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Conférence de Germaine Acogny, James Carlès et Zora Snake au Corpus Africana 2018

Centre chorégraphique James Carlès 2018 - Réalisateur-rice : Carlès, James

Chorégraphe(s) : Acogny, Germaine (Senegal) Carlès, James (France) Snake, Zora (Cameroon)

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Conférence de Germaine Acogny, James Carlès et Zora Snake au Corpus Africana 2018

Centre chorégraphique James Carlès 2018 - Réalisateur-rice : Carlès, James

Chorégraphe(s) : Acogny, Germaine (Senegal) Carlès, James (France) Snake, Zora (Cameroon)

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Corpus Africana 2018

Du 27 octobre au 9 novembre 2018 le Consortium universitaire Erasmus Mundus EuroPhilosophie et le Centre de Philosophie du Droit de  l’Université catholique de Louvain organisent à l’Université de Toulouse Jean Jaurès, dans le cadre du séminaire de recherche « Penser les décolonisations », en collaboration avec le Festival Danses et Continents Noirs du Centre chorégraphique James Carlès, sous le titre « Corpus africana: Philosophies et danses actuelles d’Afrique et de ses diasporas » une importante rencontre internationale visant à porter au  cœur de la recherche universitaire européenne ; dans le domaine des Arts et des Lettres; la connaissance et l’étude de la « philosophie africana  », des savoirs chorégraphiques africains et afro-descendants  contemporains.

Acogny, Germaine

Germaine Acogny est l'une des personnalités les plus  connues de la scène africaine de la danse contemporaine, notamment dans  le domaine de l'enseignement et du développement de la danse  contemporaine en Afrique.  

Sénégalaise et française, elle a participé de 1962 à 1965 à la  formation à l'école de Simon Siegel (la directrice était Mme Marguerite  Lamotte) à Paris et a obtenu un diplôme d'éducation physique et de  gymnastique harmonieuse. Puis, elle a fondé son premier studio de danse à Dakar, en 1968. Grâce à  l'influence des danses qu'elle avait héritées de sa grand-mère, un  prêtre yoruba, et à ses études des danses traditionnelles africaines et  des danses occidentales (classique, moderne) à Paris et à New York,  Germaine Acogny a créé sa propre technique de danse africaine moderne et  est considérée comme la "mère de la danse africaine contemporaine". 

Entre 1977 et 1982, elle a été directrice artistique de MUDRA AFRIQUE  (Dakar), créé par Maurice Béjart et le président et poète sénégalais  Léopold Sedar Senghor. En 1980, elle a écrit son premier livre intitulé "Danse africaine",  édité en trois langues. Après la fermeture de Mudra Afrique, elle s'est installée à Bruxelles  pour travailler avec la compagnie de Maurice Béjart, où elle a organisé  des ateliers internationaux de danse africaine, qui ont connu un grand  succès auprès des étudiants européens. Cette même expérience s'est  répétée en Afrique, à Fanghoumé, un petit village de Casamance, dans le  sud du Sénégal. Des gens d'Europe et du monde entier s'y sont rendus.

Avec son mari, Helmut Vogt, elle a créé en 1985, à Toulouse, en France, le "Studio-Ecole-Ballet-Théâtre du 3è Monde".
Après avoir été absente de la scène pendant plusieurs années, Germaine  Acogny la fait revenir comme danseuse et chorégraphe en 1987. Elle a  travaillé avec Peter Gabriel pour un clip vidéo et a créé son solo  "Sahel". D'autres chorégraphies suivent. Son solo "YE'OU", créé en 1988, tourne sur tous les continents et  remporte le "London Contemporary Dance and Performance Award" en 1991.
En 1995, elle décide de retourner au Sénégal, dans le but de créer un Centre International des Danses Africaines Traditionnelles et Contemporaines : un point de rencontre pour les danseurs venant d'Afrique et du monde entier et, un lieu de formation professionnelle pour les danseurs du toute l'Afrique dans le but de les guider vers une Danse Africaine Contemporaine. La construction du Centre -également appelé "L'Ecole des Sables"- a été achevée en juin 2004. Pourtant, depuis 1998, des ateliers professionnels de trois mois pour danseurs et chorégraphes africains étaient organisés chaque année. Une quarantaine de danseurs venus de toute l'Afrique se sont rencontrés, ont échangé et travaillé ensemble à chaque fois.
En 1997, Germaine Acogny devient directrice artistique de la "section  danse d'Afrique en créations" à Paris, poste qu'elle occupe jusqu'en  septembre 2000. Pendant cette période, elle a été responsable du  Concours de danse africaine contemporaine, une importante plateforme  pour les jeunes chorégraphes africains.

