équipe de la Maison de la Danse de Lyon et s’occupe durant 10 ans de la programmation du Vidéo-Bar Ginger&Fred. Il découvre alors l’univers chorégraphique et les enjeux de la vidéo pour la diffusion et la transmission de la danse aux côtés de Charles Picq alors vidéaste et directeur du service vidéo de la Maison de la Danse.

En parallèle, il continue son activité de création plastique, réalise des vidéos de concerts, de pièces de théâtre et crée également des décors vidéos pour le spectacle vivant.

Aujourd’hui, Fabien Plasson est réalisateur vidéo au Pôle Image de la Maison de la Danse de Lyon et pour Numeridanse.tv, vidéothèque internationale de danse en ligne.


Source : Maison de la Danse, Fabien Plasson

GRIP

En 2014, Jan Martens a fondé avec la directrice administrative Klaartje Oerlemans la plateforme chorégraphique GRIP, basée à Anvers et Rotterdam, à partir de laquelle ils produisent et diffusent ensemble ses spectacles et soutiennent en outre le travail de Cherish Menzo et Steven Michel. Jan Martens est artiste associé chez DE SINGEL (Anvers) et GRIP est soutenu par le gouvernement flamand. 

Elisabeth Gets Her Way

Chorégraphie : Jan Martens

Interprétation : Jan Martens

Conseil artistique / Dramaturgie : Marc Vanrunxt, Anne-Lise Brevers, Rudi Meulemans

Lumières : Elke Verachtert

Costumes : Cédric Charlie

Direction technique : Michel Spang, Elke Verachtert

Son : Yanna Soentjens

Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Grip

Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Maison de la Danse de Lyon - Fabien Plasson, 2022

Durée : 60'

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