En 2005, elle a été invitée comme régente à l'UCLA (Université de Los Angeles).
Son solo "Tchouraï", créé en 2001 et chorégraphié par Sophiatou Kossoko,  a été présenté avec succès en tournée jusqu'en 2008. Elle l'a présenté  en France (Théâtre de la Ville, Paris), en Allemagne, en Belgique, aux  Pays-Bas, au Danemark, en Italie, aux États-Unis (New York, Chicago), au  Brésil et en Chine (premier festival de danse contemporaine à  Shanghai).
En 2003/2004, elle a créé la pièce "Fagaala", pour sa compagnie JANT-BI,  basée sur le génocide au Rwanda. Elle a été co-chorégraphiée avec Kota  Yamazaki/Japon pour 7 danseurs africains, une fusion entre le Butoh et  les danses africaines traditionnelles et contemporaines. Il a déjà connu  trois tournées très réussies aux États-Unis, et a été présenté en  Europe, en Australie (Festival de Melbourne, Opéra de Sydney) et au  Japon.
En 2007, elle et Kota Yamazaki ont reçu un BESSIE Award (New York Dance and Performance Award) pour "Fagaala".

Plus tard cette année-là, le grand défi était la partie chorégraphique  de l'OPERA du SAHEL, une importante création africaine, initiée et  produite par la Fondation Prince Claus en Hollande. Elle a été créée à  Bamako en février 2007, suivie de représentations à Amsterdam et à Paris  et d'une première tournée africaine en 2009. 

En 2008, un autre travail chorégraphique a été organisé en  collaboration entre la compagnie Jant-Bi (7 danseurs) et la compagnie  Urban Bush Women (7 danseuses afro-américaines) de New York. Cette  nouvelle création "Les écailles de la mémoire" a été créée par elle et  Jawole Zollar, la directrice artistique de Urban Bush Women, et a connu  un grand succès lors de plusieurs tournées aux États-Unis et en Europe. Sa création, le solo "Songook Yaakaar" a été présenté en première à la  Biennale de la danse de Lyon en septembre 2010.

En 2014, le chorégraphe français Olivier Dubois a créé un solo pour  Germaine Acogny "Mon élue noire - Sacre no.2" basé sur la musique  originale du "Sacre du printemps". En 2015, sa nouvelle création en solo "Somewhere at the beginning", est  sortie en collaboration avec le directeur de théâtre Mikael Serre, une  création qui combine la danse, le théâtre et la vidéo. La première a eu  lieu au Grand Théâtre de la Ville du Luxembourg en juin 2015. Elle continue à collaborer avec des écoles internationales et des  centres de danse et donne régulièrement des master classes. A partir de janvier 2015, elle a confié la direction artistique de  l'Ecole des Sables à son fils Patrick Acogny. 

En 2020, Germaine Acogny et Helmut Vogt ont pris la décision de  confier le rôle de direction artistique et de gardien de l'Ecole des  Sables à deux de ses anciens élèves de confiance, également titulaires  du diplôme de technique Acogny : Alesandra Seutin et Wesley Ruzibiza,  pour travailler aux côtés de Paul Sagne, qui a travaillé et évolué au  sein de l'Ecole des Sables pendant les 15 dernières années et qui a  maintenant été nommé directeur administratif.

En février 2021,  le "Lion d'or pour l'ensemble de sa carrière" en danse a été décerné à Germaine Acogny par La Biennale de Venise..


Source : Site de l'Ecole des Sables

En savoir plus : ecoledessables.org

Carlès, James

James Carlès est chorégraphe, chercheur et conférencier. Il reçoit une formation initiale en danses et musiques d'Afrique et de sa Diaspora puis il se forme auprès des grands noms de la danse moderne à New York et à Londres principalement. Depuis 1992, il a engagé une démarche artistique et analytique qui explore les "lieux de jonctions" entre les danses, rythmes et philosophies d'Afrique et de sa Diaspora avec les techniques et les cadres de pensées occidentales. A ce jour, le répertoire de sa compagnie est riche de plus d'une cinquantaine de pièces de sa propre création et d'auteurs comme Katherine Dunham, Pearl Primus, Talley Beatty, Asadata Dafora, Géraldine Armstrong, Rick Odums, Wayne Barbaste, Carolyn Carlson, Robyn Orlin, etc.

Danseur soliste et performer hors pair, James Carlès a été interprète et collaborateur artistique pour non seulement, de nombreux "ensembles musicaux" allant du Baroque, à la musique contemporaine, en passant par le Jazz; mais également des chorégraphes tels que Carolyn Carlson, Robyn Orlin, Rui Horta, Myriam Naisy, etc.

Artiste associé à l'Astrada-Jazz In Marciac de 2012 à 2014, chercheur associé au laboratoire LLA Créatis de l'université Jean-Jaurès de Toulouse, James Carlès est particulièrement investit dans des projets patrimoniaux pour la diversité et la diffusion de la culture chorégraphique.
Il est également créateur et directeur artistique du festival "Danses et Continents Noirs".

Snake, Zora

Danseur – Chorégraphe et chercheur en Art performance, fondateur de la Compagnie Zora Snake et du festival international MODAPERF (Mouvements, danses et performances du Cameroun), Zora Snake est l’un des artistes les plus prometteurs de la scène contemporaine actuelle en Afrique.


Il a notamment remporté en octobre 2020, les Golden Artistic Awards, organisés par Brukmer magazines à Bruxelles (Belgique) après avoir été lauréat en 2019 du premier prix Acogny d’or,du concours chorégraphique Africa simply the Best à BoboDiolasso (Burkina Faso).


De son vrai nom TEJEUTSA qui, en sa langue traditionnelle Yemba à l’ouest du Cameroun, veut dire « une personne ayant une forte empathie » , qui ramène de la lumière, Zora Snake s’est fait un nom en devenant l’un des célèbres danseurs Hip-hop (Popping) de sa génération [biographie complète]


Lauréat Visa-création en 2016-2017, auteur de plusieurs créations de danse et performances en Afrique, Zora Snake mène des activités artistiques dans son pays, en Afrique et dans le monde en mêlant création artistique dans l’espace public, performance et rituelle politico-poétique, art et société.


Développer et construire une société civile à travers des performances engagées dans les rues, les carrefours et les quartiers du Cameroun sont ses priorités.  L’association artistique Cie Zora Snake organise chaque année le festival MODAPERF dans les rues de Douala, Yaoundé et Tchang et vient d’ouvrir à Yaoundé les portes de l‘Espace-Labo aux artistes.


Zora Snake participe pleinement à des colloques, séminaires et conférences dansées : au Linden Museum de Stuttgart pour le projet « les séquelles de la colonisation« , à l’’Ecole normale supérieure de Paris invité sur le thème Afriques : approche transdisciplinaire des pratiques artistiques et citadines, à la Cité des Arts à Paris pour l’événement Afriques : Utopies performatives. Il travaille à l’écriture de son premier livre L’Art est une boxe – de la performance, du politique avec Julie Peghini et feu Dominique Malaquais.

Source : https://zorasnake.com/

Carlès, James

Depuis 2016, James Carlès a fait le choix de mettre à disposition du public l’ensemble de ses vidéos.

Centre chorégraphique James Carlès

L’histoire

C’est en 1992 que James Carlès crée l’Apca-Compagnie.
Petit à petit, le projet a évolué :
– en 1998 avec le Centre de Danse, afin de transmettre et perpétuer un travail artistique et culturel engagé.
–  en 1999 le Festival “Danse à Toulouse” qui deviendra en 2007 le  festival « Danses et Continents Noirs » fait son apparition, vitrine de  cette démarche atypique de valorisation des danses sociales.
– en 2000 vient à son tour la Formation Professionnelle, interdisciplinaire et interculturelle.


Le rayonnement à l’international et les partenaires.

Le centre bénéficie désormais d’un  positionnement fort à l’international. En effet, son rayonnement au fil  des années s’est installé grâce à la qualité du travail pédagogique et  artistique réalisé, les tournées internationales de la Compagnie James  Carlès Danse & Co et les différentes compagnies venues des 4 coins  du monde que nous accueillons chaque saison lors du Festival Danses et  Continents Noirs. Enfin, grâce à des partenariats actifs tissés avec des  structures qui comptent à la fois sur le plan artistique, pédagogique  et institutionnel.
On peut citer entre autre : Les Compagnies ATDK  & Parts en Belgique, Hofesh Schester ou Akram Khan en Angleterre,  Batsheva en Israël, Alvin Ailey aux USA, l’Université Jean Jaurès à  Toulouse, les Centres Chorégraphiques Nationaux, l’Association des  Centres de Développement Chorégraphiques (ACDC), l’Institut National de  l’image (INA), le Centre National de la Danse (CND), le Centre National  de la Danse Contemporaine d’Angers, etc.
 

Le nouveau projet

En 23 ans, le projet artistique a  trouvé sa force grâce à son contenu, sa cohérence et la qualité des  partenaires impliqués. Dans un souci de donner une meilleure lisibilité  au projet et un nouvel élan au projet, de faire face aux nouveaux enjeux  (économiques, artistiques, sociaux) que le monde actuel nous offre,  James Carles a redéfini son projet artistique en lui donnant une  nouvelle identité. Le Centre James Carles devient le Centre  Chorégraphique James Carles.
Cette nouvelle entité regroupe dans une ligne artistique cohérente :
– L’école de danse
– Le centre de formation professionnelle
– La compagnie James Carles Danse & Co (ex James Carles)
– Le festival international Danses et Continents Noirs
– Des temps de résidence pédagogique avec des artistes (stages et master classes)
Cette nouvelle »identité » artistique, traduit les points suivants :
1/  Une volonté de rendre lisible l’articulation et la cohérence du projet  global. En effet, c’est la même ligne artistique qui se décline sur tous  les projets.
2/ Une ligne artistique redéfinie ainsi :
– S’affranchir des catégorisations esthétiques existantes (jazz/contemporain/danses urbaines actuelles)
–  Affirmer une identité « contemporaine » à racines multiples; c’est à  dire, une identité dynamique, ouverte, qui se nourrit pleinement de  différentes traditions chorégraphiques et artistiques.
– Etre  attentif aux liens qui existent entre des « circulations corporelles »  (techniques du corps), les « circulations scéniques » (écritures  chorégraphiques, discours, etc…) et les cultures sociales qui les sous  tendent.
– Construire et accompagner des artistes et pédagogues dotés  d’une grande technique, au fait des enjeux de l’altérité, versatiles,  autonomes, libres, singuliers, confiants, capables de porter leur  parole, leur réflexion (ou celle de l’autre) sur le plateau et/ou en  studio.
3/ Se donner les moyens de développer significativement le contenu, la quantité artistique et pédagogique grâce à :
– Un meilleur maillage de collaboration avec des artistes et structures culturelles du territoire
–  Une confirmation et un développement des partenariats artistiques et  pédagogiques avec des compagnies, structures pédagogiques et culturelles  qui rayonnent sur le plan international
4/ Créer des conditions qui permettent d’offrir de meilleures opportunités professionnelles à nos étudiants
5/  Redéfinir le projet de la compagnie : le cycle de travail autour de  répertoire et du patrimoine étant achevé, les productions se feront  désormais par « projets », sous forme de « collaborations » avec des  individus ou des collectifs artistiques.
6/Orienter la programmation  du Festival sur des petites formes, mais qui interroge toujours les  enjeux de l’altérité sur la scène contemporaine et dans notre société.

Corpus Africana 2018

Direction artistique / Conception : James Carlès

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